Obéir Supprime La Liberté

au service d’une volonté particulière, exercée par une violence particulière. La force est un concept désignant la puissance d’action physique, mais aussi la contrainte morale, la violence. Contrairement à l’idée qui se pense par un effort de liberté, une force se mesure. Contrairement à l’idée qui régule, la violence ne régule rien, elle brise ou détruit. Si l’idée permet de juger, d’évaluer, de justifier dans une certaine mesure, la force ne justifie rien car la force ne fait pas le droit.

monarchistes, qui bénéficient du soutien de nombreux catholiques. Elle veut pourtant approfondir la laïcisation de la société. Dès 1878, les hôpitaux de Paris sont laïcisés, en 1880, les crucifix sont ôtés des murs des tribunaux et le nom de Dieu supprimé des serments judiciaires. Les lois Ferry de 1881 et 1882 rendent l'école primaire entièrement laïque ; aucun religieux ne peut plus y enseigner. Les programmes scolaires sont également laïcisés car Jules Ferry veut former, non seulement des citoyens

synonyme d’empire, d’emprise, de domination. Celui qui exerce l’autorité est toujours un dominus, c’est-à-dire un maître au sens de celui qui entend maîtriser. De l’autre côté, il y a ceux qui pensent que l’autorité libère. La supprimer reviendrait purement et simplement à supprimer la possibilité même d’éduquer. C’est aussi notre avis. Sans doute, faut-il déjà s’entendre sur les mots. La Potestas et l’Auctoritas (§ 2) La distinction latine entre potestas et auctoritas permet une première précision

constitutionnel. La Constitution est formée de l’ensemble des règles juridiques adoptées par un organe spécifique (par exemple, une Assemblée constituante). Cette procédure marque la supériorité de la Constitution sur la loi. La constitution écrite offre aux libertés et aux règles constitutionnelles une cohérence et une sûreté inégalées. Cependant pour que les avantages de l’écrit soit réels, la Constitution doit prevaloir l’existence d’un organe et d’une procédure de révision spécifiques. La Constitution coutumière

« indispensable » relativement à la tendance fondamentale de la nature qui est de persévérer dans son être. Tant qu’un homme n’a à choisir qu’entre la soumission ou la mort, il n’y a aucun sens à parler de liberté. La force contraint et même si on peut refuser de se soumettre à son ordre, elle est exclusive de la liberté. Sitôt qu’on peut désobéir on ne s’en prive pas. Voilà pourquoi le rapport de force n’est pas un rapport stable. Il s’ensuit que si c’est la force qui habilite le droit, toute force supplantant

l’Homme est un homme rationnel et la liberté des individus contient ses propres limites. Un bon citoyen sera quelqu’un de bien s’il écoute sa conscience. La puissance publique est là pour que les individus puissent mettre en œuvre de la liberté politique. A partir des années 1830 la vision des choses changent complétement. On considère qu’il y a radicalement un conflit entre l’individu et de l’autre côté la puissance publique. L’individu cherche à utiliser sa liberté dans un esprit égoïste et la puissance

commandement : « Fais ton devoir sinon gare à la sanction ! » est un ordre que subit celui à qui il s’adresse, dès lors qu’il est accompagné d’une menace extérieure, ordre qui vise à inscrire l’action dans le cadre d’une nécessité irrésistible et à supprimer sa liberté de choix de son auteur. Le pouvoir d’agir qu’implique de faire son devoir, sinon de le réussir, est alors la conséquence de la menace et de la peur qu’elle provoque et non de la capacité du sujet à s’engager volontairement à agir parce qu’il

(Kant, je viens de le dire), l'idéal (Hegel) ou l'inconscient (Freud). LA LIBERTÉ : Locke : "Est-il censé de se garder des putois pour se faire dévorer par les lions" Lions = Léviathan de Hobbes Putois = les hommes à l'état de nature A l’état de nature tous les hommes ont un moyen de se protéger des autres. Lorsqu'il y a un Etat tout puissant on ne peut pas se protéger de lui : il est donc libre de nous priver de nos libertés "qui me gardera de mon gardien" Spinoza : on est déterminé, ce sont les causes

muni de tous les droits, il le conduira de la naissance au mariage, en le gardant à la campagne, à l'abri de tout contact avec la famille, la société, les livres, pour le protéger contre l'influence néfaste de la civilisation, en lui laissant la liberté pour qu’il se forme par sa propre expérience, la nature étant le meilleur précepteur pour qu'en dépit de la civilisation soit recréé un homme naturel : «Vivre est le métier que je lui veux apprendre». Résumé Livre I Il est consacré

LA PLUS GRANDE FICHE DE PHILO : (partagez à tous vos potes de terminale de TOUTES LES SECTIONS émoticône wink identifiez vos amis ici en commentaire !! émoticône wink ) Sommaire : - le travail - la conscience - l'art - la liberté - l'inconscient - la politique - le langage  - la perception - la religion - autrui - morale - désir - culture  - bonheur - l'existence et le temps - la science - l'histoire (n'oubliez pas que les notions sont souvent liées. De plus, vous trouverez ici des doctrines, des