Paradoxe de Jevons

d’un maximum de produits manufacturés. Pour eux, il faut vendre les produits agricoles et n’acheter que les marchandises de luxe. Un idéal d’autarcie les inspirent, c'est-à-dire, être le plus indépendant du marché mondial. Apparait alors un sacré paradoxe dans l’émergence du libéralisme économique, puisque sous couvert du libre échange, l’idéal libéral cacherai une crainte du monde. Chapitre 3 : Définition et contexte de l’économie classique I) Comment se définit l’économie classique ? Les

Thème 5 : Le raisonnement microéconomique : analyse du comportement individuel, optima, individualisme méthodologique, calcul marginal Questions sur le texte (6 questions) W.S . Jevons, « L’économie politique » Chapitre XI – Echange 1 – Que permet l’échange ? Qu’est-ce que la richesse ? Lien entre échange et utilité ? 2 – But de toute production et de tout commerce ? Paie-t-on les choses en proportion de leur utilité ? 3 – En quoi consiste l’échange ? Comment l’échange crée-t-il

l'évaluation de ses choix. Après une étude consacrée au consommateur, peut-on affirmer que la rationalité de celui-ci permet-elle d'optimiser ses choix? Cette problématique sera abordée selon une double perspective. D'une part, William Stanley Jevons, Carl Menger et Léon Walras, figures de proue du marginalisme, expliquent que le consommateur dispose de nombreux outils mathématiques pour l'aider à choisir et à maximiser son plaisir. Il ne faut pas oublier que l'homo economicus est un être rationnel

à la fin du XIXe siècle. Des trois fondateurs du marginalisme à savoir Léon Walras, Carl Menger et William Stanley Jevons, le premier nommé est celui qui a la plus forte influence sur l'école néoclassique actuelle. Le mot néoclassique a été introduit à l’origine par Thorstein Veblen en 1900 pour désigner des auteurs qui intègrent la révolution marginaliste initiée par Stanley Jevons et l'école autrichienne . Il classe sous ce vocable notamment Alfred Marshall et les Autrichiens. À partir des années

quelle intensité), tandis que la valeur d'échange définit la faculté à acheter d'autres marchandises que procure ce bien. Pour être échangé, un bien doit avoir une valeur d'usage, mais celle-ci ne permet pas d'obtenir la valeur d'échange, c'est le paradoxe de l'eau et des diamants. - L'analyse se fait en terme de travail commandé : le pouvoir que l'on a sur le travail des autres correspond à la richesse. Smith distingue l'état primitif (avant l'accumulation du capital et les droits de propriétés)

son revenu. Au terme de cette démarche il prend la décision optimale subjective de la satisfaction qu’un individu retire de la consommation des biens. Il a deux approches successives de l’utilité : 1. Fin du XIXème : l’approche cardinale de Jevons Menger et Walras : Théorie dans laquelle l’individu rationnel est supposé rechercher un maximum de satisfaction ou d’utilité. On suppose donc que l’individu est capable de mesurer par un indice quantitatif précis l’utilité qu’il reste de

augmente. Lorsque la compensation dépasse les économies, l'effet rebond est supérieur à 100 % et l'on parle alors de paradoxe de Jevons : à mesure que les améliorations techniques augmentent l'efficacité avec laquelle la ressource est employée, la consommation totale de cette ressource peut augmenter au lieu de diminuer. Ce paradoxe tire son nom de l'économiste britannique William Stanley Jevons qui l'a mis en évidence dès 1865 dans son livre Sur la question du charbon. La consommation britannique de charbon

elle se définit par rapport à l’agent éco car elle est propre à chaque agent éco et elle est décroissante de la quantité consommé. Plus on consomme un bien, moins consommé une unité supplémentaire nous donnera satisfaction. L’utilité a résolu le paradoxe de l’eau et du diamant. L’eau est un bien vital et coute pas cher. le diamant est extrement cher mais ne sert à rien. L’Abbée Galiani résout le problème en mettant en évidence la rareté du damant mais LIMITE : elle ne fonctionne pas car les pays

la société, puis  « la richesse des nations » analyse purement économique. 1830-1870 : * Cournot (1838) : premier auteur à introduire les mathématiques en économie, un marché est comme une machine, il s’agit de maximiser un rendement. * Jevons 1860 : référence à la mécanique, balance = arbitrage d’un individu, l’économie est soumise à des fluctuations cycliques, agricoles qui viennent du climat (tâches solaires). * Walras 1870 : modèle d’équilibre général, première représentation mathématique

Allemande et le protectionnisme libéral 2.3 L’Empire libéral 2.4 Le libre échange imposé (un malentendu ?) 3 Le recul du libéralisme économique 3.1 Contestation et renouveau de la pensée libérale 3.2 Premier recul relatif du libre-échange 3.3 Paradoxe libéral aux États-Unis 3.4 La Première Guerre mondiale 3.5 La Grande crise 3.5.1 Mr Do Nothing 3.5.2 La pensée keynésienne, le New Deal et le front populaire 3.6 Naissance de l’État-providence 4 Retour au libre-échange puis résurrection contemporaine