Nietzsche L Homme Souverain

| |apollinisme |Désigne la mesure, la sérénité, l’harmonie et la belle apparence. | | |* À partir de la référence à la tragédie grecque, Nietzsche pose l’antagonisme de deux forces naturelles que sont | | |l’apollinien et le dionysiaque : « Expériences psychologiques fondamentales : le mot d’apollinisme désigne la | | |contemplation

décèle dans l'utilisation d'effets éprouvés et grossis (le pathétique) et dans la convocation de figures stéréotypées : l'enfant, véritable archétype du jeune garçon vertueux maltraité par la vie et le siècle, et le chiffonnier, personnage de vieil homme solitaire lui aussi maltraité par le sort et vertueux, au cœur pur et charitable : Les cris cessent subitement ; car, l’enfant a touché du pied contre un pavé en saillie, et s’est fait une blessure à la tête, en tombant. L’omnibus a disparu à l’horizon

(…) Tout ce qui est bon et tout ce qui est beau dépend de l'illusion : la vérité tue — qui plus est, elle se tue elle-même (dans la mesure où elle reconnaît que son fondement est l'erreur). » Nietzsche, Le Livre du philosophePensées de Pascal sur la conscience malheureuse (mais source de la grandeur de l’homme) et le divertissement  : « Quand je m'y suis mis quelquefois à considérer les

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II

Les Formes élémentaires de la vie religieuse, 1912.  « un système solidaire » : La religion ne se réduit pas à une expérience personnelle, elle a toujours une dimension sociale, elle est un phénomène collectif (il n’y a pas de religion d’un seul homme). La religion préexiste à la vie de l’individu (elle n’est pas à l’échelle individuelle, elle a une dimension supra-individuelle). « de croyances et de pratiques » : il y a un aspect théorique de la religion (idées, textes renfermant des dogmes, c’est-à-dire

congénères. En ce sens, l’animal n’a jamais la possibilité de ne pas suivre ce que lui dicte la nature, tandis ce que l’homme souvent s’en écarte. Il a la capacité d’acquiescer ou de résister à ce qui s’impose à lui autrement dit d’arbitrer de manière souveraine, ce qui correspond à la volonté. Cette dernière est la seule cause de nos actions, car, quelques que soit les circonstances, c’est elle qui finalement décide, la volonté n’a pas d’autre cause qu’elle-même. C’est comme cela, que Descartes l’a caractérisé

relations entre les individus (personnes morales également, entreprises y compris) Droit public : droit exorbitant du D commun, encadre les relations entre personnes privées et la puissance publique (Etat, dép, région, commune). Ce ‘monstre froid’ (Nietzsche), ‘Léviathan’ (Hobbes), l’Etat, a plus de droits que nous, il peut prendre des décisions unilatérales (privilège du préalable) qui ne demandent pas l’avis du peuple qui est plongé dans l’hétéronomie Ces règles qui nous encadrent, outre celles qu’on

séducteur né, fascinant et scandaleux. ------------------------------------------------- Les grandes caractéristiques du personnage chez les auteurs ------------------------------------------------- Chez Tirso de Molina * Plaisir : sensualité souveraine, sexualité triomphante, déchaînement érotique qui s’oppose au discours galant de l’amoureux vrai, réussite ; * Egoïsme cynique : l’autre n’existe pas en soi mais seulement pour l’intérêt et le plaisir que Don Juan en tire, il poursuit et trompe

distinguer deux mondes, deux régions, le monde sensible, visible et le monde intelligible ou monde des idées. Le monde intelligible est le monde de ce qui est stable, éternel (la vérité du théorème de Pythagore est de toute éternité, avant même qu’un homme l’ait découverte). L’opinion, au contraire, est changeante. La connaissance porte donc sur ce qui est éternel, les Idées. Ces Idées ne sont possibles que parce qu’elles ont pour source l’idée de Bien. Le bien n’est pas simplement à comprendre dans

que les images sont le plus souvent fallacieuses. Nous ne disons pas, lorsque notre activité visuelle s'exerce précisément sur son objet sensible que "cela nous paraît être un homme". C'est bien plutôt quand nos perceptions manquent de clarté. Enfin, des images visuelles apparaissent même les yeux fermés. Avec Nietzsche :"Nous croyons savoir quelque chose des choses elles-mêmes quand nous parlons d'arbres, de couleurs, de neige et de fleurs, et nous ne possédons cependant rien que des métaphores