Partie prenante

nous voulons célébrer à cette occasion vingt années de partenariat avec nos Cast Members et les nombreux acteurs, publics et privés, qui ont fait avec nous Disneyland Paris tel qu'il est aujourd'hui. Choix : opérationnel 4)Parties prenantes : partie prenante de l'économie régionale et nationale, et a contribué significativement à l'amélioration des infrastructures de transports ainsi qu'à la création de plus de 56 000 emplois directs, indirects et induits. Avec plus de 14 500 Cast Members

que les aspects sociaux et politiques Pour ce faire, plusieurs modèles sont disponibles pour guider l’analyse, par exemple le modèle de gestion des parties prenantes de Savage et al. ou celui de Mitchell et al., le modèle d’évolution d’un enjeu, etc. Pour le cours DSR2010, il s’agit particulièrement de pouvoir identifier qui sont les parties prenantes, quel est l’objectif de chacune et son pouvoir d’intervention Il faut considérer le court terme et le long terme (à cet effet, le modèle d’évolution

atteindre : - Caractériser le style de direction - Repérer l’influence des facteurs de contingences sur la prise de décision - Analyser le processus de décision dans une entreprise - Vérifier l’articulation des 2 logiques - Expliquer le rôle des parties prenantes prise de décision. I/ Les styles de direction Il n’y a pas de style idéal, le style de direction doit évoluer en fonction de la production selon Tannenbaum & Schmidt, le style de direction est lié au leadership du dirigeant, et à celui du salarié

qui lui sont confiés dans une optique de continuité de l’exploitation. II) L’apport du manager Le manager grâce à ses compétences techniques peut gérer l’entreprise avec efficacité et prendre des décisions souvent complexes. Il fait souvent partie d’une équipe de direction aux compétences variées ce que John Kenneth Galbraith appelait la technostructure. Cette association de compétences qui détient le pouvoir dans les grandes entreprises. Elle apporte des talents spécialisés d’individus qui

 où la mutualisation des compétences prend tout son sens, dans un objectif commun. Elle traverse plusieurs domaine car la RSE engage l’entreprise sur plusieurs pratiques touchant plusieurs notions à savoir la durabilité, la gouvernance, les parties prenantes, la communication d’entreprise, la gestion des ressources humaines. Nous constatons que la RSE est un prolongement du concept de développement durable car permet au secteur privé de favoriser la durabilité sociale à travers l’amélioration

une situation de crise où les décisions peuvent parfois être prises dans l’urgence (entreprise, état), le dialogue social est parfois bafoué ce qui implique la non implication de l’ensemble des parties prenantes et une non efficacité, non légitimité des mesures à appliquer. D’autre part, les parties prenantes s’intégrant dans le dialogue social sont-elle légitimes ? Ont-elles réellement un rôle à jouer dans la diminution du chômage ? Quels gains peut-on espérer de ce processus ? Si certains pays ont

les prises de contrôle). Le sytème de gouvernance doit permettre d’assurer une sécurité aux actionnaires et aux …financiers. Il est composé de mécanismes internes (mécanisme intentionnel, mis en place volontairement pas le législateur ou les parties prenantes de l’entreprise) ou externes (mécanismes venant du marché - des dirigeants, de prises de contrôle (FAMA 1980) Ces différents mécanismes ne jouent pas un rôle équivalent : il existe une hiérarchie qui peut évoluer selon le type d’organisation

traders...), Les principaux types de valeur créée par l'entreprise des fonds de pension (comme Calpers) et des fonds d'investissement (Carlyle) anglo-saxons (à partir des années 1980), assistés par des cabinets d'audit internationaux , qui ont préconisé la mesure des performances des managers à partir de la création de valeur financière (sous forme de dividendes et/ou de plus-values) pour l'actionnaire ; des commissions professionnelles (environ 140 depuis 1990, dites « Cadbury »

le processus de changement socio-économique issu de la théorie socio-économique des organisations comme une forme spécifique d’audit social, comportant quelques spécificités majeures par rapport à l’acception usuelle d’audit social. Cette seconde partie résulte de notre pratique de recherche conduite au sein de l’ISEOR depuis une trentaine d’années. 1. L’audit social en évolution et en débat Historiquement, on peut considérer l’audit social comme une émanation de l’audit financier, l’objectif

ETREPRISE PUBLIQUE : rendre services les autres acteurs (partie prenantes) ont eux aussi un rôle majeur destiné à tout le monde (AUJOUR'HUI différentsdans la survie BUT N°1 : crée, maintenir, développer du aux privatisations) clientèle. À SAVOIR: Une partie prenante (stakeholder en anglais) tout acteur interne ou externe à une entreprise qui est concernée pour son bon fonctionnement. Les principales partie prenantes d'une entreprise sont : acteur interne : dirigeants,