Opinion Publique 18eme Siecle

L’absolutisme monarchique A) La force de la monarchie absolue. Au XVIIe siècle, le développement constant de l’administration royale permet la croissance de l’État moderne et fait sa force. Cet État monarchique semble vaincre toutes les résistances. La nécessité de stabilité et l’influence de la religion catholique dans le royaume renforce la légitimité du pouvoir absolue du roi. Le XVIIème siècle est le siècle qui succède aux périodes des guerres de religions, qui ont entrainé un certain

institutionnelle, donc d’une notion juridique formelle à une notion sociologique et réaliste. Le phénomène de l’Etat en tant que réalité politique et sociologique a remis en question toutes les analyses et justifications classiques (19eme, 20eme siècle). Les auteurs classiques cherchaient un fondement de l’Etat selon une analyse philosophique et idéologique, alors que les théories contemporaines cherchaient une analyse réaliste de l’Etat. SECTION 1 : LES ANALYSES CLASSIQUES DE L’ETAT : Par le

littéraire, club), ou encore à un niveau plus général et politique (exemple : la société française, ou la société anglaise). On peut donc parler d’État. La politique met donc en place une organisation de la vie sociale en séparant clairement la vie publique et la vie privée. Et pour assurer le bon fonctionnement de l’état, cette différentiation est nécessaire. Le public se réfère donc à l’intérêt collectif, alors que le privé est par définition ce qui n’est pas commun à tous, ce qui est relié à la sphère

monarchie absolue. Cette analyse est-elle exacte, faut-il vraiment penser que l’assassinat d’Henri IV a interrompu un processus qui acheminait la monarchie française vers une monarchie tempérée de type parlementaire ? De bons esprits l’ont pensé au 18ème siècle et même à une époque récente. D’autres l’ont nié avec énergie, affirmant que l’absolutisme était le corolaire nécessaire, la conséquence incontournable du développement d’un grand Etat moderne. Toujours est-il que cet absolutisme est de plus

Chapitre 2 : La source grecque 6ème siècle avant J-C. On a traduit l'ancien testament en grec. Sous l'empire romain, le grec est la langue des savants. Cette civilisation grecque apparaît comme « un miracle grec » ( E.Renan ). En religion, le miracle est directement déterminé par le divin. Dans le monde Méditerranéen de l'époque, apparaît une toute nouvelle façon de concevoir l'Homme. Aubenque : Philosophie antique Festugiere : L'homme grec Jean Brun : Les présocratiques / Socrate /

rappelle les faiseurs d’ombres dans la caverne de Platon (République VII). Il est si aisé d’être mineur ! Si j’ai un livre qui me tient lieu d’entendement, un directeurLes prêtres, qui souvent occupaient cette fonction de directeur de conscience au 18ème siècle auprès de ceux qui avaient les moyens de payer, sont clairement visés ici qui me tient lieu de conscience, un médecinOn peut penser que le médecin est plus qualifié que nous pour décider de notre régime. qui décide pour moi de mon régime, etc.

Introduction: La religion comme un mot et un concept euro-centrique Euro-centrique: centrée sur l'Europe. A) l'étymologie du mot L'étymologie du mot a fait l'objet de débat dès les siècles avant JC. Celui ci a été tranché dans les années 70. Pour l'auteur latin Ciséron (homme politique latin et sénateur romain du 5ème siècle av JC), le verbe latin « legere » pourrait être à l'origine de religion. Legere signifie cueillir, ramasser, collecter. Par conséquent, relegere signifie recueillir. Lactance

etc). Certains membres de cette population dispose de la nationalité de cet Etat. L'Etat est une personne morale de droit publique. Ici l'Etat moral est doté de souveraineté. L'Etat ne connait aucunes autres organisations. Cette souverainté confert à l'Etat une puissance reconnue. Celle-ci permet à la démocratie de se tenir. L'idée de l'Etat est né à partir du 16éme siècle avec plusieurs théories, notamment le contrat social. Définitions: le contrat social: Acte par lequel une personne se réduit

pense à ce corps des agents de l’Etat. Au cours des siècles, le terme « administrer » a évolué. En effet, « administrer » est synonyme de « gérer » les affaires. C’est le sens premier que l’on donne. On évoque même comme deuxième sens : « administrer un sacrement » (pour les prêtres) ; dans le sens de donner, d’administrer à quelqu’un une action ou un remède (pour un médecin par exemple). En termes de droit, de procédure, de justice, au 19ème siècle, le troisième sens qui est donné au terme « administrer »

droit se trouve dans la Nature. Théorie défendue par Aristote (4ème siècle A.V J.C) : L’éthique à Nicomaque. → « le droit est l‘art d’atteindre par de dame nature. » Conception du droit selon Aristote : Il doit correspondre à l’ordre naturel des choses. Justice = attribuer à chacun ce qu’il lui revient. Droit naturel prime sur le droit positif. B) Au dessus du droit, la loi divine. Selon Thomas d’Aquin (13ème siècle), il existe 3 lois : La loi humaine. La loi naturelle (universelle