Partage Salaire Profit

institutionnalisé, indexation des salaires sur les prix et la productivité, faible coût des RI, politique de stop and go, avec priorité au « go » ; ouverture internationale encore réduite donc pas trop de concurrence des pays à bas salaires -TNL : RS/VAB en nette diminution (10 points) par rapport aux TG. ​Facteurs : attaque contre le pouvoir syndical et le Welfaure State ; remise en cause du compromis fordien au profit d’une approche de l’offre ; désindexation des salaires ; flexibilisation et précarisation

inégalités A. La croissance permet l’élévation des revenus • 30 Glorieuses : PIB augmentent (de 5 à 6%/an en France) par les gains de productivité > favorisent la croissance éco (cercle vertueux fordiste) • Les salaires augmentent par répartition des GP favorables > les salaires contribuant à l’épargne qui contribue à la croissance éco > favorise la croissance • La croissance va financer la protection sociale • Les changements structurels induits par la croissance réduisent le poids des catégories

rémunération des facteurs de production. Les revenus du travail sont ceux que perçoit l’agent en échange d’une activité productive. Si le salaire est le plus connu d’entre eux, il en existe d’autres. Prime d’ancienneté, 13e mois, prime pour réalisation d’objectif sont autant d’exemples de revenus que touche l’agent suite au travail qu’il a fourni dans son entreprise. Le salaire est versé chaque mois au salarié et est calculé de diverses façons : nombre d’heures de travail, nombre de pièces réalisées, accomplissement

entre les différentes classes. Pour lui, le revenu national se partage entre les trois classes suivantes : les travailleurs avec le salaire, les capitalistes avec le profit et les propriétaires fonciers qui eux touchent la rente. Tout ceci le conduira à mettre en avant le fait qu’il existe une relation inverse entre le taux de profit et le salaire - un accroissement du niveau de salaire entraine une baisse du taux de profit, et inversement - Quand à lui, Marx distingue deux classes : les

croissance et l'emploi futurs. En suivant un raisonnement comptable, la hausse du temps de travail est mauvaise pour l'emploi et la croissance – puisque le "gâteau d'heures" est partagé par un nombre plus petit de travailleurs –. Au contraire, une baisse de la durée du travail est bénéfique pour l'emploi car elle permet de partager le "gâteau d'heures" entre plus de personnes. Quel raisonnement privilégier ? Cela dépend de la où l'on se situe idéologiquement. Le raisonnement comptable suit plutôt la

non qualifiés. Le blocage des salaires empêche que les gains de productivité soient partagés entre salaires et profits comme c’était le cas au temps du fordisme. En France, de 1988 à 1998, la productivité du travail a progressé de 26% et le pouvoir d’achat salarié à structure constante de simplement 1,6% (source : INSEE, TEF). On assiste à un début de glissement de la rémunération des salariés (surtout ceux en haut de la hiérarchie) non plus sous forme de salaires mais sous forme de stocks-options

rembourser en monnaie dépréciée. -De 1945 à 1960 L’inflation stimulera l’investissement des entreprises et soutiendra la demande : Elle permet aux entreprises de rembourser en monnaie dépréciée et de distribuer plus facilement des hausses de salaires Elle incite les agents économiques à ne pas retarder leurs achats -Les 30 Glorieuses L’inflation a servi à la fois de stimulant économique et d’anesthésique social : Permet d’accéder plus facilement au revendication des syndicats

financant la formation de son personnel. On constate que la part de l'Etat dans le financement et l'exécution de la recherche est décroissant. 2- Les déterminants de l'investissement A- Influence de la demande et des profits Les entreprises réalisent des investissements si la demande anticipée poru leur produits s'accrois durablement, et si leurs capacités de production son largement employées. B- Investissement et situation financiere

pas, le produit vient vers eux. Le fordisme c’est l’OST (taylorisme approfondi) + le travail à la chaîne + la standardisation + 5$ par jour. La standardisation permet une production de masse pour réaliser des économies d’échelles. Ils doublent le salaire pour que les ouvriers puissent acheter au bout d’une dizaine d’année une voiture par exemple. Ford a bien mieux payé ses salariés afin de limiter le turn-over, c’est-à-dire la rotation des effectifs. Le pilotage par l’amont : c’est l’entreprise

artificielles (les fibres syntétiques, pétrole,...) qui ne sont pas bénéfiquent pour l'environnement. De plus, 246 millions d'enfants sont exploités principalement en Asie par les industries des pays riches. Les ouvriers subissent : des horaires abusifs un salaire minim 9 personnes sur 10 sont des femmes (soit sur 300'000 personnes, 270'000 sont des femmes). Ainsi, tout cela représente le quotidien de milliers de femmes et d'enfants, une vie inhumaine.