PCR

................................................................... 8 Registre des mouvements d’animaux et registre des visites................. 9 Génotypage ……………………………………………………....….. 9 Rapport de stage : animalerie de laboratoire 8. PCR…................................................................................................... 9. Souris transgénique ………………………………………………….. 9 10 Conclusion……………………………………………………………………………........ 10 Annexe Introduction L’unité d’enseignement

principales pour cela, la technique RFLP, et la technique PCR. - technique RFLP : extraction de l’ADN, isolement des zones abritant les séquences spécifiques au moyen d’enzymes de restriction qui agissent comme des « ciseaux moléculaires ». Séparation par électrophorèse, utilisation de sondes (brin d’ADN artificiel) par autoradiographie, enfin, impression sur papier glacé de bandes noires représentant les séquences spécifiques. - Technique PCR : (explication) environ 24 heures, mais amplifie aussi

découvrir le patient et bonne hydratation si aggravation de la température Sv : surveillance odeur , aspect des urines. Qu’il n’y est pas d’écoulement ou de rougeur au niveau du méat. Plaie op : pas d’inflammation pas de rougeur, pas d’écoulement. PCR+ Leucocytes Prendre en compte paracétamol (masque la temp°) CT : Je fais une série d’hémoculture selon la température + réalisation d’une ECBU (voir protocole) 38°5 Surveillance plaie op, SV, VVP Ablation VVP + SV avec surveillance de la reprise

série de schémas de la réplication de l’ADN qui explique les observations de Taylor. On précise qu’il suffit qu’un seul des 2 brins d’une molécule d’ADN soit marqué par T tritié pour que la molécule d’ADN soit radioactive. Etude d’une technique : la PCR ( Document 4. (Après avoir lu et compris la technique, expliquez une ou plusieurs applications possibles, en criminologie ou médecine/pharmacie. | |Matériel à disposition |Durée activité |

L’ATBgramme 3 semaines plus tard • Les moyens plus rapide – Culture sur des milieux radiomarqués raccourcit les délais de réponse 1-2 semaines – PCR +++ pour les méningites tuberculeuses car peu de bacilles et traitement urgent – PCR pour détecter de mutations témoignant de la résistance aux anti BK • Dans les pays en voie de développement PCR en temps réel pour détecter les cracheurs de BK Principe du traitement = il est très long dure 6 mois • Associe 4 anti BK pendant 2 mois

différeront. On utilise RFLP quand l’ADN prélevé est en quantité suffisante, pour réaliser un grand nombre de comparaison. Si la quantité d’ADN prélevée est trop faible, on réalise alors une réaction en chaine par polymérase (PCR). 3- La PCR, technique de réplication de l’ADN La PCR ( Polymerase Chain Reaction ) ou réaction en chaine par polymérase est une technique de réplication d’un fragment d’ADN particulier dont la séquence est au moins partiellement connue. Pour cela, on réalise une réplication

céphalo-rachidien Anthrax (diagnostic) • 1 - Culture rapide en bouillon (étape préalable pour les prélèvements respiratoires) – Identification du Bacille Gram +, mobile – Confirmation en immunofluorescence direct ou PCR • 2 – Mise en évidence de l’ADN B. anthracis par amplification génomique (PCR) – Surtout si antibiotique préalable (plèvre, sang, LCR) • 3 – Mise en évidence sur un fragment de tissu d’antigène de capsule et de paroi spécifique en immuno-histochimie • 4 – Mise en évidence d’Anticorps dirigé

polyarylamide 3.Elaboration de Cartes de restrictions des 1.Purification des acides 1.1.Extraction nucléiques de =technique l’ADN permettant d'isoler l'ADN de cellules ou de tissus. L'ADN extrait  digestion, hybridation (Southern blot), séquençage, PCR, clonage… Différents protocoles pour extraire l'ADN avec même schéma de principe : •Lyse des cellules •Elimination des protéines •Elimination des autres acides nucléiques (ARN...) 4 TD1.TECHNIQUES DE SEPARATION ET D’ANALYSE DES ACIDES NUCLÉIQUES •Concentration

longtemps limité la connaissance du virus [4]. Son identification génomique a été rendu possible grâce à la biologie moléculaire seulement depuis les années 1970, avec un essor particulier après la découverte en 1985 de la polymerase chain reaction (PCR) [4]. I.3 Agent pathogène : a. Structure [4,5,6,13]: Le papillomavirus appartient à la famille des Papillomaviridae. Plus de 120 génotypes ont été décrits chez l’homme dont une quarantaine infecte préférentiellement l’épithélium du tractus anogénitale

c'est à dire qu'à partir d'un échantillon infime contenant des cellules humaines, comme du sang, de la salive ou de la peau, un technicien extrait l'ADN ( pendant la purification, on sépare l'ADN du reste de la cellule. -Deuxième étape: le PCR. L'ADN purifié est soumis à un traitement qui permet de multiplier seulement les sites intéressants. -Dernière étape: l'électrophorèse. Les segments d'ADN sont séparés par électrophorèse. Cette technique permet de les trier selon leur longueurs