Paralinguistique

expression orale. Je les mettrai plus particulièrement en évidence dans les activités de lecture à haute voix. C’est en effet dans ces productions orales contraintes par une origine écrite que l’on est le plus à même de jouer sur les aspects paralinguistiques de la communication orale. IV.1 Développement des capacités d’écoute La communication orale est interactionnelle. Le récepteur y joue un rôle aussi important que l’énonciateur. Il doit apprendre à concentrer son attention. Il y a donc

phrases illustrent la grande diversité lexicale entre les variétés rencontrées à l'intérieur d'un même dialecte. Selon Geertz, ces variétés sont utilisées quotidiennement et sont identifiées chacune par un nom. De plus, il existe des différences paralinguistiques qui distinguent les variétés à l'intérieur de chacun des dialectes. En effet, plus un sujet parlant monte de niveau — de 1 à 3, et même de 3 à 3a — plus il parlera lentement et doucement, moins il se permet de modulation du ton de la voix en

veut dire » entre ce que je veux dire par ce mot et ce que le mot veut dire en dehors de ma volonté... il y a ce qui est dit. PARLER = faire se coïncider ces 2 vouloir dire. Cette compétence linguistique est indissociable d'une compétence paralinguistique : la communication est multicanale (verbale {Lk et prosodie} + posturo-mimo- gestuelle... proxémique mis en compétence culturelle) Toute communication se situe dans un univers de discours = contraintes qui réduisent les possibilité linguistiques

gestualité, son regard. Quels sont les CNV les mieux contrôlés ? Quels CNV permettent de détecter le mensonge ? Deux hypothèses non contradictoires : 1. Hypothèse fondée sur stéréotype du menteur Mouvements de nervosité, contacts visuels, indices paralinguistiques et fluidité verbale contrôlés chez le bon menteur. 2. Hypothèse fondée sur le contrôle des signaux les plus informatifs : EKMAN & FRIESEN (1974) - Contenu verbal. - Expressions faciales. - Voix : Intonation. - Mouvements corporels (gestes de

pourraient être particulièrement sensibles aux exigences linguistiques requises pour produire un énoncé plus complexe. En ce qui concerne Perkins et al. (1991), ils sont partis du principe que la parole implique des composants linguistiques et paralinguistiques qui sont traités par différents systèmes neuronaux avant de converger sur un système de sortie commun. La parole fluide implique une intégration synchrone de ces éléments. Toute dyssynchronie entrainerait une rupture de la fluence propre ou

plusieurs phases et opérations. La communication est une forme spécifique de l’interaction des individus dans leur activité productrice et cognitive. On distingue la communication (l’échange) verbale et non verbale étudiée par la paralinguistique et effectuée au moyen du paralangage qui est l'ensemble des moyens de communication naturels qui accompagnent et renforcent les actes de parole. On distingue 3 espèces de moyens d'expession paralangagiers : phonatoires, dont le timbre, le débit

= commu qui porte davantage sur les contenus/choses. * dimension « analogique » du langage = essentiellement réservée au langage non-verbal (gestes, mimiques, rythme d’élocution, voix) + langage kinésique et paralinguistique. = considéré comme le langage (commu) par excellence de la relation entre personnes (langage plus universel qui permet le contact/compréhension interculturelle). => Tout cela

principes d'enrichissement apportés à la théorie de JAKOBSON par Catherine KERBRAT se situent au niveau des deux sphères de l'émetteur et du récepteur, auxquelles cette auteure associe aux côtés des compétences strictement linguistiques (et paralinguistiques): - les déterminations psychologiques et psychanalytiques qui jouent un rôle important dans les opérations d'encodage / décodage ; - les compétences culturelles (ou encyclopédiques) qui englobent l'ensemble des savoirs implicites que l’émetteur

principes d'enrichissement apportés à la théorie de JAKOBSON par Catherine KERBRAT se situent au niveau des deux sphères de l'émetteur et du récepteur, auxquelles cette auteure associe aux côtés des compétences strictement linguistiques (et paralinguistiques): - les déterminations psychologiques et psychanalytiques qui jouent un rôle important dans les opérations d'encodage / décodage ; - les compétences culturelles (ou encyclopédiques) qui englobent l'ensemble des savoirs implicites que l’émetteur

régularité et la prévisibilité les interactions et les relations entre les membres d’une même culture. L’individu est vu comme un acteur social. La participation à la communication : s’opère selon de multiples modes (verbaux et non verbaux) comme la paralinguistique, la proxémique, la kinésique, l’haptique. Moins le contenu que le contexte, l’information que la signification. L’intentionnalité ne détermine pas la communication : l’acte réalisé dans l’ici et le maintenant de l’interaction n’est qu’un moment