Pensée de groupe

civilisation ou d’un groupe particulier (culture française, culture américaine, culture latine...). Pour les ethnologues et anthropologues, elle est souvent utilisée au pluriel (les cultures) pour désigner «l’ensemble des manières de dire, de faire ainsi que les valeurs d’un groupe humain -voire de l’humanité-, repérables en actes (comportements, paroles) et à travers des supports (costumes, outils, oeuvres artistiques...)».1 Cette définition permet l’observation objective de groupes, sans hiérarchisation

tant que représentation. Sujet: Le portrait (peinture) féminin du XIXème siècle et début du XXème siècle. Problématique: Y-a-t-il une subjectivité derrière un portrait ? Le sujet a été défini collectivement, par les trois membres composant le groupe. Nous avons choisi de traiter sur l'image, et plus précisément sur le portrait, car nous sommes tous les trois dessinateurs, et pour ma part, peintre également. Parmi tous les tableaux de portraits existants au XIXème et XXème siècle, nous avons donc

entre les différents peuples, mondes, ou groupes d’individus ? Tout d’abord nous pourrons évoquer les différents types de communication qui sont possibles d’utiliser pour dans un second temps analyser les méthodes de communication. Tout d’abord la communication est la base de la relation entre les individus c’est-à-dire que sans échange, il n’y a pas de rapprochement possible entre les personnes pour permettre de transmette son savoir, évoquer ses pensées, exprimer ses sentiments. La communication

Le choix de mon groupe par rapport au sujet Comme tous les élèves de premières, j’ai du au début de l’année choisir un sujet de TPE. Mais après avoir commencé le sujet «  Crise et Progrès économique », j'ai dû changer d'établissement scolaire pour des raisons personnelles. Le 27 novembre 2012 je me suis retrouvé totalement perdu dans un nouvel établissement, ne connaissant personnes et n'ayant plus aucun TPE. La première chose a laquelle j'ai pensé était de m'intégrer à un groupe déjà formé. Je voulais

organisée. Le problème pour l’Homme est de se voir comme un individu puis après comme un ensemble : Tiraillement entre le « je » et le « nous » voire les « nous » (groupes différents) ; Et les règles peuvent variées selon les groupes. Plus il y a de « nous », plus la société est complexe. On joue des rôles différents selon les groupes. On peut noter une contradiction majeure : l’Homme ne peut pas vivre sans les autres (manger, loger, etc.) mais l’Homme a des tendances égocentriques, il veut se différencier

séance, nos professeurs référents nous ont expliqué les modalités de l’épreuve qui m'a semblé au premier abord, être un moyen ludique de gagner des points au bac. A l'avance, nous savions avec qui nous allions être pour l'ensemble du sujet, soit, un groupe de 4 amis de longue date (Nicolas-Antoine-Théo mon frère et moi-même). Le choix de notre sujet n'a pas fait l'objet de nombreux débats, En effet, nous avons d'abord exprimé nos souhaits puis, en fonction des thèmes possibles, avons préféré choisir

extérieur dans le groupe ou la société. C’est le groupe qui contraint l’individu. Il est pour lui le véritable substrat (sujet) de la Sociologie. Autrement dit, « ce qui est social, ça n’existe que dans et par les individus » ; seulement, il n’est pas dans les individus. Le fait social a une origine collective. Le groupe est le vrai sujet du fait social. Il est d’autre nature que ce qu’il y a dans chaque individu isolément. Par rapport à ce que je pense, ce qui est social est la pensée qui vient du

c’est parce qu’il considère que l’origine des croyances religieuses se trouve dans une force fondamentale et centrale qui est au cœur de toute société. Le religieux revêt une importance d’autant plus grande qu’il est, selon lui, à l’origine de la pensée scientifique. Dans le livre I, Durkheim s’attache à définir le phénomène religieux, à répondre aux principales objections sur la nature du phénomène religieux, à énumérer les conceptions élémentaires de la religion élémentaire (exemple de l’animisme)

philosophie classique. Et dès 1925, il abandonne la philosophie pour la sociologie alors qu’il prépare sa thèse d’habilitation à Heidelberg (Allemagne). Il reproche à la philosophie d’isoler l’individu et de dissoudre l’historicité des catégories de pensées (avant-propos, Roger Chartier). Dans la préface, Norbert Elias débute par « le rapporte de la multitude à l’être humain pris isolément que nous appelons « l’individu » et de l’être humain pris isolément à cette multitude d’êtres humains que nous

semblait donc intéressant de traiter ce sujet. « nom de la personne » a tout de suite été d’accord sur ce sujet, néanmoins, il nous fallait un troisième élève dans notre groupe, « nom de la personne » s’est donc joint à nous. Ne le connaissant pas vraiment nous avons appris à le connaitre, à nous entendre. Une fois les groupes définis, nous avons axé notre recherche sur les panneaux solaires photovoltaïques. Nous sommes tombés d’accord sur l’idée de trouver une énergie propre qui remplacerait celles