Paradoxe du menteur

Le paradoxe du menteur Dans les plus vieux travaux, une intuition fondamentale : celle de la série, comme figure. Cf « Genèse sérielle et genèse « actuelle »… »(1978 Critique) Réflexion sur le paradoxe du menteur, dans la lignée de Lyotard (« Sur la force des faibles », revue l’Arc). Lyotard faisait lui référence à Russell. Point de départ : opposer la forme eubulide et la forme épiménide. Eubulide (mégarique) : « Je mens. » Epiménide : « Epiménide dit des crétois qu’ils sont menteurs. Or

sourit à ce que les autres lui disent, il est de leur avis, il court, il vole pour leur rendre de petits services : il est complaisant, flatteur, empressé ; il est mystérieux sur ses affaires, quelquefois menteur, il est 25 superstitieux, scrupuleux, timide ; il marche doucement et légèrement, il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés, et il n’ose les lever sur ceux qui passent

sans points d'appui, sans guides et cependant pour tous. Contrairement à la chose qui est ce qui est, l'homme, en tant que « pour-soi», n'est jamais tout à fait soi.  Il est et il n'est pas ce qu'il est.  En avouant, par exemple, que je suis un menteur, j'adhère à ce que je suis mais en même temps je prends mes distances à l'égard de ce que je suis. La conscience est donc bien négativité infinie, pouvoir de dépassement de ce qui est. Mais la liberté se confond-elle avec la spontanéité de la conscience

spirituelle. Nous pouvons penser que les ''ailes de géant'' qui empêche le poète de marcher, symbolisent son génie, lui permettant de voler au dessus du commun des mortels mais le gênant dès qu'il retombe dans l'humanité vulgaire. C'est un véritable paradoxe que nous présente Baudelaire car ses ailes sur-dimensionnées représentent un obstacle à la simple marche. Cette capacité de voler illustre une nouvelle fois la supériorité morale et spirituelle de l'oiseau et du poète. Néanmoins, la contrepartie

se trompe est vraie aussi , et si protagoras affirme qu'il a raison alors ils on raison tou les deux pourtant il ont chacun une affirmation qui se contredise .Qui a reelement raison dans ce ca la?,ainsi on peut justifer cette critique par le paradoxe du menteur qui est qu'un homme affirme qu'il ést en train de mentir. dans ce qua comment savoir si se ke dit cet homme est vrai ou faux? Enfin,selon Nietzsche " Toutes affirmations sont fausses, juste des apparences, il ne faut pas chercher le vrai

Paris-Dauphine FICHE DE LECTURE Changements, Paradoxes et Psychothérapie de P. Watzlawick, J. Weakland , R. Fisch 1974 (1975 pour la traduction en français - Seuil) Sommaire 1. 2. 3. 4. 5. 6. L’auteur …………………………...……… 2 L’école de Palo alto……………………..…3 Postulats …………………..……………….4 Hypothèses ………………..………………4 Résumé de l’ouvrage ……………… .……5 Commentaire……………….…………….23 Philosophie, éthique, comptabilité, contrôle Fiche de lecture : Changements, Paradoxes et Psychothérapie . mars 2006 1 1

Lipovetsky «Nous vivons dans une société d'un hédonisme anxieux» Philosophes, théologiens, scientifiques, écrivains ou historiens, pendant huit semaines, L'Hebdo donne la parole à un penseur de notre temps. Le dernier livre du sociologue explore les paradoxes devant lesquels nous place le consumérisme déchaîné. Par Michel Audétat. Depuis plus de vingt ans, le sociologue Gilles Lipovetsky allonge sur sa table de travail l'individu des sociétés démocratiques. Dans L'ère du vide, il s'est penché avec sympathie

». La vérité n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde, mais d'une muette. Il ne lui reste qu'à mourir, comme elle le croit d'abord, ou à rester vivante - agonisante plutôt -, pour assister au dénouement en spectatrice vengée par la mort des menteurs. Quoiqu'elle ne puisse plus rien faire, il lui suffit de laisser faire : En face des déchirements des meurtriers, devinant la crise qui devait éclater un jour ou l'autre, amenée par la succession fatale des événements, elle finit par comprendre

approche concrète, « par problèmes ». Il en résulte ainsi la description précise de problèmes philosophiques, clairement identifiés, et pour lesquels il convient de rechercher une solution. Parmi ces problèmes, on peut citer notamment : le paradoxe du menteur, le paradoxe de Hempel, etc. Les critiques sur ces points sont les suivantes : • Certains pensent que ce n'est là qu'une simple injonction normative à la clarté et la rigueur et que cela décrit plus une tradition, des périodiques, des lectures et

surtout dans celui de Gwynplaine, celui que les hommes ont rendu monstrueux, dans « L’Homme qui rit ». Ce qui fait donc de la Cour des Miracles un lieu répugnant, ce n’est donc pas tant sa laideur que le fait qu’elle feint d’être laide, « hôpital menteur » (l.9) comme on l’a vu, et qu’elle donne la comédie de la laideur et de la monstruosité. ▲ ▲ ▲ Ce passage est l’un des plus fameux d’un roman qui ne l’est pas moins, et qui a eu l’avantage de