Objections Lettre à Ménécée

VOLTAIRE dit que ce n'est pas la prospérité qui suffit à nous rendre heureux, ce qui veut dire que c'est ni l'argent ni les biens matériels (objets) qui peuvent nous rendre heureux. Il dit alors sur l'on doit modérer nos prétentions au bonheur, ce qui signifie que l'on doit à avoir envie d'être heureux mais ne pas trop en demander, il dit aussi qu'il faut se contenter d'être le moins malheureux possible, que c'est le début du bonheur, pour la part il me semble que t'as assez de belles choses dans

I. L’insatiabilité de nos désirs est une forme de bonheur A) Cf. Platon (Calliclès), Le Gorgias : * Etre heureux c’est satisfaire ces désirs sans se limiter → hédonisme débridé. Calliclès défend une morale de satisfaction des désirs. * Il n’y a pas de raison que le vouloir est d’autres limites que le pouvoir. * L’homme vivant sans désirs est malheureux. * Exemple : le tyran est l’homme le plus heureux car il a le pouvoir de satisfaire tous ses désirs. B) Cf. Spinoza, L’Ethique :



























































PHILOSOPHIE

 
























































Devoir
Maison
n°2
 
 
 
 
 Sujet
:
Commentaire
du
texte « Lettre à Ménécée » Epicure    Dans
 son
 roman
 épistolaire,
 la
 Nouvelle
 Héloïse,
 écrit
 en
 1761,
 Rousseau
 écrit
 « Malheur  à  qui  n’a  rien  à  désirer. »  En
 effet
 depuis
 toujours
 l’homme
 est
 considéré
 comme
 un
 être
 de
 désir.
 Ainsi
 le
 célèbre
 philosophe
 Schopenhauer
 affirme
qu’
«Entre les désirs et leurs réalisations

veulent dire, sans être pourtant capables d’en proposer une définition précise et construite. Habituellement, pour remédier à cette difficulté,nous consultons un dictionnaire. Si c’est souvent utile, cela ne suffit pas. Donner la définition philosophique d’une notion suppose un travail de questionnement et de réflexion. Il existe plusieurs techniques qui permettent de donner à une notion un sens philosophique. En voici la liste: 1) l’emploi de la notion dans des expressions toutes faites

Le consentement donné à une proposition en ayant la certitude objective que celle-ci est vraie est une composante personnelle et individuelle. Le savoir se réfère à l’accumulation des connaissances, des pratiques et des méthodes d’investigation par l’humanité au cours de son développement. Tout homme, à un moment de sa vie, par des recherches personnelles se met en quête du savoir, car sans savoir, nous sommes condamnés à l’ignorance. Dès lors il semble être humain que celui qui ne sait point cherchera

Synthèse : Lettre à Ménécée. Mardi 10 Décembre 2013. Un économiste est une personne qui analyse l’économie d’un pays. Il essaie d’expliquer les problèmes qu’a rencontrés un pays et il essaie de prévoir les futures variations de l’économie. Un médecin est quelqu’un qui soigne des êtres humains. Il résout les problèmes de santé, qu’ils soient corporels ou spirituels. Un sage est une personne raisonnable qui ne recherche que du positif dans ses actions c’est-à-dire qu’un sage cherche à vivre dans

 Viviane : J’ai lu et relu à plusieurs reprises la lettre à Ménécée ainsi que le traité de la brièveté de la vie de Sénèque. Ayant pris le temps de réfléchir et d'analyser avec précautions chaque phrase une à une, malgré toutes les années passées depuis la première apparition de ces textes, je trouve que ceux-ci sont toujours aussi importants et d'actualité à notre époque. Même en 2015, le temps est un facteur précieux et fragile qui obsède chaque homme sur terre. Le temps gère nos décisions, nos

satisfait . Il est de bon ton de condamner le plaisir. Platon, dans Georgias, affirme qu'une vie réglée, contente et sastifaite de ce que chaque jour lui apporte, est préférabke à une existence inassouvie et sans frein . L'homme qui entend mener une vie de plaisir est semblable à un tonneau percé qu'il faudrait sans cesse remplir : à peine satisfait, le désir renait et avec lui la souffrance La vrai vie est du côté de l'âme . Fixer son attention sur le plaisir, c'est surtout s'attarder sur les objets

– PHILOSOPHIE Lettre à Ménécée, Épicure Né en 342 av. J. –C. sur l’île de Samos, Épicure est un grand philosophe grec, fondateur de l’école du « Jardin » à Athènes (306 av. J. –C.), que la postérité retiendra sous l’appellation d’épicurisme. Il meurt à l’âge de 71 ans en 270 av. J. –C., en laissant une œuvre immense qui ne comprenait pas moins de trois cents titres, œuvre dont il nous reste peu de chose : une Lettre à Hérodote, une Lettre à Pythoclès, une Lettre à Ménécée, et quelques maximes

sciences, la nourriture, etc. En contrepartie, il y a des thèmes à éviter qui sont l'humiliation, les relations conflictuelles, la violence ou encore la soumission. Les penseurs hédonistes doivent avoir une discipline personnelle. Cette doctrine est souvent associée à l'Antiquité avec Aristippe de Cyrène ou encore Epicure, bien que leurs définitions du plaisir soient différentes. On peut retenir comme œuvres récurrentes Philèbe de Platon, Lettre à Ménécée d'Epicure ou encore La Puissance d'Exister de Michel