Nietzsche Croyance

croire : Le verbe vient du latin credere, qui signifie "tenir pour vrai", "faire confiance". La croyance implique donc l'idée d'une absence de connaissance, car il s'agit toujours de "se fier" au témoignage d'autrui. savoir : a) Comme nom, ensemble de connaissances acquises par l'apprentissage ou l'expérience. b) Comme verbe, avoir appris quelque chose, et pouvoir le dire, le connaître, le répéter. choix : Action consistant à se déterminer en arrêtant une conduite à tenir, retenue entre plusieurs

 Humain, trop humain ,Nietzsche 1878 La science est enorme, car qu’elle nous permet de découvrir des vérités. Mais il suffit d’une remise en cause d’une des vérités scientifiques pour qu’au contraire on croit plus totalement la science. Quelle est la valeur de la sciences ? c'est le problème que se pose et résoud Nietzsche dans ce texte extrait d’Humain, trop humain ,1878. Le philosophe veut montrer que dans la science, les méthodes sont

La réponse est : parce que nous nous croyons libres (surnaturels) et que cette croyance, à la fois procède de l’ignorance et nous maintient dans l’ignorance des causes naturelles qui nous affectent négativement et donc dans la crainte de la nature et le tremblement du jugement du dieu pour être sauvés malgré nous, pauvres pécheurs ayant choisi le mal et donc étant responsables de nous-mêmes comme mauvais (voir Nietzsche); pourquoi cette passion contraire à notre désir de joie? parce que nous sommes

malgré l'apparition de la laïcité (séparation de l'Église et de l'État). Les hommes qui adhèrent à la religion sont des croyants, càd qu'ils prennent pour vrai qqch à un moment donné. Ils possèdent alors en eux la foi, qui est le plus haut degré de la croyance, et portent un véritable amour à leur Dieu. Cet « Amour de Dieu » est complété par la « Crainte de Dieu », et c'est en usant justement de cette dernière que les croyants obéissent à leur religion et deviennent d'autres hommes. En effet, personne

libre-arbitre. b) La liberté humaine: une illusion. Texte de Spinoza, Lettre à Schuller. Sur quelle comparaison est construit le texte? Pourquoi les hommes se croient-ils libres? Qu'est-ce qui peut les amener à remettre en cause cette croyance? Va falloir prendre conscience des causes qui nous détermine. ● Étude de la comparaison entre la pierre en mouvement et l'homme. Poursuite du mouvement de la pierre = contrainte car effet engendré par une cause extérieure (main). La

Religion Philo La religion ( Religion, religiosité, croyance ) 1 Religion et philosophie ( a ) sens du mot « religion » Une définition paraît bien difficile. Ce n’est pas la croyance en un dieu, par exemple le bouddhisme, alors s’agit-il d’un rite collectif unissant des croyances et des pratiques ? Au-delà de l’aspect sociologique, nous sommes en présence d’une affirmation duale : sacré-profane, affirmation qui procède d’autres voies que le seul savoir rationnel. Par exemple la foi, l’expérience

LA RELIGION I. L’approche des sciences humaines Religion : ensemble de croyances (mythes révélations dogmes) et pratiques ( rites cérémonies interdits tabou) tous tenu pour impératifs. Il faut qu’elles soient collectives, fait social et coercitif. Présupposée méthodologique : Durkheim considère que l’essence de ces religions peut être trouver chez ses formes les plus élémentaires dans tribus primitifs. -Animisme : voir dans certains objets ou être vivant une âme -Totémisme : attribuer

celui qui se trompe ou est trompé, qui subit la méprise des sens (ex. : illusion d’optique) ou de l’esprit qui se laisse abuser par l’apparence. Négativement, l’illusion s’apparente à un défaut de savoir (comme l’erreur). Positivement, elle est croyance caractérisée par sa puissance et son énergie. L’illusion est donc plus dangereuse que l’erreur car elle ne se contente pas de “rater” la réalité, elle invente une autre réalité (rêve, magie, folie ) ou refuse de voir en face et se détourne de la

dépendance. La conséquence en est l'intuition de quelque chose qui le dépasse, une « transcendance » qui suscite à la fois la crainte et la fascination. Les composantes d'une religion Il existe six composantes indispensables dans une religion : Des croyances (qui ne relèvent donc pas de la raison) relatives à quelque chose de sacré. Une tradition, des mythes. Des sentiments, une révélation intérieure (crainte, fascination, tremblements, etc.). Une morale à valeur absolue, c'est-à-dire des règles de vie

Tout d’abord il va étudie philologie. La philologie c’est l’Étude d'une langue, d'une civilisation par l'analyse de ses textes. Par après il va l’enseigner à l’Université de bale en suisse dès son jeune âge de 24 ans. Nietzsche va par la suite exprimer ses idées dans des ouvrages tels que le Gai savoir en 1883-1887, ou encore l'Antéchrist en 1896. Ensuit il va sombrer dans une démence. Il va ainsi mener une vie essentiellement solitaire, malade et atteint de la folie. Cette folie va lui faire faire