Paradoxe d'Olbers

8) : perception flou des dangers posés et connaissance purement théorique (l.7) Thèse 2 : complète la 1ère « ce n'est pas tout » (l.20) Accentue le pessimisme : fragilité du monde causé par l'homme lui même, il souligne le paradoxe de notre attitude (l23-25) avec le mot « paradoxe » 2. Un raisonnement logique convaincant thèses pas seulement affirmées mais justifiées Thèse 1 : s'appuie sur un raisonnement par analogie : rapprochement entre des noms de ville et de pays (l.12-15) parallélisme de

nécessité Femme objet devient une voleuse : lexique et modalisateurs du droit + sujets Le libertin inconstant fait acte de justice : ironie et jeu sur la polysémie des verbes « ravir » et « engager » Figures d'opposition dominent (« douce violence ») : paradoxe du personnage + confrontation des contraires/ retournement des arguments habituels III] ... révèle sa sensibilité baroque. [(Je veux démontrer que)DJ manifeste une sensibilité baroque (THESE)] 1) Par son goût pour le changement et le mouvement.

mais tous ceux qui approchent les Nambikwara sont touchés : ils sont à la fois pauvres et heureux. Ce paradoxe est illustré par divers éléments rhétoriques. II] Une situation paradoxale. a) Un contraste illustré par la rhétorique. Antithèses (l1-4-14) / Accumulation et gradation (l7-13) La mise en valeur du contraste par les outils de la rhétorique nous invite à réfléchir sur les raisons de ce paradoxe : être heureux dans la misère ? b) L’éloge de la simplicité Qualificatifs mélioratifs/Comparatifs de

pouvons y répondre que non, un roman, du fait de son récit fantastique, en est-il moins un roman ? ou un essai traitant un thème qui n’est pas d’actualité mais plutôt de science fiction serait il moins un essai ? Conclusion Nous faisons face à un paradoxe, si le théâtre devait en effet représenter la vérite : Le théâtre représente (en général) les humains, et se devrait de représenter la vérité. Or l’humain ne dit pas toujours la vérité. Donc le théâtre ne devrait pas toujours dire la vérité Après

l.11, Elle a tout le temps les 'regards furtifs mais pénétrant" de Valmont. B - Eloge du "déshabillé" - Sujet des phrases vêtement : montrent Mme De Tourvel à Valmont. - Adjectif mélioratifs --> voir hyperbole : Valmont apprécie Mme de Tourvel. - Paradoxe sur dérivation : la beauté se suffit à elle même. C - La rencontre sensuel. - sens : Vue, toucher, ouie ---> Etreinte réciproque + indices des sentiments de Mme de Tourvel et Valmont sur de lui. II - Le projet d'un séducteur pervers. A - Valmont

beaucoup : Etats-Unis, Londres, … -Feuilles de route (1924) relate ses voyages : anthologie de poèmes -Extrait : vers libre, jeux de sonorités mais pas de système rimique figé. Lexique simple. IDÉE GÉNÉRALE C’est un texte injonctif qui repose sur le paradoxe entre l’amour et le départ présenté dès le 1er vers  leçon de vie. Cendrars nous invite à profiter chaque jour de la vie et à nous ouvrir aux autres, notamment par le voyage, et à ne pas nous renfermer dans une bulle familière. L'amour d'une femme

comportant   des   éléments   erronés   pour   connaître   la   vérité   au   dépends  de  son  interlocuteur.   Tromperie,  piège  et  mensonge  utilisés  pour  atteindre  la  vérité.   Paradoxe  dans  l’expression  avec  emploi  du  terme  «  prêcher  »  (comme  si  l’on  prêchait  la   bonne   parole   sauf   qu’ici   elle   serait   fausse).   Terme   religieux  

classiques ; • liberté de rimes : le plus souvent associations en distiques ; rimes pauvres (1/2, 5/6, 9-10, 11-12) suffisantes (3/4), assonances (10-11, 16-17).  Donc impression de liberté et de modernité formelle. b) Le refus de la tradition Paradoxe des premiers mots en début de poème « à la fin » : poème qui se revendique comme une rupture, la fin d’une époque et d’un monde (monde ancien, antiquité grecque et romaine = références du monde classique). Revendication ferme : « tu es las », formulation

Je sais pas quoi écrire désolé je suis en galère! Voici un texte de Nietzsche: Aussi longtemps que nous ne nous se ton pas dépendre de quoi que ce soit, nous nous estimons indépendants: sophisme qui montre combien l'homme est orgueilleux et despotique. Car il admet ici qu'en toutes circonstances il remarquerait et reconnaîtrait sa dépendance des qu'il la subirait, son postulat étant qu'il vit habituellemen dans l'indépendance et qu'il éprouverait aussitôt une contradiction dans ses sentiments

définir par la création, par son auteur lui-même ? Ce texte ne trouve-t-il son sens que grâce au critique, grâce à une définition a posteriori ? A considérer que le critique accorde au texte le statut de mémoire ou d’essai à l’insu de l’auteur, un paradoxe émerge : comment l’ouvrage pourrait-il être introspection là où l’auteur lui-même nie toute compromission avec son propre moi ? Drieu en appelle à la raison pour départager les critiques et l’auteur sur une question qui n’a a priori rien de rationnel (« qui