Pathos Et Discours

....... ( grecque ) → blanc → leucémie , leucocyte litho - ............... ( grecque ) → pierre → lithographie - lithe ............... ( grecque ) → pierre → paléolithique logo - ............... ( grecque ) → discours → logorrhée - logue ............... ( grecque ) → discours → monologue - lyse ................ ( grecque ) → dissolution → analyse , électrolyse macro - ...............  ( grecque ) → grand → macrocosme , macrophotographie mam(m) - ............... ( latine ) → mamelle →

Une figure de style est un procédé de langage permettant de rendre un discours plus évocateur d'une idée, ou plus convaincant. - Accumulation : multiplication de mots voisins (exemple : l'os est brisé, fracturé, disloqué) - Allégorie : suite d'éléments narratifs ou descriptifs correspondant à une série de détails dans un but de sensibilisation (exemple : chaque jour, c'est la même histoire : métro, boulot, dodo) - Allitérations : répétition de consonnes initiales ayant une même sonorité dans des

de religions), philosophique, dialogue à travers les siècles, politique(peine de mort) DISCOURS DE L’AIEULE Dès le départ la description est de l’ordre du pathétique. « Hélas » = plainte suivi d’un présent gnomique « ce que la mort touche de ses mains froides » allégorie qui montre que la mort est définitive. Pourtant l’attitude désespérée de la grand-mère apparaît comme normale, commune. Son discours est alors d’autant plus réaliste, naturel et attendu. RESSENTIMENT DE LA GRAND-MERE « cria »

leur éducation sont en fait regroupées trois œuvres de Pierre Ambroise Choderlos de Laclos (1741-1803), auteur des Lumières : deux essais et un discours répondant à la question posée par l’Académie de Châlons — «Quels seraient les meilleurs moyens de perfectionner l’éducation des femmes». Ces trois textes n’ont été publiés qu’au XXe siècle. Le discours d’Académie a été un moyen de promotion littéraire et sociale pour bien des écrivains du XVIIIe siècle. En 1783, quand Laclos entreprend de répondre

Une partie en 30min idéalementSéparation de Lancelot et Guenièvre, rédiger une introduction (mettre à quelle étape ca correspond)Les enjeu du commentaire composé : commentaire composé =/ commentaire linéaire· Cela reste un discours sur le texte, cela se fait à travers une démonstration argumenté (éviter la paraphrase). Il faut une cohérence du tout et ne consiste pas à un alignement de 3 parties. Chaque texte appel, à un commentaire qui lui est spécifique.· Les cours sont un

Peut expliquer phénomènes de désinhibition voire les cptmts d'imitation ou d'utilisation Le syndrome dysexécutif : Syndrome dysexécutif = atteinte des FE Intérêt de la mise en évidence d'un syndrome dysexécutif Dignostic Il p révéler crtnes patho cérébrales Pronostic Il compromet sévèrement l'autonomie Thérapeutique Émergence de l'intérêt de crtns ttt sur les tbs cognitifs et cptmtx Les fonctions exécutives et évaluations neuropsychologiques FE : Évaluation

deux voix (propos énoncé par quelqu'un) se partagent le même acte de locution. Discours rapporté : Il s’agit d’une reprise des propos déclarés par autrui. Il un a donc un seul acte de locution et pourtant deux voix. On peut rapporter les paroles d’autrui par deux moyens : - Le discours indirect libre : Cette forme est considérée comme du dialogisme. Il n’y a pas de verbe de locution. - Le discours direct : Cette forme n’est pas considéré comme du dialogisme car il n’y a pas de fusion

avoir éclairé que l’ « intensité pure » doit se définir comme « une certaine qualité ou nuance dont se colore une masse d’états psychiques, ou, au plus ou moins grand nombre d’états simple qui pénètrent l’émotion fondamentale », Bergson introduit un discours sur les sentiments profonds. Pour mieux montrer dans ceux-ci l’ « intervention progressive d’éléments nouveaux », il prend l’exemple du sentiment esthétique, comme celui de la grâce. Bergson nous explique les « différentes natures » qu’elle va assumer

l’existence » (l. 40), « la puissance du meurtre » (l. 46), etc. Enfin, l’auteur utilise à plusieurs reprises les tournures impersonnelles présentatives « il (n’) y a (pas) » (l. 7, 18, 37). = permet d’éviter le pathétique / le ton reste neutre. UN DISCOURS A PORTEE GENERALE Pourquoi l’auteur rapproche-t-il la condition des déportés et celle des animaux, au début du texte ? Au début du texte les déportés sont comparés à des animaux parce que la faim extrême les déshumanise, = elle engendre en eux la

à 15), « Elle pencha la tête et lui tira ses bas,/Et dans ses vieilles mains prit les pieds du cadavre » (v. 24-25). Le long discours de la grand-mère porte le pathétique de cette scène à son paroxysme. C – Le discours de l’aïeule : sommet du pathétique Après avoir décrit la scène, Victor Hugo donne la parole à l’aïeule. Il transcrit sa souffrance au discours direct, ce qui marqué par la présence des tirets, l’utilisation de la première personne et l’emploi du présent et des verbes de parole