Paradoxe Autonomie Tutelle Majeurs Proteges

début de cette première partie, les coûts de transports et la montée en puissance des nouvelles technologies permettent aux firmes multinationales de répartir leurs unités productives dans une large palette de territoires. Elles sont les acteurs majeurs de la globalisation de l'économie, par des mécanismes classiques tels que les IDE (investissements directs étrangers), les fusions acquisitions, les partenariats industriels, l'externalisation... On peut remarquer que les flux d'IDE restent concentrés

terribles, Mao est accusé d’être le responsable du désastre. A partir de 1961, la faction de Deng Xiao Ping prend le contrôle au sein du PCC. Deng lance une nouvelle politique plus libérale, certains ont assimilé cette politique à la NEP : - Large autonomie aux paysans : possibilités de vendre les excédents sur le marché et droit de cultiver un lopin familial. - Les cadres bourgeois de la société (professeurs, administrateurs, chercheurs) retrouvent leurs postes. - La Chine veut affirmer une forme de

Principe de la séparation des pouvoirs (Montesquieu). Il va dire à qui appartient le pouvoir et qui a le pouvoir de l’exercer. Le droit constitutionnel va attribuer des compétences, des privilèges. °Protéger, le droit protège les individus, les citoyens qu’ils soient français ou étrangers, qu’ils soient majeurs ou mineurs, toutes les personnes physiques ou morales sont protégées. °Symbolique, identification d’une Nation. La constitution va définir l’identité d’un pays (langue, drapeau, hymne, devise)

privés, et notamment économiques (laboratoires) ; médecins, infirmiers. Acteur invisible : l’opinion publique, très importante pour les autres acteurs. Autre dimension : Q° de la gestion des populations. Engage un nouveau rapport au corps : corps protégé et non plus assujetti. Foucault a proposé la notion de « biopolitique ». Dans ce cas précis, c’est une action publique liée à l’inattendu, qui va saisir l’ensemble des acteurs. Rôle des médias : construisent le problème, les peurs. Tout cela a participé

les propriétaires les plus forts et ils ont le plus d’intérêt au contrat car il protège leurs biens. Le faux contrat va engendrer la pire des sociétés : la société despotique. C’est la fin de l’état de nature. Il faut ainsi rédiger un vrai contrat social, idée de Rousseau. Ce vrai contrat est décidé par tous les individus dans le but de transférer tous ces droits à la communauté (« volonté générale ») pour protéger de la force, tous les individus et leurs biens. Ainsi nait un corps social et collectif :

les juridictions de Droit pénal sont des juridictions de Droit privé : Le tribunal de Police, le tribunal correctionnel, La Court d’assise. Le Droit Pénal relève également du Droit public car les sanctions (emprisonnement, peine d’amende) visent à protéger la société dans sa globalité = l’Etat.  La procédure pénale : mixte pour les mêmes raisons que le Droit pénal. Elle vise à déterminer les conditions dans lesquelles les auteurs d’infractions sont poursuivis et appréhendés. Ce sont les règles relatives

mal nécessaire qui limite la liberté individuelle, cependant on cherche dans ces conceptions à protéger cette liberté, soit l'état doit se limiter à ce qui est strictement nécessaire à la protection de l'état, ne pas aller au-delà de ce qui garantit la sécurité (ordre publique) et permettre à chacun d'y exercer sa volonté propre dans la sphère de la liberté individuelle de chacun. Il doit juste protéger la propriété privée. Par exemple, l'état ne peut limiter la liberté d'expression à d'autres fins

prendre un sens plus précis notamment aux USA avec 2 termes qui sont acollés au terme enthropologie: ->l'anthropologie sociale ->l'anthropologie culturelle Un auteur va jouer un rôle important : Claude Levi-Strauss. Il va jouer un rôle majeur dans le terme d'anthropologie. Levi-Strauss va définir l'anthropologie dans le sens d'une science sociale et culturelle générale de l'homme. Aujourd'hui, ce terme est donc un terme générique pour définir les sciences sociales et culturelles de l'homme

de la récidive en avant 54 1.3. Les marges de manœuvre 60 2. Un réseau de partenaires fragile et incertain 62 2.1. L’exigence partenariale 62 2.2. Proximité et confusion des compétences 68 3ème Partie Politique symbolique et paradoxe pénitentiaire 74 1. Le sens de la peine en contradiction 74 1.1. La contradiction des moyens 74 1.2. La non réforme par les instruments 79 2. Un dynamisme qui alimente l’inertie 83 2.1. Une politique incrémentale 83 2

mais pas quant aux sanctions ou aux limites. La liberté est aussi une autonomie (auto nomos en grec, le sujet se fixe sa propre règle). Le sujet va déterminer les moyens qui lui sont nécessaires pour arriver à ses buts. La liberté est un pouvoir juridique. Ni les tiers, ni la société ne peut porter atteinte à cette autonomie. Le droit sanctionne, sous certaines conditions, les atteintes qui pourront être portées à cette autonomie. Les règles laissent le pouvoir de fixer le contenu de la liberté mais