Pédagogie traditionnelle

appréciée à l'école, par une batteries de tests à travers des thorocomèteres, rachigraphe, pneumographe, stéthographe, spiromètre, compas... pour évaluer cette dernière. Maccario parle de « corps chiffré » (Théorie et pratique de l'évaluation dans la pédagogie des activités physique et sportives, 1986). Puis peu à peu, avec notamment les découvertes des docteurs Lagrange, Chauveau, Marey sur les échanges gazeux du corps et la respiration, on va s'intéresser davantage à la physiologie pour développer la

doute le caractère répétitif des exercices, le renforcement constant des acquisitions. Mais la répétition des patterns des exercices structuraux – principale technique de la méthode audio-orale – ne constitue pas le caractère essentiel de la pédagogie behavioriste; la répétition par elle-même « ne peut avoir aucun effet, si n’ont pas été aménagées des contingences de renforcement adaptées aux acquisitions visées » [4, p. 30]. Autrement dit, il faut prendre en compte les stimulations en tant

de la didactique des langues. D’origine anglo-saxonne, elle commence à s’imposer en France dans les années 70, où les pédagogies béhavioristes étaient en plein essor. Si les méthodes audio-orales et audio-visuelles des années 60-70 offraient l'apport de nouvelles technologies en cours de langues, elles puisaient encore beaucoup dans des approches structuralistes traditionnelles. Le béhaviorisme consistait à introduire des structures toutes faites qu'il fallait répéter puis consolider grâce à un

quelle(s) conception(s) dominent actuellement le monde de l'éducation en matière d'existence de l'autorité à l'école. L'autorité met en jeu le professeur face à l'élève dans un rapport dissymétrique intimement lié aux conditionw d'exercice de la pédagogie (dans laquelle on retrouve la notion de soumission). Ce décalage entre enseignant et enseigné revêt des interactions entre eux qui n'a pas toujours été du même ordre. En effet, les nostalgiques d'avant mai 1968 décrivent une école archaïque où

qui traitent de l’éducation dans le Gargantua. Lorsque Grandgousier s’est rendu compte à quel point ses précepteurs sophistes avaient rendu son fils Gargantua « fat, niais et ignorant », il l’a confié à un pédagogue, Ponocrates, qui a inauguré une pédagogie que l’on pouvait considérer comme révolutionnaire pour son temps. Gargantua a donc reçu une véritable éducation humaniste, et il est bien normal que ce père affectueux et très soucieux de la formation de son fils lui écrive à son tour une lettre

5 pages pour mon inscription en Doctorat de sociologie. Croyez-le ou pas, j'avais projeté de prendre pour thème l'éducation. Je voulais comprendre l'incidence sur le rapport à l'apprentissage de la pédagogie d'enseignement, et faire une étude comparée entre une pédagogie traditionnelle et une pédagogie nouvelle (en référence à Montessori). J'ai validé mon inscription avec ce projet. A la rentrée d'octobre, j'ai eu mon premier rendez-vous de travail avec mon directeur de recherche (qui avait également

sens. La seconde à ma surprise s’est investie dans l’exercice que je lui avais proposé. Cette expérience m’amène à réfléchir sur la motivation chez un apprenant adulte. D’autre part, est-ce que la pédagogie chez l’adulte est similaire à celle de l’enfant en milieu scolaire ? Comment adapter la pédagogie du formateur à l’apprenant adulte ? Dans cette seconde partie, je m’interrogerai donc sur l’andragogie. II – Réflexions 1°) La motivation chez l’adulte. Pour commencer, nous pouvons définir

libération créatrice, mais il cesserait de l’être si, au lieu d’aboutir à une vie culturelle authentique, il n’était que l’effet d’une vision passéiste de la culture. Si les Etats africains parlent de traditions africaines plutôt que de cultures traditionnelles, c’est qu’ils ne peuvent admettre qu’il y ait contradiction entre l’héritage du passé, transmis de génération en génération à, travers une histoire mouvementée, et le développement fondé sur le progrès technologique. Et j’estime qu’à ce niveau

Texte 2 Nouvelles stratégies pédagogiques et méthode traditionnelle : où est la différence ? Dans le respect des principes d’une bonne stratégie pédagogique ! Ulric Aylwin, coordonnateur du développement pédagogique au Cégep de Maisonneuve en 1992, développe cette réponse dans le texte 2 : Les principes d'une bonne stratégie pédagogique. Ce texte est tiré du volume 5, no 4, de la revue Pédagogie collégiale, paru en mai 1992 (p. 11-15) et du volume 6, no 1, de la même revue paru en septembre 1992

de l’enfant à l’école ? Pourquoi l’autonomie est-elle nécessaire à l’enfant dans son projet d’élève ? ». Petite voix©: Quelle définition de l’autonomie avez-vous choisie ? Audrey et Anne : Nous avons opté pour la définition d’un dictionnaire de pédagogie, qui désigne l’autonomie comme « la capacité de régler par soi-même sa conduite selon des lois. La conquête de l’autonomie serait donc la prise de conscience des lois et l’intégration de ces lois dans un advenir personnel, dialectique entre contrainte