Opposition Rousseau Descartes

espoirs formulés jadis, au point qu’on avait cessé de se réclamer des Lumières, et que les idées portées par des mots comme humanisme, émancipation, progrès, raison, libre volonté étaient tombées en discrédit. Les auteurs Milton, Turgot, Voltaire, Descartes, D’Alembert, Lessing et Condorcet croient que, l’humanité pourra accéder à sa majorité grâce à la diffusion de la culture et du savoir. Cette vision de l’histoire comme accomplissement d’un dessein sera reprise par Hegel et puis Marx, et passera

(427-356 av JC). L'antiquité est une source de référence pour les orateurs: - Demosthène (284-322 av JC)- Cicéron (106-43 av JC) Pour les historiens: - Jules César dans «Commentaires sur la guerre des Gaules» qui sera ensuite appuyé par Montaigne, Rousseau... Pour les critiques et les lecteurs: - Molière dans «L'avare» (1668) ou dans «Amphitryon» (1668) Jean Anouilh qui a écrit son oeuvre en s'appuyant de l'oeuvre de Sophocle avec «Antigone» réprésenté en 1944 (à la fin de la seconde guerre

questions dont elle devrait s’occuper, ni sur ses fonctions, voire même sur l’expression de « philosophie du droit », à laquelle certains préfèrent celle de « théorie générale du droit ». Ces différences terminologiques reflètent en partie d’autres oppositions d’ordre théorique ou épistémologique, entre philosophie du droit des juristes et philosophie du droit des philosophes ou encore entre ce qu’on appelle « droit naturelle » et « droit positif ». D’où la nécessité d’une distinction : a. Philosophie

déployer également dans le domaine de la pratique. Et ces efforts ne consistent pas seulement à bâtir des théories mais à proposer également des constitutions. On peut penser au travail qu'ont mis en oeuvre Locke pour la constitution de la Caroline, Rousseau pour la constitution de la Pologne. Mais on risque alors de nous objecter les rapports de Platon avec la politique, les déboires d'Aristote avec Alexandre, et la façon dont des concepts philosophiques ont servi à mettre en place des régimes que la

fort ? Le désir est signe d'une imperfection. Si l'homme cherche à satisfaire son désir, c'est qu'il y a un manque en lui, non pas un besoin mais une passion. En effet le désir est souvent présenté comme la face négative du besoin. Plusieurs oppositions sont proposées : celles du naturels et de l'artificiel, du nécessaire et du superflu, de la satisfaction et de l'insatisfaction, du possible et de l'impossible. On serait tenté d'opposer le caractère naturel du besoin au caractère artificiel du

esthétique fondée sur une rechercher de la perfection, sont maître mot est la raison. Nicolas Boileau Pierre Corneille Jean Racine Molière La Fontaine Jean de La Bruyère F. de La Rochefoucauld Madame de La Fayette René Descartes Blaise Pascal Bossuet | XVIIIème siècle : (Siècle des lumières) : Mouvement intellectuel initié en Europe du XVIIIe siècle, dont le but était de dépasser l'obscurantisme (attitude d'opposition à la diffusion du savoir)

Discipline intellectuelle qui suppose une confrontation avec les auteurs des textes philosophiques. Méthodes rationnelles et critiques ( car il ne s'agit pas d'avancer des opinions toutes faites, des préjugés mais au contraire de les critiquer ). Descartes peut nous aider pour assimiler les méthodes car il dit qu’il faut combattre 2 choses: -La précipitation, consistant à juger avant d'avoir atteint l'évidence que nous donne l'intuition de la vérité. -La prévention qui consiste à juger selon des

est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 2. La libération par la raison (Spinoza) 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) D. L’aliénation 1. L’inconscient (Freud) 2. L’aliénation

exemplaire car il sert d'intermédiaire entre les mathématiciens Descartes, Gassendi, et Fermat. En outre, les publications de périodiques se multiplient. Le Journal des savants est publié à Paris dès 1665, les Philosophical Transactions paraissent à Londres en 1665 et les Acta eruditorum à Leipzig en 1682. Mais les mathématiciens n'hésitent pas non plus à se déplacer et voyager pour rencontrer et dialoguer avec d'autres chercheurs européens. Descartes, Huygens, Mersenne, Leibniz parcourent ainsi l'Europe à

Renaissance : premier mouvement de rupture avec la tutelle religieuse. Naissance alors de l’humanisme avec un recentrage sur l’homme. Ce mouvement est incarné par un auteur français : Descartes (1596/1650), « le discours de la méthode » en 1637. Au même moment, Grotius décide de refonder le droit sur la base de la raison. Descartes. Dans son discours de la méthode, il essaye d’exposer la méthode pour penser par soi même et qui permet donc de se libérer de l’autorité, d’une source de savoir déjà présente