Paraphrase

doctrine etc. Exercice consistera toujours à faire preuve de connaissance et d’un certain savoir- faire dans l’analyse du texte et d’une certain habilité pour exposer les connaissances en les rattachant toujours au texte. Deux pièges à éviter : paraphraser le texte, se contenter de redire tout ce que contient le texte sans rien y ajouter. Laissez le texte de côté et faire une dissertation sur le sujet. Nos connaissances doivent être exposées à partir d’une phrase du texte. Au niveau des connaissances

principe. Dans ce genre d’arrêt, il convient de préciser si la solution est toujours d’actualité, dépassée ou si elle fait face à de fortes résistances. RMQ: Principales difficultés: Les principales difficultés rencontrées sont: La paraphrase La récitation de cours ou développement théorique La mauvaise gestion du temps

problème posé Le plan du texte : il doit suivre le texte de façon linéaire ! : Dans l’intro, il y a 2§ : Le premier § contient le thème, le problème, la thèse et les enjeux, & le deuxième § contient seulement le plan. Le développement : Ne pas paraphraser = Pour éviter cela, il faut : définir les concepts, montrer ce que dit l’auteur en montrant ce qu’il ne dit pas ou ce à quoi il s’oppose (notamment à l’opinion commune ou à une thèse philosophique), montrer que le texte permet de rendre le réel

d’égale importance. Toutefois, il faut manier cette technique avec une extrême prudence. Tout d’abord, parce qu’elle apparaît toujours paresseuse au correcteur. Ensuite, parce qu’elle risque d’entraîner le candidat sur la pente savonneuse de la paraphrase. Enfin, parce qu’il est assez rare que le commentaire linéaire soit le meilleur moyen de rendre compte d’un texte. 2. LA RÉDACTION 2.1. L’INTRODUCTION, LE PLAN ET LA CONCLUSION L’introduction, le plan et la conclusion d’un commentaire

Les difficultés / pièges à éviter : Mais pour cette raison, il fallait faire attention à ne pas « plaquer » des connaissances sans rapport avec le texte. La difficulté de toute explication est justement de ne pas faire de contresens ou de paraphrase. Il fallait réfléchir à la portée du texte : pourquoi Durkheim souligne-t-il la contradiction entre la dimension collective de la morale et les valeurs humanistes ? Attention, ici Durkheim ici ne dénonce pas la valeur de l’autonomie. Au contraire

qui explique que l’auteur n’ait pas mis un point final mais qu’il ait rédigé une partie suivante. Vous ferez ainsi apparaître la cohérence logique du texte. Pour le reste, il vous faut commenter l’intérieur des parties en évitant de verser dans la paraphrase. La « partie » critique : Vous ne rédigez pas de vraie partie critique, séparée du développement, mais vous intégrez la critique au commentaire. Au fur et à mesure où vous commentez des arguments qui vous paraissent critiquables, vous exposez

fait tomber les masques. Une des fonctions de la parole poétique et prophétique est d’inverser les valeurs. La force de la parole peut modifier des choses. Au vers 3 et 4, il y a un parallélisme par l’anaphore de la construction. C’est une sorte de paraphrase du thème de béatitude. On note l’opposition entre « je » et « on ». Insultes : bannis, proscrits, exilés. Parole porteuse d’espérance qui fait basculer les valeurs entre proscription et gloire. Prise de parole personnelle : « moi » => il se

­> Conclusion : Bilan répondant à la problématique. Dégager l’intêret et les limites des  documents ( fiable ou non, erreur par rapport à nos connaissances ou oubli volontaire ou non)  et l’influence sur les années à venir.      III) Divers conseils  ­> Pas de paraphrase.  ­> Pas de discours direct  ­> Ne pas faire une composition  ­> Ne pas faire une analyse partielle des documents.  ­> Ne pas utiliser le futur.  ­>Utiliser le présent, pas de temps du passé.  ­> Éviter les phrases longues.        

connaissance historique, « on ne peut atteindre le passé que par les documents ». Mais pour « atteindre le passé » il est indispensable de savoir questionner le document, de lui poser les bonnes questions, et cela pour éviter de tomber dans une paraphrase inutile. Cette obligation est d'ailleurs soulevée par Lucien Febvre qui rappelle que pour faire parler le document il faut l'interroger: « l'historien ne va pas rôdant au hasard à travers le passé, comme un chiffonnier en quête de trouvailles,

sujet ne sont pas forcément présentes. Cela dit, tout chronologie comporte des dates qui sont essentielles au sujet et dont les événements doivent être connus et élucidés dans la copie. Le danger est de transformer la composition en simple paraphrase de la chronologie. Une composition ne doit pas devenir une simple liste de faits juxtaposés car l’histoire explique, donne un sens et un ordre au chaos des événements. Plan souhaité (avec rédaction complète du I) : il faut évidemment dater