Panel Nielsen

Au-delà de l’alourdissement des prélèvements fiscaux (déjà plus élevés que dans de nombreux pays européens), cette « taxe soda » a pesé sur les performances économiques et financières des industriels (baisse de 1,4 point du taux de résultat net du panel Xerfi en 2012). Ces derniers ont été contraints de procéder à des ajustements en matière d’emplois, d’investissements, de dépenses de communication et marketing, etc. Par ailleurs, cette taxe a eu un impact indirect sur les ménages, qui ont subi une

Part de marché relative = % du marché détenu par l’entreprise par rapport à son plus gros concurrent Comment connaître sa PDM : les syndicats professionnels éditent des statistiques de vente pour l’ensemble du marché Abonnement aux panels de détaillants (Nielsen) ou de consommateurs (GFK) pour connaître l’évolution des parts de marché de son entreprise et de ses concurrents Prévoir sa demande future : a) Les enquêtes d’intention d’achat organismes d’enquêtes tel que la SOPRES (Wegener DM)

précédente) 9% : Le poids de la promotion 30% : La part des MDD (valeur) (Source : SymphonyIRI)  Le Ketchup 86 M€ : Le chiffre d'affaires (+ 4,1% par rapport à la période précédente) 10% : Le poids des promotions 50% : La part des MDD (volume) (Source : Nielsen ; origine : industriels)  La mayonnaise 171,3 M€ : Le chiffre d'affaires (- 0.2% par rapport à la période précédente) 12% : Le poids des promotions 27,1% : La part des MDD (valeur) Sauces chaudes (Source: SymphonyIRI) Sauces chaude 54,15 M€ : Le

permanentes : panels Le panel de détaillants ou de distributeurs est une enquête permanente réalisée par des sociétés spécialisées (Nielsen, GFK,...) qui fournit des informations quantitatives bimestrielles à des clients industriels pour la plupart. Cette enquête repose sur l'équation la plus simple: Vente de la période considérée = stocks de début de période+ livraison ou achats de la période - stocks de fin de période. Les informations standards fournis par l'enquête de Nielsen sont : Les ventes

étudie et connaît les représentations, les motivations, les attitudes ou le processus d’achat des consommateurs, meilleures seront les décisions prises par les entreprises. Celles-ci font donc appel à des instituts d’études** (Sofres, Ipsos, BVA, Nielsen, Gfk...) pour réaliser deux grands types d’études : des études qui aident à la réalisation de la stratégie générale (études de marketing stratégique) et des études qui testent l’impact des décisions prises (études de marketing opérationnel). Les hommes

quantitatives ponctuelles 33% : relatives à des études dites de panels, études régulières (baromètres, enquêtes omnibus) 15% : études qualitatives (Exemple : quelles sont les valeurs véhiculées par ma clientèle ?) Les ¾ : études auprès des particuliers ¼ : études auprès des professionnels et des entreprises (B to B) Les sociétés d’études les plus importantes (CA en 2005 = 1 milliard d’euros) : TNS France (216) Nielsen (115) Ipsos France (101) GfK France (69) IMS Health

réseau. 3. Evaluation du circuit de distribution : ➢ Un producteur doit pouvoir évaluer le taux de présence de ses produits dans les points de vente, ainsi que celui de ses concurrents. Ces informations sont données par le panels de détaillants de Nielsen sous forme de deux indices appelés : Distribution numérique ou Disponibilité Numérique (DN) Distribution Valeur ou Disponibilité Valeur (DV) a- Distribution numérique ou Disponibilité Numérique (DN) :

différentes phases que doit normalement respecter un message publicitaire : attirer l’Attention, susciter l’Intérêt, provoquer le Désir, inciter à l’Action. Analyse d’audience : C’est un travail réalisé à partir de données d’audience (résultats de panels TV, audience web…). L’analyse d’audience permet d’identifier les comportements de consommation du media ou support considéré et aussi éventuellement d’établir des profils d’audience. Animatic : Technique de présentation d’un spot publicitaire TV

d’appel : nombre achat/ nombre acheteur on l’utilise pour repartir les produits avec degré d’appel important ; produits d’achat de conviction (coca, evian) au fond du magasin en fin de rayon - les normes linéaires fixées à partir : -des données Nielsen Secodip -des linéaires moyens de l’enseigne ( dans 85% des cas, la centrale fournit des plans types d’implantation) -de la politique commerciale de l’enseigne -des indicateurs économiques pour chaque famille de produits -du «  taux de service »

concurrent ou non, localisé dans une autre zone. L’image de prix est également formatée par les caractéristiques objectives associées au point de vente, telle que la taille, les services et le personnel. Ainsi on constate par exemple, selon une étude Nielsen sur les niveaux de prix commandée par E.Leclerc Les Angles, une différence de prix d’environ 8% entre ceux pratiqués au Carrefour Market des Angles et ceux constatés au sein de l’hypermarché Carrefour situé à une dizaine de kilomètres plus loin