Nietzsche Croyance

totale contradiction avec la réalité (pensez, par exemple, à la schizophrénie.) La théorie de la "vérité-correspondance" suscite, elle aussi, des difficultés. D'une part, l'idée de correspondance suppose que les faits auxquels nos propositions ou nos croyances doivent correspondre, sont disponibles indépendamment de notre langage. Or, rien n'est moins sûr. Toute tentative pour parler du monde en est déjà une interprétation. Pour que la théorie de la "vérité-correspondance" soit fondée sur ce plan, il faudrait

qu’en est-il réellement ? La vérité désigne ici le savoir certain de quelque chose. Que la vérité dérange, voilà qui nous oblige à penser que la vérité, même scientifique, n'est pas dans le ciel de l'esprit pur. La vérité est aux prises avec des croyances, des dogmes, des préjugés. Elle n'est donc pas neutre, mais au coeur des lignes de force qui s'affrontent tant dans la vie mentale que sociale. L'illusion n'est pas une erreur pure et simple. La connais¬sance vraie ne la dissipe pas ; j'ai beau

certaine manière la croyance peut relever du savoir, mais nous verrons aussi ensuite que le savoir ne peut lui en aucun cas relever de la croyance. Bien souvent les personnes ne font pas de différences entre leurs croyances et leurs savoirs pour peu qu’ils en aient. En effet ce qu’ils pensent leur savoir sont des choses qu’on leur a enseigné à l’école et qu’ils ont pris pour vérité. Mais premièrement on leur enseigne parfois des croyances, qui se retrouvent chez eux encore des croyances puisque, deuxièmement

interdépendantes ? Que beaucoup de gens ne puissent pas se passer de croyance religieuse n'implique pas que la société soit liée à une religion. Nietzsche, avec sa phrase " Dieu est mort ", a bien montré qu'une des tendances des sociétés actuelles était d'amoindrir, sinon d'effacer, le rôle de la religion (surtout depuis l'holocauste et la seconde guerre mondiale). La société en a-t-elle été affectée ? A-t-elle évolué ? La croyance a-t-elle disparu avec la religion, ou s'est-elle reportée sur autre

domaine à un autre. Dans un même domaine les points de vue s’opposent et fait sujet de discussion. Dans notre analyse, nous allons d’une part donner le point vue de Frédéric Nietzsche sur la passion et d’autre part, donner la position des religieux face à cette aptitude du passionné. La passion selon Nietzsche Nietzsche dans sa pensée défend les passionnées. Il affirme que la passion est une étape de l’évolution de l’esprit que les hommes arrivent à atteindre pour réaliser leur rêve. A cette

Feuerbach, Nietzsche, Cicéron, les sociologues comme Marx, Durkheim cherchent à expliquer, à comprendre les bases de la religion. Ainsi, pourquoi la religion est- elle considérée comme un phénomène mondial et social ? Poser la question revient à s’interroger sur l’existence de la ou les religion(s).Qu’est- ce qui anime la religion ? Du mot français « anime », en latin « anima » qui équivaut à l’âme, alors la religion est- ce un sentiment d’appartenance, à des valeurs, à des croyances, à des directives

entre croyance en Dieu et raison se trouve ainsi soulevé. Plus précisément : est-il, raisonnable de croire en Dieu ? Mais que veut dire raisonnable ? Au sens strict, le raisonnable est ce qui ne contredit pas les principes et les connaissances assurées de la raison. Il convient de le distinguer de ce qui est expressément démontré, prouvé par des arguments de la raison, et qu’on peut appeler le rationnel. Qu’en est-il alors ? La raison apporte-t-elle des arguments en faveur de la croyance en Dieu

Intro: La raison est la faculté que nous avons de penser par nous-mêmes. « Lumière naturelle », renvoie toute autorité qui prétendrait se mettre supérieure à elle. Lorsque la raison examine la croyance religieuse, elle la relègue au rang du sentiment. Ex : l’époque des Lumières -> il faut émanciper la raison de toute autorité religieuse. Il fallait par la norme raison juger le fait religieux. Il existe des croyants qui par honnêteté, cherchent à rendre compte de leur foi -> à ne pas être

l'individuel et non le général. Argument 5: Recevoir ces questions (de l'argument 4) comme porteuse de sens signifie pas que nous devons donner de crédit a l'ensemble des certitudes, ni objectivité, ni subjectivité. Les opinions ainsi que les croyances sont contradictoires au réel Transition : On peut alors s'interroger sur le désir de vérité de l'homme dont témoigne le sujet (cf: I & II). Que cette vérité soit offerte pas la science ou une démarche non scientifique, ce que l'on veut voir dans

ne pas tomber dans une forme illusoire, ne serait-ce que légère. La vie a besoin de falsifier le réel, de l'illusion qu'elle érige en vérité « La vie a besoin d'illusions, c'est-à-dire de non-vérités tenues pour des vérités » [Friedrich Nietzsche]. Selon Nietzsche, l'illusion ne résulte pas seulement des rapports sociaux : elle est une nécessité de la vie, de notre condition d'être biologique. Les hommes ont par nature besoin de croire à des « non-vérités », faute de quoi leur vie n'aurait pas de