Œuvre d'art

technologique se rapprochant de la publicité. On pourrait se demander si la publicité est une forme d’art ? Dans une première partie nous aborderons que la publicité n’est pas réellement considérée comme une forme d’art puis dans une seconde partie nous aborderons que dans la publicité nous retrouvons des similitudes avec les œuvres d’art. La publicité n’est pas réellement considérée comme une forme d’art… En effet, la publicité est différente de celle de l’art. Ils n’ont pas les mêmes raisons de

tout ce qui est gratuit n’est pas de l’art. L’énigme du beau Seules les œuvres jugées belles sont en général considérées comme des œuvres d’art. Or cette qualité dite « esthétique » (c’est-à-dire apparenté à l’art) est difficile à établir objectivement, et ceci pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il y a une part d’énigme dans la beauté, et cette incongruité, ce caractère irrationnel du beau, se retrouve dans l’œuvre d’art. Aristote dit « Le hasard aime l’art, l’art aime le hasard », tandis que

Question du jugement Esthétique : Explication de Texte de Hegel : Contexte historique : - Sous Napoléon, qui s'est récemment auto-proclamé empereur, après les pillages (devenus légaux et même un devoir) des biens privés et la dilapidation des œuvres d'art, la notion de patrimoine et surtout celle du devoir et de l'intérêt qu'il y a le sauvegarder a fait son chemin. En 1793 des mesures sont prises à cette effet : Talleyrand crée un comité qui étudie les monuments, les sciences et les arts. De son

l'histoire des forme générale de la vision propre à une époque. La forme est à prendre ua sens de « forme optique », le style est donc une certaine manière de voir, d'ordonner des éléments. Cette mis en ordre possède une rationalité que l'historien d'art doit étudier. L'émergence d'un nouveau style s'explique par le fait que « le style pictural n'est jamais apparu que parce que son heure avait sonné, c'est-à-dire parce qu'on était capable de le comprendre » explique Wölfflin. Cela signifie que, sans

la notion reconnue par la plupart des esthétiques contemporaines d’ambiguïté. Selon celles-ci, « l’œuvre d’art est un message fondamentalement ambigu, une pluralité de signifiés qui coexistent en un seul signifiant[1]. » Si cela se vérifie pour toute œuvre d’art, l’ambiguïté devient une « fin explicite », « une valeur à réaliser de préférence à toute autre » dans le cas de certaines œuvres d’art contemporaines qu’il qualifie d’ouvertes[2]. À cette fin, « les artistes contemporains ont souvent recours

en effet une nouvelle sorte de musée du High Tech, exposant des produits de haute qualité. Des œuvres d’arts En effet, l’Apple Store s’intègre dans une vision de musée d’exposition. Ce ne sont plus des spécialistes en tableaux ou en sculptures mais des gens de tous horizons confondus qui se retrouvent dans un lieu nouveau. Le concept autour du produit se ressent comme la mise en valeur d’une œuvre d’art ; à la seule différence que l’Apple Citizen peut le tester, le prendre en main. Concernant l’architecture

PARIS, MONTPARNASSE Andreas GURSKY, 1993 Quels éléments de la photographie Paris, Montparnasse d’Andréas Gursky en font une œuvre d’art ? Andreas Gursky Andreas Gursky é en Allemagne en 1955, d’un père photographe commercial, Andreas Gursky est l’un des plus grands photographes européens contemporains. Destiné à suivre les traces de son père, il décide cependant d’effectuer des études de photographie à Essen. En 1981, il entre à l’Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf, où il suit les

surtout un acte de la volonté, une attitude active. Il n’est pas donné à tout le monde d’être artiste. Chacun n’a pas non plus la même aptitude à apprécier les œuvres d’art. A quoi tient alors cette différence entre les hommes devant l’art ? Elle peut provenir de la diversité des histoires individuelles. Ainsi la sensibilisation aux œuvres d’art ou encore la perspective de devenir soi-même créateur relèvent sans doute de rencontres, d’expériences qui font l’histoire de chacun. Quelle part l’étude, l’enseignement

Publié le : 8/4/2005 -Format: Document en format FLASH protégé Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d'art ? être : Du latin esse, « être ». 1) Verbe : exister, se trouver là. En logique, copule exprimant la relation qui unit le prédicat au sujet (exemple : l'homme est mortel). 2) Nom : ce qui est, l'étant. 3) Le fait d'être (par opposition à ce qui est, l'étant). 4) Ce qu'est une chose, son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu

Il est l’un des premiers à avoir compris le rôle des concepteurs, des artistes et des spectateurs dans l’œuvre d’art, quelle que soit leur époque, ce qui a remis en cause mes premières idées, me poussant à chercher plus loin, à universaliser mon propos. Ici, Mâle met en parallèle le langage et les arts, parlant de "grammaire" et de "style". Qu'est-ce que la grammaire d'une oeuvre, sinon sa forme, témoignage du savoir faire de l'artiste, sa capacité à recourir, à utiliser, à maîtriser certaines