Néoclassique Sloan

main. Nous retrouvons la même mention dans les manuscrits d’Airlie (1705) et de Chetwode Crawley (1700 env). Elément important à souligner : les 5 points se «  communiquent «  en étant débout. Une autre particularité à relever : le manuscrit Sloane de 1700 rajoute la communication des mots de Maître – Maha et Byn – lorsque les protagonistes se sont mis en posture des 5 points du Compagnon. Nous voyons que ce rituel des 5 points du Compagnon sert avant tout à la reconnaissance mutuelle comme

de la maîtrise. En France, un comité Hyacinthe Dubreuil a été créé. V. L’école néoclassique (1965) Elle se situe dans le prolongement de l’école classique. Cependant, elle n’a pas échappé à l’influence de l’école des relations humaines et de l’école socio-technique, influence qui se traduit par une prise de conscience du rôle de l’homme dans son milieu et de l’importance des conflits. A. Alfred Pritchard Sloan (1875-1966) : Principe de la décentralisation coordonnée - L’homme : Il a passait

néo-classique sont des praticiens de l’organisation, chefs d’entreprises ou conseillers en organisation, leurs recommandations, parfois érigées en théorie, découlent d’un « vécu » de l’entreprise. 4.2.1. Alfred P. SLOAN Dans son célèbre ouvrage « MES ANNEES A LA GENERAL MOTORS » SLOAN (18751966) raconte comment il réussit, progressivement, à diriger son entreprise en appliquant des principes de décentralisation coordonnée. Décentralisation La décentralisation de l’autorité entraîne initiative, responsabilité

socle sur lequel s’est construite la sociologie des organisations. Il y a des prolongements de ses trois auteurs au travers du courant néoclassique. Plusieurs auteurs principalement anglo-saxons ont été séduits par le caractère très complet des nouveaux principes d’organisations. Ces auteurs sont d’anciens praticiens des affaires ou des consultants (Alfred Sloan, Peter Drucker, Octave Gélimier) qui écrivent des ouvrages sur le meilleur management possible des grandes sociétés. Ils définissent pour

sont éliminés. Ce courant de pensée est prolixe en auteurs et en " gourous ". Trois d'entre eux nous paraissent, à des degrés divers, représentatifs de ce courant de pensée : 1. Les auteurs de cette école : Alfred P. SLOAN (1875-1966) Sloan passa la totalité de sa carrière à la Général Motors, dont 33 ans comme Directeur général puis Président. Il n'a écrit qu'un seul ouvrage : " my years with General Motors ". Il est connu pour avoir fait de GM la première société mondiale

fonction de direction et de management. C’est le cas notamment d’Urwick, Sloan et Drucker Urwick (1956) propose 10 principes de management : Finalité, spécialisation, coordination, autorité, responsabilité, définition, correspondance, supervision, équilibre et continuité Alfred P Sloan (1875-1966) industriel américain, il effectue quasiment toute sa carrière à la General Motors Company. Les principes de l’organisation selon Sloan sont : - la décentralisation, - une structure divisionnelle, - une planification

Contrats incomplet et la théorie de la firme Comment la frontière la firme peut être la ligne de partage ? * La théorie néoclassique de la firme * La théorie de l’agence (théorie de contrats complets) rupture avec la théorie néo-classique * La théorie des coûts de transactions : Section 1 : les difficultés des approches standards : La théorie néoclassique : O.HART (1995) la considère comme points de départs de la théorie de contrat : théorie de l’équilibre standard La méthode

socle sur lequel s’est construite la sociologie des organisations. Il y a des prolongements de ses trois auteurs au travers du courant néoclassique. Plusieurs auteurs principalement anglo-saxons ont été séduits par le caractère très complet des nouveaux principes d’organisations. Ces auteurs sont d’anciens praticiens des affaires ou des consultants (Alfred Sloan, Peter Drucker, Octave Gélimier) qui écrivent des ouvrages sur le meilleur management possible des grandes sociétés. Ils définissent pour

: la firme en U et la firme en M U : unidimensionnelle, firme centralisée comme Ford : organisation qui se veut efficiente à chaque fonction correspond une direction, DIT verticale, organisation hiérarchique M : modèle de la General Motors de Sloan : frime multi-division, multi-domestique, direction générale mais pour chaque marque une division autonome (plusieurs firmes dans la firme) logique de mutlinationalisation : une division à l’étranger produit et vend à l’étranger mais elle est assimilée

logistique s'explique par le caractère hautement spécialisé de celui-ci, et la décentralisation par la nécessité de travailler en équipes (voir les fabriquants de logiciels). III. LES CONTRIBUTIONS MODERNES (école néoclassique) Comme le courant classique du management, l’école néoclassique du management se caractérise par le souci de proposer des outils et techniques faciles à mettre en œuvre dans la démarche d’optimisation du fonctionnement de l’entreprise. ce courant reste fondamentalement mécaniste