Pensée Peur Kant

(une science des passions)   « Car il est besoin de remarquer que le principal effet de toutes les passions dans les hommes est qu'elles incitent et disposent leur âme à vouloir les choses auxquelles prépare leur corps: en sorte que le sentiment de la peur l'incite à vouloir fuir, celui de la hardiesse à vouloir combattre, et ainsi des autres. »Descartes, Les passions de l’âme.   Les passions sont un thème privilégié de la philosophie classique. Descartes en fournit une explication qui est à la fois

croire : l’expérience intime, personnelle qu’il fait de la Présence de Dieu, de Sa miséricorde …. Mais ces ‘’raisons’’ ne relèvent justement pas de ‘’la’’ raison. « Dieu sensible au cœur, non à la raison : voilà ce que c’est que la foi ». (Pascal, Pensées, 278). Cette expérience spirituelle n’est pas une expérience scientifique, puisqu’elle n’est pas réproductible par quiconque. 1.2 . Critique de la religion par la raison, et de la raison par la religion Cette opposition de principe peut se solder

de conscience des minraux, des vgtaux et des animaux. Et que ce soit Aristote (384-322), R. Descartes (1596-1650), E. Kant (1724-1804), M. Heidegger (1889-1976), J-P Sartre (1905-1980), pour nen citer que quelques-uns, ces philosophes ont plutt insist sur la diffrence de nature absolue entre la conscience humaine et ces autres ralits. Cette attitude, qui peut, surtout si on pense la ralit animale , passer aujourdhui pour condescendante est aujourdhui, changement dans lvidence de la hirarchie des

individu, et il s'agit d’une grande partie de son corps et donc de sa partialité. C’est ce qu’explique Kant dans sa réponse à la question : Qu’est-ce que les Lumières ? (1784) : Les Lumières se définissent comme le retrait d'un homme de la minorité* à laquelle il appartient, notre responsabilité. *Minorité, qui signifie incapable d'utiliser sa capacité de penser sans la direction des autres, Kant nous explique donc que les hommes dévoués à rester « mineurs », les hommes qui n’utilise pas leur penser

nous définit en tant qu’homme, c’est-à-dire en tant qu’ « être pensant ». Ainsi nous pouvons nous demander si nous devons penser pour être heureux? Nous verrons tout d’abord que le bonheur est l’objectif principal de toute vie, puis le lien entre la pensée et le bonheur et enfin que l’on peut être heureux sans y penser. Le bonheur, l’objectif principal dans la vie. « Nous nous tournons de ce fait vers la question de savoir ce que les hommes eux-mêmes permettent, par leur comportement, de reconnaître

concentre sur les principes du droit. Kant propose une digotomie à la fin du XVIIIeS dans les principes métaphysiques de la philosophie du droit, il considère que le droit fait l’objet de deux types de question : - Quid iuris ? Quelle est la solution du procès, que dit le droit ? - Quid ius ? Qu’est ce que le droit, qu’est ce que l’essence du droit ? Kant considère que les juristes n’ont toujours pas trouvé de définition pour leur concept de droit. Kant considère qu’il y a deux réalités qui s’opposent

cause de quoi ou en vue de quoi l'homme est-il moral ? Si notre seul mobile est l’intérêt, il s’agit alors d’adhérer à une vision plutôt pragmatiste qui ne peut être justifié seulement jusqu’à un certain point. D’un autre côté, tel que le comprend Kant, la conduite morale peut a priori être déterminée, au delà de l’intérêt même, par la notion de devoir. L’obligation morale, le devoir, est inhérente à la liberté en acte. Le rigorisme kantien n'en affirme pas moins que l'intérêt ne saurait être authentiquement

connaissance ? Est-ce en le réduisant à une mécanique ? En l'appréhendant comme une machine ? Cette démarche n'est-elle pas réductrice ? Ne fait-elle pas défaut à la connaissance du vivant ? On envisage le vivant à travers l'évolution . Le vivant peut être pensé en terme de solidarité ; il s'adapte à son milieu . Quand commence le vivant ? Quand est-ce que cela se termine ? Puis-je manipuler le vivant ? I/ Approche mécaniste du vivant et ses limites A) La thèse du corps machine La culture scientifique

Philosophie empiriste = philosophie qui place l’origine de la connaissance dans l’expérience. Ce courant philosophique reprend une notion (l’expérience) et lui accorde depuis la fin de la Renaissance une fonction particulière dans l’économie de la pensée. La connaissance est en effet envisagée en tant que telle, sans liaison forte avec une ontologie, une étude de l’être en tant qu’être. Est qualifié d’empirique : ce qui dépend de l’expérience et ne fait pas l’objet d’une élaboration théorique

conscient c’est connaître ses actes, ses réflexions et même ses sensations. La conscience ressemble à notre miroir, elle reflète nos rapports au monde, nos relations avec les autres, notre perception du bien et du mal. Si l’on se réfère aux propos de Kant, philosophe allemand fondateur de la philosophie critique au XVIIIème siècle, écrits relevés dans Critique de la raison pratique, “La conscience est la raison pratique représentant à l’homme son devoir pour l’acquitter ou le condamner en chacun des