Norbert Elias Du Temps

La production de l’autonomie Sociologie et politique Lectures par Jean Zin Individu et société, autonomie et démocratie de marché. Norbert Elias, La société des individus 1 Hannah, Arendt, Condition de l’homme moderne 5 Marcel Gauchet, Le désenchantement du monde 9 Marcel Gauchet, La religion dans la démocratie 13 Alain Ehrenberg, La fatigue d’être soi 17 Claude Lefort, La complication 23 Cornélius Castoriadis, Le projet d’autonomie 31 Michel

rigoureusement égalitaire D’un point de vue économique les anthropologues définissent la société comme société à économie de subsistance : elles ne produisent pas plus que le minimum nécessaire à leur survie. Or les indiens ne consacrent que très peu de temps au travail, à la production économique. Dans la tribu des indiens Guarani, les hommes ont pour unique tâche de défricher la terre, qui sera ensuite cultiver par les femmes tous les 4 à 6 mois (travail de 4 mois tous les 4-6ans). En faisant ce constat

banalisent ce que ce dernier peut avoir de grand et de beau. Il faut, plus que jamais, réfléchir aux effets de la transparence sur la perception du spectacle sportif. Le sport occupe, en second lieu, une place centrale dans les enjeux idéologiques de ce temps. Il est devenu, sur les ruines de la scène politique, le lieu où les aspirations et les ressentiments des peuples s'investissent avec le plus de force, voire le plus de violence. Comment expliquer ce processus? Si l'on espère le maîtriser, le second

et le public —— la sociologie ne peut pas se définir par sa langue C) La théorie : ● La science serait ce qui énonce la vérité. Ce que l’on tient pour vrai varie dans le temps. Le propre de la science c’est de discuter ce qui est tenu pour vrai. ● L’organisation paradigmatique des propositions scientiques = Kuhn, 1983. En temps normal, le paradigme est un ensemble de questions et d’outils méthodologiques sur lesquels les scientifiques sont en accord. A l’intérieur de ce paradigme, de ce cadre, ils

toujours la nécessité de fabriquer des contraintes structurelles. Cette théorie des échanges a accouché de la théorie des jeux qui est un essai de modélisation de la relation sociale. L’idée de départ est que la relation de pouvoir évolue avec le temps. Les ressources des acteurs se transforment par la capacité qu’on les acteurs à les maximiser et en fonction des réponses des acteurs participant à la relation. Cela finit par transformer de manière définitive et irréversible la nature du jeu social

est détentrice. C’est un pouvoir fragmenté entre un grand nombre de groupements de domination, pour reprendre l’expression de Max Weber. Enfin, ce qui caractérise la féodalité à cette époque c’est aussi une très faible continuité du pouvoir dans le temps et dans l’espace. En effet, les frontières de chaque unité de domination fluctuent souvent au gré des guerres, des mariages et des transmissions héréditaires Dans ces conditions, le monarque est un seigneur parmi d’autres. C’est pour cela qu’on

mise. On peut songer aux courses de chars qu’ont remis en scène certains péplums, comme Ben Hur, ou plus récemment Gladiator et la série Rome. En s’institutionnalisant, le sport s’est doté de règles. Il est le produit de ce qu’un sociologue comme Norbert Elias nomme « un processus de civilisation ». Celui-ci conduit les individus à s’auto contrôler lorsqu’ils pratiquent un sport, mais aussi lorsqu’ils assistent à une manifestation sportive. La rivalité entre des joueurs dans le cadre de compétitions

mouvement confus de tout ce qui va et vient, tourne, monte et descend autour de soi ; par les beuglantes et les saillies verbales dominer le tintamarre. Saisi dans sa spontanéité foraine, le spectacle de tréteau indique que le théâtre doit arrêter pour un temps l’écoulement normal de la vie. Si le comédien ambulant cesse de tenir son public en main, 8 9 La soif du rire La question se pose : où Molière a-t-il appris à faire aussi bien passer le comique sur la scène ? La réponse est manifestement la suivante

techniques au service de la conduite du changement : L 'entretien Séance 12 : En guise de conclusion, les pièges contemporains du management 3 Bibliographie Allard-Poesi Florence, Management d'équipe, Dunod, Collection Les Topos, 2003 Alter Norbert, L’innovation ordinaire, PUF, Collection Quadrige, 2005. Barbusse Béatrice et Glaymann Dominique, La sociologie en fiches, Ellipses, 2005. Bernoux Philippe, Sociologie du changement, Seuil, 2004 Petit Michel, Management d 'équipe, concepts et pratiques

Aristote. Il représente un « avoir », une possession active et durable en chacun de nous et en lien étroit avec le corps. Thomas d’Aquin, théologien et philosophe du Moyen-âge, Marcel Mauss, anthropologue de la première moitié du 20e siècle, et Norbert Elias, sociologue du 20e siècle, ont chacun étudié et déterminé à plusieurs époques l’habitus comme une « intériorisation », un « lien », une « empreinte » qu’ont les individus avec le social. Cela sera repris avec plus d’importance et défendu par Pierre