Oh les beaux jours

théâtre est aussi littéraire qu'orale, elle est écrite par l'auteur pour être jouée par un comédien et entendue par des spectateurs. Ainsi, la parole ne fait pas que « dire » ; la tonalité de la voix, le rythme des phrases ou des vers (dans Oh les beaux jours de Beckett, chaque pause dans le discours de Winnie et marquée par l'auteur dans le texte, qui précise même sa longueur), la sonorité des mots, les rimes constituent une parole qui marque le spectateur par des impressions, de la même façon

Bête. Pauvre Belle ! La Bête la tient à merci – impuissante et prisonière, - elle lui impose à tout heure du jour son implacable et pesante présence... La Belle est fière, digne, - elle s' est faite dur... Mais la Bête vaut mieux qu ' elle ne semble. Oh ! Elle n' est pas très dégrossie ! Elle est maladroite, brutale, elle paraît bien rustre auprès de la Belle si fine !... Mais elle a du cœur, oui, elle a une âme qui aspire à s' élever. Si la Belle voulait !... La Belle met longtemps à vouloir. Pourtant

hallucinantes. Il s’agit d’un précurseur, puisque ses pièces ont été écrites avant la guerre, mais publiées après. Les pionniers  Samuel Beckett (1906–1989) : il a une volonté de faire un spectacle laissant une impression de vide (En attendant Godot, Oh les beaux jours, Fin de partie) Arthur Adamov (1908–1970) Eugène Ionesco (1909–1994) : il déteste les genres plus classiques de théâtre, n’aimant que les sources primaires des théâtres antiques. Sa pièce principale est La Cantatrice chauve, pièce qui est en

Répondirent en choeur les élèves. - Aujourd'hui deux nouveaux élèves se joindront à nous. - Bon encore des nouveaux. Me plaignis-je. - Hey, c'est peut-être des mecs supers beaux. chuchota Gaby. - Le problème c'est que tous les nouveaux de cette année sont beaux. Pendant que moi et Gaby se chicanent, les nouveaux entrent dans le gymnase. - Oh mon Dieu. Disent la moitié des filles. - Cass... Cass... Regarde, ils sont à couper le souffle, dit Gaby en me donnant des coups de genou sans vraiment attirer mon

pour prendre les fèves à l’intérieur. On fait sécher les fèves au soleil pendant dix jours. Les fèves de cacao séchées sont envoyées à la chocolaterie : c’est une usine où on les écrase pour en faire une pâte brune appelée le beurre de cacao. Pour faire du chocolat noir, on ajoute au beurre de cacao du sucre et un peu de vanille. Parfois, on ajoute des noisettes ou du lait. On remue ce mélange pendant deux jours. FICHE 4 ☺Lis ce texte puis réponds aux questions Le tigre et les deux petits

trempée, qui grelottait de peur. Lorsque le coup de tonnerre les eut secoués tous les deux, il s’écria : « Ah bien ! si je m’attendais… Qui êtes-vous ? que voulez-vous ? » Il ne la voyait plus, il l’entendait seulement sangloter et bé-gayer. « Oh ! monsieur, ne me faites pas du mal… C’est le cocher que j’ai pris à la gare, et qui m’a abandonnée près de cette porte, en me brutalisant… Oui, un train a déraillé, du côté de Nevers. Nous avons eu quatre heures de retard, je n’ai plus trouvé la personne

2) Ronsard, « Je n’ai plus que les os », Derniers Vers, 1586 3) Baudelaire, « La Mort des amants », Les Fleurs du Mal, section « La Mort », 1857 Le personnage de roman du XVIIème à nos jours GT : En quoi le point de vue est-il essentiel au topos de la jalousie ? 1) Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839 5 10 15 20 25 30 35 40 Le comte Mosca pense que la duchesse Gina de Pietranera, sa maîtresse, le

toujours été sage et obéissante au grand bonheur de ses parents. La jeune fille était très serviable, active et savait exactement ce qu’elle voulait : elle avait assuré jusqu’à ses quinze ans que seuls les études et son père ne comptaient, et que jamais, oh non au grand jamais, elle ne deviendrait une de ces adolescentes vaniteuses, vulgaires et mal-éduquées qu’elle rencontrait parfois. Cependant, tout avait changé l’année de ses quinze ans. En effet, jusqu’à présent, elle était heureuse. Jusqu’à

poésie : une interaction de mots imagés. De mes yeux, de mes oreilles, de ma vue ou de mon ouïe, la poésie m’est toujours aussi agréable. Pour nombreux d’entre vous, Oh !  Cher lecteur, la poésie est un simple fantasme d’un poète, Oh combien isolé et seul, cherchant vainement l’amour avec de simples mots beaux comme nos chères dames. Je vous dirais que vous n’avez ni raison, ni tort. La simple richesse des vers m’est si douce et instructive que mon nantie existence se résume à la lecture

Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter. Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde, Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ; Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement, Aux étranges reflets de la clarté blafarde. Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées. Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils