Néoclassique Conclusion

Table des matières Introduction 4 Socialisme marxisme 5 Capitalisme 5 Socialisme 5 Karl Marx (1818-1883) 6 Marxisme 6 Rosa Luxembourg (1871-1919) 6 Thorstein Veblen (1857-1929) 7 “The theory of the leisure class” 9 Théorie néoclassique 9 Individus rationnels et calculateurs 9 Rivalité pécuniaire 10 Instinct prédateur 11 Consommation ostentatoire 12 Les relations hommes/femmes 12 Habitudes de vie 13 Noblesse 14 Traditions 15 Consommer, une responsabilité 15

l’économie), tandis que la suppression des « rigidités » s’inscrit dans une réflexion sur le marché du travail néoclassique. Sur ce point, il existe donc une controverse scientifique : -Pour atteindre le plein emploi, les keynésiens insistent sur le rôle de l’Etat qui doit stimuler la demande effective (anticipée par les entrepreneurs). -Pour atteindre le plein emploi, les néoclassiques insistent davantage sur le coût du travail excessif (notamment le coût du travail peu qualifié), le poids des «

faire quelque chose, donc on ne commet pas toujours les mêmes erreurs. 2) La coordination et l’équilibre des marchés On passe de l’équilibre individuel à l’équilibre des marchés. A partir des comportements individuels, on peut tirer des conclusions pour toute la société. L’équilibre optimal de l’étudiant est son budget, son temps, sa capacité intellectuelle (objectif : réussite). Chaque agent économique a sa propre rationalité. Grâce aux mathématiques, on rassemble tous ces points, par exemple

travail => hausse de la production => hausse de l'investissement => hausse du capital => baisse de sa productivité (du capital) => retournement du cycle. Cette théorie expliquerait 70% des fluctuations de l'activité économique d'après guerre. Conclusion : Il y a de très nombreuses causes de cycles. Cycles qui peuvent être d'origine monétaire mais aussi d'origine technologique. Grandes difficultés a prévoir les périodes de retournement de cycle (crise). III. Les théories de la croissance

nous verrons qu’il existe différentes formes de flexibilité du travail (B). Puis, nous intéresserons à la manière dont elles agissent sur l’emploi, quantitativement et qualitativement (C). Sous-partie A D’après les auteurs classiques et néoclassiques, le chômage s’explique par les rigidités du marché du travail. Pour eux, le travail serait une marchandise comme les autres, échangée sur un marché autorégulé, entre des offreurs (les travailleurs potentiels) et des demandeurs (les entreprises)

l’histoire pour valider son modèle théorique (ex : la hausse des taux d’intérêt et la hausse du chômage). Enfin, les hypothèses en économies doivent être interprétées comme des probabilités. La validité d’une théorie repose sur la capacité de ses conclusions à expliquer les faits. En science économiques, le raisonnement est donc à la fois inductif et déductif. Schéma : b. Les modèles de la science économique Approche microéconomique .) La microéconomie : analyse des comportements au

partie de l'orthodoxie néoclassique ou qu'ils la récusent. Incontestablement, les néo-keynésiens de l’école de la synthèse néo-classique font partie du premier groupe. Ils ont constitué le courant dominant de la révolution keynésienne de 1945 au début des années soixante-dix. a eu à lutter contre les postkeynésiens de l’université de Cambridge, Angleterre, ce qui donna lieu notamment à la controverse des deux Cambridge. Les courants keynésiens influencés par l'école néoclassique [modifier] Si le

révolution industrielle a changé le monde. Rien n’est acquis, dans un sens comme dans l’autre. On va présenter les différentes théories de la croissance : les différentes explications pour savoir d’où vient la croissance (théorie classique, théorie néoclassique, croissance endogène, facteurs fondamentaux de la croissance). Par un manque de temps, on parlera de croissance et pas de développement sachant que le développement est un concept plus global qui implique la satisfaction croissante de l’ensemble

pour l'essentiel la pensée des économistes classiques, néoclassiques, monétaristes ou nouveaux classiques. -Les classiques XVIIIème et XIXème SMITH, SAY, RICARDO, MILL Ils ont posé les bases principales de l'économie politique moderne en développant largement une vision libérale de l'économie. → ont engendré un courant d'analyse pessimiste et critique à l'égard du marché, à travers MALTHUS, MARX et SISMONDI. -Les néoclassiques 1870 à nos jours WALRAS, PARETO, MARSHALL, ALLAIS

------------------------------------------------- Macroéconomie Semestre 4 ------------------------------------------------- Introduction générale : macroéconomie néoclassique et macroéconomie keynésienne. Microéconomie : c’est l’étude des comportements individuels des acteurs économiques, on étudie les comportements d’un consommateur, d’un travailleur, d’un producteur, et on les fait se rencontrer sur des marchés (de biens et services, du travail, du capital). Macroéconomie : c’est l’étude