Officier de police

un maire peut à nouveau se présenter comme candidat. Le rôle du maire : En plus de son rôle de premier magistrat de sa ville, le maire peut aussi être député, sénateur, conseiller régional ou conseiller général. Le maire est également Officier de Police Judiciaire (OPJ). Il peut exercer certains des pouvoirs que lui confère la loi, et notamment la procédure pénale. Le maire et ses conseillers travaillent à la mairie. Ils s'occupent : • des aménagements de la ville • des transports • des

L’elément morale de l’infraction :volenté de tendre vers une infraction. Classement des infractions : Les infractions pénales sont classées, suivant leurs gravité, en CRIME (cour d’assises) , DELIT (tribunal correctionnel), CONTRAVENTION (tribunal de police). Cette gravité de traduit par la peine dont la loi réprime cette infraction Crime : peine pas inférieur a 10 ans Délit : max 10 ans , min amende de 3750€ Contravention : amende max 3000€ Prescription : -Prescription de l’action publique :

rapprochement entre administrations d’Etat et administrés) • Maire : double casquette (à la fois déconcentrée et décentralisée), pour ses attributions admin. Il organise notamment les élections (il est sous l’autorité du préfet dans ce cadre), il est officier de police judiciaire (peut constater infractions, chercher les auteurs…) sous autorité procureur de la République • Recteur d’académie : dirige pol. [...]

mainlevée magistrat ou ordonnance remise en liberté – 124 CPP) => Notification : OPJ – APJ – APJA – AFP – exceptionnellement huissier (comparution) et chef de l’établissement pénitentiaire (déjà détenu) – (123 al. 3 et 5 CPP) Jamais officiers Gie, ni commissaires de police (R.188 CPP) => Sanction irrégularités : compétence ordre judiciaire - magistrat ou PR : sanctions disciplinaires ou prise à partie - nullité des mandats si irrégularité de forme ou de mise à exécution (incompétence magistrat

l’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante 94 Qui décide de l’ouverture d’une information judiciaire ? L’information est ouverte à la demande du procureur de la République après une enquête préliminaire menée par les services de police ou de gendarmerie. La défense se trouve dès lors dans une position d’infériorité puisqu’elle n’a pu exercer aucune influence, ni même exprimer aucune opinion sur la valeur des indices et des témoignages considérés par l’accusation comme des charges

procdure pnale, 5 de lordonnance du 2 fvrier 1945 relative lenfance dlinquante 94 Qui dcide de louverture dune information judiciaire Linformation est ouverte la demande du procureur de la Rpublique aprs une enqute prliminaire mene par les services de police ou de gendarmerie. La dfense se trouve ds lors dans une position dinfriorit puisquelle na pu exercer aucune influence, ni mme exprimer aucune opinion sur la valeur des indices et des tmoignages considrs par laccusation comme des charges. Linformation

reste impunie ou non élucidé ». On peut très facilement illustrer cette phrase au vu du nombres d’affaires qui sont ré-ouvertes ou élucider plusieurs années plus tard. C’est pourquoi au regard de l’article 14 du code de procédure pénal (CPP), la police vient constater les infractions à la loi pénale, en rassemblant les preuves et en recherchant les auteurs de ces infractions. Le terme d’enquête provient du latin « enquere » qui signifie recherche, soit une suite d’acte ayant pour objet la recherche

est appréciée souverainement par le juge, selon son intime conviction, et peut faire l’objet de sanction. En effet, l’article 434-13 du Code pénal prévoit que tout « témoignage mensonger fait sous serment devant toute juridiction ou devant un officier de police judiciaire agissant en exécution d'une commission rogatoire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende ». D’autres garanties permettent au témoignage de gagner en véracité : le témoin doit relire le texte de sa déclaration

visites des magistrats et fonctionnaires précités peuvent avoir lieu, exceptionnellement et en cas d'urgence, en dehors des heures normales d'ouverture des locaux de détention, après approbation du directeur de l'établissement. Article 8 : Les officiers de police judiciaire agissant sur commission rogatoire ou sur instruction du ministère public, ont accès auprès des détenus dans les conditions prévues à l'article précédent, après acceptation du directeur de l'établissement. Article 9 : Les agents chargés

consiste plutôt en démarche quasi-scientifique pour obtenir des informations exactes afin de réaliser un bon recrutement, d’évaluer avec justesse un salarié. Entre le travail d’un sociologue qui doit se délester de ses valeurs, et le travail d’un officier de police judiciaire qui mène l’enquête, le RRH va cherche de l’information à chaque rencontre pour la performance de l’entreprise et le développement personnel de chaque salarié. L'entretien