Partage Salaire Profit

compétitive. Certains préconisent un suivi de la politique allemande pour le retour rapide d’une augmentation soutenue de la production tandis que pour d'autres, ce modèle tend à délaisser le plan social, c'est à dire le bien-être de sa population au profit de l'économie. Nous nous intéresserons dès lors aux politiques menées par le gouvernement Allemand ayant pour objectif le maintien d’une activité d’ampleur et ce, au travers du facteur travail qui est l’un des principaux composant de l’économie

l’activité économique du pays ralentit, le chômage augmente. Le chômage structurel : Ce chômage est dû au fait que de nombreux chômeurs ne sont pas prêt à occuper les emplois proposés faute de formation adaptée, d’expérience suffisante, mais aussi d’un salaire attractif. Le chômage technologique : L’entreprise concentre son investissement dans son « capital », c'est-à-dire dans des machines plus performantes et exige une adaptation du personnel en place par la formation continue, ce qui lui souvent de ne

l'appropriation du profit par ceux qui détiennent les moyens de production, permet de supprimer la notion de profit (chacun bénéficie des fruits de son travail) et rompt la propriété du profit aux détenteurs des moyens de production. L'interat général partagé prime sur l'intéret individuel. Un seul producteur : l'Etat. Il détient l'outil de production, contrairement au système capitaliste, ou chaque producteur vend un bien à un prix supérieur à son coût de production : cela dégage du profit et les biens

du monde ». En France, comme en Grande-Bretagne et dans tous les pays d’Europe et d’Amérique, à côté de l’industrialisation capitaliste du XIX siècle c’est développe une très dure exploitation des masses ouvriers : longues journées de travail, salaires abaissés, durcissement du règlement d’atelier, insalubrité, sous-alimentation, travail des enfants, maladies, accidents, conditions de vie souvent jugée plus dures que celle des anciens serfs. Il y a d’abord des luttes ouvrières face à l’aggravation

l'achat de la force de travail du producteur par le capitaliste, et que cette force de travail possède la capacité de produire plus de valeur qu'il n'est nécessaire pour sa reproduction. La différence entre la valeur payée de la force de travail ( salaire ) et la valeur réellement produite par cette force de travail est la « plus-value ». Et c'est l'appropriation indue par le capitaliste de cette « plus-value » qui produit, en s'accumulant, le capital qui reste à la disposition du capitaliste et dont

contribue au développement : o du crédit bancaire o du marché des capitaux Cette politique favorise la consommat° de voitures et de biens durables. Ceci entraine une augmentation des profits des entreprises et une hausse de la distribut° de dividendes. Dc : TX D’I. FAIBLES ( HAUSSE CONSO ( HAUSSE PROFITS ( HAUSSE D’ACHAT D’ACT° (par ttes classes sociales) ( SPECULAT° BOURSIERE Déconnex° croissante entre la valeur boursière des titres & les résultats réels des entreprises. Bulle spéculative :

(PO) effectués sur un certain nombre d’éléments comme les salaires. L’impôt sur le revenu et les bénéfices des sociétés, les revenus des institutions financières, le patrimoine, alimentent les caisses de l’état et des collectivités territoriales. La plus grosse recette de l’état est l’impôt sur la consommation, la TVA  c’est à dire les transactions. Les cotisations sociales payées par les ménages et les entreprises (une partie des salaires bruts et la part employeur) financent les administrations

» :  somme des revenus bruts des secteurs institutionnels de l’économie => répartie sous forme : rémunération des salariés ; impôts (sur la production et les importations moins les subventions) ; excédents bruts d’exploitation (EBE)  c’est le partage de la valeur ajoutée => entre : le travail et la capital • types / conséquences / effets (de PIB) : le PIB est la résultante d’un « effet quantité » et d’un « effet prix » (en référence à l’analyse des écarts en CDG) : o PIB en volume (effet

n°3 : la révolution industrielle ------------------------------------------------- LA QUESTION SOCIALE AU XIXe (fiche) • pq une telle misère ouvrière ? logique de l’entreprise : logique de profit, course aux rendements, à la productivité.  surabondance de main-d’œuvre > bas salaires.  Ce ne serait plus l’ordre capitaliste qui serait directement en cause ms ls transformations qui s’opèrent (R. démographique, R. agricole)  urbanisation précaire.  caractéristique des techniques

gagnons-nous à travailler ? (Nota bene : le "nous" peut renvoyer à l’individu, à la société tout entière, ou à l’humanité. Penser au fameux texte de Kant sur la nécessité de travailler pour l’humanité) Question (faussement) naïve . On gagne un salaire ! Oui, mais 1) Un « travail » n’est pas toujours rémunéré 2) On peut gagner aussi quelque chose d’impalpable, de difficile à cerner… I Des bénéfices pratiques Les moyens de vivre (plus ou moins) décemment mais aussi la promesse d’intégration à