Paralinguistique

distingue 2 grandes familles : Les canaux naturels : dont dispose naturellement l’homme. Les modalités sensorielles permettent de distinguer ces canaux entre eux : Canal auditif (informations linguistiques) et canal visuel (informations paralinguistiques) pour les canaux naturel. Canal tactile (touché) très variable selon les civilisations Canal olfactif Canal gustatif Les canaux techniques : entrent en jeux quand les autres ne sont plus satisfaisant et résolvent les problèmes

C verbale orale et la C verbale écrite, en ce qui concerne la matérialisation de cette fonction de la C. 2.2.1. À l’oral, les éléments destinés à établir et/ou à maintenir le contact entre l’E et le D sont de nature verbale, de nature paralinguistique (rythme, intonation, accent, intensité et timbre de la voix, etc.) et de nature extralinguistique: le regard, des gestes (signes de la main, de la tête, etc.) et, éventuellement, des éléments kinéso-proxémiques (déplacements dans l’espace, mouvements

l’absence d’un médiateur, ces personnes peuvent toutefois parvenir à un certain niveau de communication en mettant en jeu tout leur outillage langagier, en essayant des expressions possibles en différents dialectes ou langues, en exploitant le paralinguistique (mimique, geste, mime, etc.) et en simplifiant radicalement leur usage de la langue. De ce point de vue, le but de l’enseignement des langues se trouve profondément modifié. Il ne s’agit plus simplement d’acquérir la « maîtrise » d’une, deux

l’absence d’un médiateur, ces personnes peuvent toutefois parvenir à un certain niveau de communication en mettant en jeu tout leur outillage langagier, en essayant des expressions possibles en différents dialectes ou langues, en exploitant le paralinguistique (mimique, geste, mime, etc.) et en simplifiant radicalement leur usage de la langue. De ce point de vue, le but de l’enseignement des langues se trouve profondément modifié. Il ne s’agit plus simplement d’acquérir la « maîtrise » d’une, deux

message les éléments se rapportant au code linguistique, l'autre les éléments d'un code prélinguistique. Les gens de théâtre savent bien qu'aucun texte dramatique ne veut nen dire en soi: son sens ne lui sera donné que par l'ensemble des éléments paralinguistiques dans lesquels il viendra s'inscrire. Tout décodage d'une «mformation de style verbal» relève autant du pré-verbal que du verbal proprement dit. L'enseignant est placé sur une estrade que peu de choses suffisent à transformer en scène ... Si l'étudlant

individus pour interagir. Pour O. Ducrot et T. Todorov (1972), « la langue se définit comme un code, en entendant par là la mise en correspondance entre des « images auditives » et des « concepts ». Le vecteur paraverbal ou encore composantes paralinguistiques sont le timbre de la voix, la hauteur tonale, l’intensité, le débit, le rythme et tempo, les pauses et accents. Ils représentent la signature du locuteur (C. Kerbrat-Orecchioni, 1995). Ils sont aussi susceptibles de varier à l’interculturel.

communication orale, les signaux prosodiques qu’engendrent les variations des paramètres ont la particularité d’être polysémiques. Cela signifie qu’ils transmettent de multiples informations : des informations linguistiques et des informations paralinguistiques. » Coure de F0 de la phrase « Amélie demandait la musicienne » prononcé par un locuteur de langue maternelle française Coure d’intensité de la phrase « Amélie demandait la musicienne » prononcé par un locuteur de langue maternelle française

autoslections, des intrusions Comment se font-elles Dans la situation de conversation (exemple de lentretien), llve prend peu peu conscience des multiples indices - sources de renseignements et dinteraction - de la communication comportements paralinguistiques du locuteur (ton de la voix, gestes, mimiques, attitudes), comportements extralinguistiques qui chappent au locuteur pendant la conversation mais qui renseignent lauditeur (indices psychologiques, sociaux comme la tenue vestimentaire, la proximit

communicatives, l’oral est devenu un objectif à part entière en mettant en œuvre de nouvelles techniques comme, par exemple, les jeux de rôles et les simulations globales. De nouveaux aspects non verbaux sont pris en compte comme les éléments paralinguistiques, les gestes, les mimiques etc. Pourtant, dans les pratiques de classe, l’écrit prend le dessus sur les activités de l’oral employé comme une passerelle pour l’apprentissage de l’écrit. « Les activités reposent sur des écrits oralisés ou ritualisés

parole. e.j.formation@wanadoo.fr   On notera cependant que l'installation sur un divan du patient, avec l'analyste qu'il ne voit pas, favorise peu l'observation du langage non verbal, notamment les mimiques. 77 -  Les signaux paralinguistiques (hauteur de voix…) - La synchronie conversationnelle (synchronisation des mouvements) - Les bulles de communication (proxémie) Vidéo : Coupez le son e.j.formation@wanadoo.fr 78 13 Notions de communication AMP Notions