Obéir Supprime La Liberté

politiquement qui doivent permettent à un état de pouvoir fonctionner. Ces lois sont établies pour être respectées par chaque citoyen. A l'origine, ces lois sont faites pour garantir la liberté de tous, et non de supprimer cette liberté. Toutefois, le fait d'établir des lois supprime inévitablement/ indéniablement certaines libertés. Le souverain est celui qui détient le plus de pouvoir sur l’Etat et qui représente cet Etat, donc s'il représente cet état, il serait logique qu'il LOI: loi sont la pour maintenir

la liberté). D’un point de vue simplement formel, • Ou bien c’est la loi elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition la loi ne peut pas permettre qu’on lui désobéisse (le principe même de la loi, c’est précisément qu’on renonce à être juge, ce que traduit Pascal - Pensée n°62, Le Guern - quand il dit qu’on doit obéir à la loi parce qu’elle est loi, non parce qu’elle est juste). • Ou bien c’est une instance supérieure qui autorise la désobéissance et cela revient à supprimer toute

être : Kant dit que ce sont « les lois objectives de la liberté, qui disent ce qui doit arriver ». Ce sont des lois prescriptives, qui énoncent un devoir ou une obligation auxquels cependant les individus ne se conforment pas nécessairement. Par exemple, la loi morale et le Code civil interdisent le mensonge, le Code pénal interdit le vol : ce qui n'empêche pas qu'il arrive que des gens mentent, et que des vols se produisent. 2. Liberté, loi naturelle et déterminisme a. L'idée de loi naturelle

va déterminer cet acte par lequel le peuple va s’auto institué-peuple, elle vise un fondement légitime qui ne peut t’être envisagé que dans la décision de libre volonté de chacun. Cette convention ne peut être que l’acte libre d’hommes libres .La liberté est l’enjeu de cet pacte, il est donc essentiel de veiller au cours de ce début de chapitre, si au terme de ce pacte elle est encore intacte, ou dans une nouvelle forme mais répondant quand même à son essence. * Le premier geste de Rousseau effectué

dans ce cas justifier la désobéissance d’une façon rationnelle ? Est-ce que, dans certaines circonstances, obéir à la loi serait justement un fait irrationnelle et immorale ? La loi peut présenter des caractères contraignants. On entend ici la loi morale et la loi juridique. La loi, en effet, est universelle, elle régit notre existence, et tout être raisonnable a pour devoir de lui obéir. En effet, le respect de la loi garantit notre vie en communauté, c’est elle qui nous permet de vivre ensemble

Machiavel dans Le Prince l’avait dit : « Les hommes ont inventé l’Etat pour ne pas obéir aux hommes ». Autrement dit, la création de cette entité appelée couramment l’Etat relève d’une forte volonté des citoyens, dans le cadre d’une société, d’ériger une institution, un cadre leur permettant de vivre ensemble. Les hommes ne voulant pas obéir à leurs semblables, ont préféré se dépouiller d’une partie de leur liberté et la mettre dans les mains d’un souverain, choisi par le peuple. C’est à lui que reviendrait

pouvoir de l’URSS en 1922. Il y met en place l’idée de faire de son peuple des ouvriers soumis. Le nazisme est aussi un régime totalitaire dirigé par Hitler (1889-1945) entré au pouvoir de l’Allemagne en 1933. Son but est de reconstruire le pays, supprimer le Traité de Versailles, et regrouper tous les Allemands. Pour cela, Staline et Hitler utiliseront des moyens similaires. Alors nous pouvons nous demander quelles sont les convergences et les divergences de ces formes de pouvoir similaires? C’est

charnelle une autre personne. Le désir renvoie aussi à la passion : quand vous désirez quelque chose ou quelqu'un, vous ne pensez plus qu'à ça et sa vous obsèdent. Par conséquent le désir, c'est une source de souffrance, au sens où il vous enlève votre liberté. Le désir corporel apparaît comme une force qui vous traverse, sans que vous puissiez y échapper ( ex: vous faites un régime et vous passez devant une boulangerie, vous perdez le contrôle de vous même, vous succombez à la tentation et vous mangez

Pour l’opinion commune, l’autorité est le pouvoir de prendre des décisions, de commander et de dominer. Elle se caractérise par sa puissance qui lui permet de se faire obéir, respecter et d’imposer sa confiance. Face à un tel pouvoir marqué par une supériorité tant au niveau de la force que de la légitimité, peut-on lutter contre l’Autorité? Le verbe « lutter » semble porter d’abord une dimension de difficulté qui conduit à nous demander si nous avons la possibilité, c’est-à-dire les moyens, de lutter

des libertés publiques Il existe quatre façons de classer les libertés publiques : * Par domaine, constitué de quatre sphères (privée, sociale, économique et politique) * Par mode d’exercice, les libertés collectives, individuelles et les droits-créances, * Par dimension de la personne, personnes physiques (Droit a la vie, à la procréation…),personnes intellectuelles (liberté de conscience, d’expression,..) * Par la notion de liberté, la protection contre l’arbitraire, liberté de