Obéir Supprime La Liberté

plaisir et incapable de rien voir ni faire qui | | |nous soit vraiment utile, c’est le pire esclavage, et la liberté n’est qu’à celui qui de son entier consentement vit sous | | |la seule conduite de la Raison. Quant à la conduite déclenchée par un commandement, c’est-à-dire l’obéissance, bien qu’elle| |5 |supprime en un sens la liberté, elle n’entraîne cependant pas immédiatement pour un agent[2] la qualité d’esclave. Il faut | | |considérer avant

principes s’adressent à un être qui peut obéir ou désobéir, qui est capable de faire des choix. Par exemple, si je suis nécessairement (le contraire serait impossible) amenée à commettre un inceste ou à mentir, j’ai une volonté capable de désobéir. « L'homme possède le libre arbitre ou alors les conseils, les exhortation, les préceptes, les défenses, les récompenses, les châtiments seraient vains », chacun des éléments de la liste présuppose la liberté, le libre arbitre, la notion de choix, si

décide d’y obéir. Pour la norme juridique, et toute les normes elle n’existe que si il y a des êtres pensant. * Etymologie du mot droit Le mot droit vient du bas latin : directum : diriger c a d ce qui n’est pas corrum : courbe. Et donc directum a donner le mot droit Jus a donné tous les dérivés : judiciaires, juristes, jurisprudence * Liberté au sens fort On peut dire d’un cheval qu’il est en liberté, ou un prisonnier qui s’est évadé. Cette liberté c’est la

I. La déshumanisation du monde A. Un monde surveillé - Police de la Pensée - Ministère de la Vérité = une illusion - Privation de liberté = surveillance, voir sans être vu - Champ lexical de la surveillance : à débiter des renseignements, télécran, captait tous les sons, champ de vision, être vu aussi bien qu’entendu, on était surveillé, se branchait sur une ligne individuelle, surveillait, mettre une prise sur votre ligne chaque fois qu’elle le désirait, tout son émis était entendu, tout

Napoléon car il supprime les assemblés et par la suite envois ses chiens pour faire obéir ceux qui ne sont pas d'accord, comme Staline envoyais sa milice pour évincer les opposants au régime. ● On vois aussi apparaître la propagande a travers le personnage de brille- babil qui utilise son savoir parler pour retourner la tête de ses camarades et leur montre la manière dont ils doivent penser. ● On voit aussi dans cet extrait que les animaux perdent de plus en plus de libertés comme ce fut le

s'opposait à ce système. Pour lui, les moyens de production devaient appartenir à la communauté et non aux dirigeants des usines, des sociétés. Karl Marx aida le prolétariat à faire tomber les capitalistes afin que les prolétaires ne doivent plus obéir à personne. Après la chute du capitalisme le communisme apparaît vers 1840, celui désigne que les prolétaires ne sont plus exploités. C'est en 1871 que Marx pense voir pour la première fois une forme d'existence historique pour la dictature du prolétariat

les citoyens comme condition de leur liberté. Dans La Politique III, Aristote, donne des définitions successives de la communauté politique. La première affirme qu'il faut un élément de « démocratie » à la base de tout régime politique légitime : le citoyen possède une fonction de commandement indéfinie ( aoristos archè ). La seconde distingue la vertu du citoyen et la vertu humaine : le bon citoyen est celui qui apprend à commander en obéissant, et à obéir en commandant. L'homme est suivant les

Faire, dire ou même penser ce qu'on a envie quand on en a envie est pour moi la définition de la liberté spontanée. Mais agir comme cela serait déplacé, si tout le monde agit de cette façon ce serait l'anarchie. Il faut donc respecter certaines contraintes. On assimile toujours la liberté a l'absence de responsabilités de contraintes, prenons l'exemple du prisonnier, il doit respecter des règles strictes. Il a des contraintes comme rester incarcéré le temps de sa peine ou même il ne choisit pas comment

question de supprimer le gouvernement. Il est question de rendre possible un meilleur gouvernement, c'est-à-dire un gouvernement qui éduquera les hommes pour rendre possible, un jour, l’absence de gouvernement. La Constitution, explique-t-il, peut constituer le mal si du bien naît le mal. La loi ne doit être suivie que si le corps politique dont elle est garante se porte effectivement dans la direction qui doit être la sienne. Il existe un moment où, en face du retournement de la liberté contre elle-même

car en réalité être captif de son plaisir et incapable de rien voir ni faire qui nous soit vraiment utile, c’est le pire esclavage, et la liberté n’est qu’à celui qui de son entier consentement vit sous la seule conduite de la Raison. Quant à la conduite déclenchée par un commandement, c’est-à-dire l’obéissance, bien qu’elle supprime en un sens la liberté, elle n’entraîne cependant pas immédiatement pour un agent la qualité d’esclave. Il faut considérer avant tout, à cet égard, la signification