Paradoxe du menteur

différente : la structuration hiérarchique de la communication. Idée qui est à mettre en relation avec une théorie logicomathématique : la théorie des types logiques qui a été développées par deux mathématiciens Russel et Whitehead pour résoudre des paradoxes logiques. C’est en fait Norbert Wiener qui a attiré l’attention de Bateson sur la théorie de Russel et Whitehead suite à des questions que posait Bateson à propos de la pathologie qu’on pouvait observer dans certains systèmes cybernétiques (oscillation

cette réflexion résulte de querelles doctrinales qui ont parfois porté atteinte à la crédibilité des développements scientifiques tenus en criminologie : de nombreuses écoles étaient diamétralement opposées sur une même question. Il y a aussi un paradoxe : c’est une discipline jeune mais finalement des crimes il y en a toujours eu. À l’origine la réflexion a été menée sur le plan légal ; en ce sens qu’il s’agissait de définir les comportements criminels et ceux qui ne l’étaient pas. Il s’agissait

Les textes des 3 persos du corpus :Comique de situation :Acis, un précieux incapable de se faire comprendre + paradoxe : en voulant montrer son esprit, il prouve qu’il n’en a pas. langage pompeux pour des choses simples. cherche l’élégance au détriment du sens.Arrias : menteur sur sa vie chute finale qui révèle le ridicule du personnage + son comportement pendant le repas avec Sethon qui est un des invités.Nicandre : il se fait éconduireComique de caractèreFausseté d’ArriasGrossièreté de Théodecte

Bouddha29 ». La structure du monologue de Mathilde imite en plusieurs points celui de son frère. Pour elle aussi, le point de départ est l’ensemble de deux éléments qui s’excluent : le soir et le moi. Pourtant ils ne s’opposent pas, comme les deux sont menteurs et le locuteur déduit que deux mensonges égalent à la vérité. A la fin de cette première partie elle ajoute un troisième élément (elle est bavarde) qui discrédit toute peur de mensonge. Dans un deuxième temps elle argumente contre la reproduction

il est au pouvoir. Ce prince doit avoir deux vertus (virtus : deux forces morales) : il doit être rusé comme le renard et fort comme le lion, et ce en raison même de la nature des hommes que M. voit comme des êtres perfides, malhonnêtes, voleurs, menteurs, totalement immoraux et M. les imagine que ce qu'ils laissent apparaître. On ne peut pas faire confiance aux hommes. L'ami d'aujourd'hui est l'ennemi de demain. La force du prince est justement, à partir de la discorde* qu'il y a entre les hommes

» par un diagnostic d’un manque d’amour dû à une carence familiale. Et qu’il faut donc remplir ce vide par le « plein ».Il se rapproche de la théorie implicite de Noël et Soulé (1970) : « Si nous l’aimons et, l’élevons parfaitement, il ne sera ni menteur, ni coléreux, ni chapardeur, ni passif, ni agressif ». La réponse par le plein persiste dans le temps pour les enfants carencés, car elle fonctionne comme la relation archaïque existante entre la mère et son nourrisson. Pour expliquer sa théorie,

l'homme. Le sujet nous rappelle évidemment le parcours étudié « Pensée et imagination » et nous incite à nous interroger sur cette apparente contradiction : L’imagination est-elle efficace pour produire une pensée ? Nous sommes confrontés à un paradoxe car apparemment ces deux termes/facultés ne sont pas compatibles. C’est pourquoi le sujet nous interroge sur l’efficacité de cette démarche : faire naître de l’imagination une pensée. Et donc au fond, le sujet nous interroge sur le fonctionnement

L’histoire, devenue pour Ulysse un objet extérieur, provoque chez lui les « larmes du souvenir » témoignant de la réconciliation entre histoire et réalité. L’histoire dépasse l’information et la poésie, l’amusement. Cette référence conduit à dégager un paradoxe de la culture grecque. D’une part, elle mesure la grandeur dans les choses qui sont à jamais et d’autre part, elle voit la grandeur spécifiquement humaine chez les auteurs de grands faits ou diseurs de grandes paroles et non chez les fabricateurs

L’histoire, devenue pour Ulysse un objet extérieur, provoque chez lui les « larmes du souvenir » témoignant de la réconciliation entre histoire et réalité. L’histoire dépasse l’information et la poésie, l’amusement. Cette référence conduit à dégager un paradoxe de la culture grecque. D’une part, elle mesure la grandeur dans les choses qui sont à jamais et d’autre part, elle voit la grandeur spécifiquement humaine chez les auteurs de grands faits ou diseurs de grandes paroles et non chez les fabricateurs

peine. Dans ce cas nous ne choisissons pas n'importe quel plaisir, en effet nous en laisserons certains de côté si en y réfléchissant nous nous apercevons que ces plaisirs vont au final nous causer plus de désagréments. Toutefois on peut relever un paradoxe : « Tout plaisir, donc, du fait qu'il y a une nature qui nous est appropriée, est un bien ; pourtant tout plaisir n'est pas digne d'être choisi. ». Si « tout plaisir est une bien » alors tout plaisir devrait être nécessairement à choisir. Or il nous