Néoclassique Sloan

jamais pénaliser un axe pour en favoriser un autre, mais au contraire mettre en évidence les liens de causalités des 4 perspectives. C'est ainsi que selon les auteurs Norton et Kaplan, la rentabilité des capitaux investis sera effective. 5) Alfred SLOAN (1875-1966) : Praticien de l’école néo-classique, Il fut un dirigeant américain et président de General Motors pendant près de 30 ans. Il en a fait la première société mondiale grâce à la décentralisation et en appliquant quatre principes simples :

fonctionnement de l’organisation. - La réflexion reste centrée sr ce qui se passe ds l’E. III) Les modernes : A) L’école néoclassique : Ce courant est ds la continuité des classiques car les solutions se veulent universelles mais en intégrant les acquis de courants postérieurs et notamment les acquis de l’école des relations humaines. 1. Alfred Pritchard SLOAN (1875-1966) : son apport provient de son expérience car il a travaillé pdt 45 ans à Général Motors. Il a pu au sein de cette organisation

(depuis 1981) ; afin de mettre en lumière, les processus par lesquels le management interculturel analyse et gère les différences culturelles. I-1- La Direction Par Objectifs « made in USA » : ses enjeux et ses outils de contrôle L’école néoclassique à travers P. DRUCKER (1954)[4] introduisait le système de Direction Par Objectifs (DPO) dans les entreprises privées américaines à partir des trois postulats suivants: le profit est un facteur essentiel de survie et de développement de l’entreprise;

met l'accent sur la fonction de production, les prix et la technologie. Elle ne prête guère d'attention au management. EJIE est pertinente pour décrire les activités économiques dont le fonctionnement est très proche du modèle idéal du marché néoclassique* : les marchés de capitaux par exemple. En revanche, une approche en terme de contractuahsation permet de comprendre pourquoi il existe deux institutions différentes (l'entreprise et le marché) qui ont pour même fonction de réguler l'activité

général, publié en 1755) - combine des moyens de production dans un environnement incertain - J.B. SAY (1767-1832). 2.La boite noire du modèle néo-classique On part du modèle de l’individu qui vise à optimiser sa consommation. A-Ecole néoclassique (fin 19ème) * Principaux auteurs : - L. Walras (1834-1910), Éléments d’économie politique pure [1874] Suisse - W. Jevons (1835-1882), Théorie de l’économie politique [1871] Anglais - C. Menger (1840-1921), Fondements de l’économie politique

notion n’a pas été développée par des théoriciens du management. Elle s’est d’abord diffusée dans le champ des affaires, portée par les hommes d’affaires eux-mêmes et centrée sur la figure du dirigeant plutôt que sur l’entreprise (Henry Ford, Alfred Sloan, Chester Barnard, ou encore les dirigeants de la General Electric Company). Elle apparaît, sous une forme plus ou moins diffuse dès la fin du 19ème siècle (Heald, 1961), avant de se formaliser au début du 20ème siècle6. En particulier, un réel débat

Taylor b) La bureaucratie Wébérienne c) L’autorité verticale selon Fayol 2. Les théories Classiques ......................................... page 16 a) La structure dans le modèle de Ford b) L’École des Relations Humaines 3. Les théories Néoclassiques ................................... page 17 a) Structurer le Top Management b) Le Mangement Moderne selon Drucker c) L’organisation Biologique des entreprises 4. Les théories Modernes ......................................... page 20 a) L’acteur

1981: Organisations: rational, natural and open systems, International Editions, New York, 9 l’approche rationnelle 1900-1930 l’école classique L’organisation comme système fermé 1930-1960 l’école des relations humaines le courant néoclassique 1960-1970 le courant de la contingence L’organisation comme système ouvert 1960l’analyse stratégique et systémique l’approche sociale Ces deux axes déterminent 4 zones dans lesquelles se répartissent à la fois chronologiquement, idéologiquement

Ronald Coase : La nature de la finance (1937). On a l’entreprise qui devient gigantesque (comme SO) alors que les économistes néoclassiques prétendent que le marché serait toujours le meilleur moyen pour allouer les ressources. C’est donc incompatible. Coase : aller sur le marché n’est pas gratuit : on a un cout d’accès au marché (cout de transaction) oublié par les néoclassiques : cout de négociation, cout de contrôle, etc… Vu le cout de transaction, on a un choix : plus favorable de faire par soi-même 

l’information est contenue dans le prix et le contrôle est réalisé via un contrat classique qui est supposé être détaillé. Le contrôle provient de la concurrence libre et parfaite. Dans la gouvernance hybride, le contrôle provient du contrat néoclassique qui fait intervenir un tiers pour surveiller l’exécution de la transaction et arbitrer les conflits. Dans ce sens, « l’approche transactionnelle propose un contrôle centré sur le contrat optimal et orienté vers la diminution de l’opportunisme