Pessimisme De Voltaire

de dagues »(l.8) mettent en place un cadre correspondant au 17ème siècle. De plus, même si les lieux ne sont pas décrits dans ce texte ont imagine aisément le château du roi. Dans Germinie Lacerteux les meubles anciens tel que : « un fauteuil à la voltaire » (l.16) sont caractéristiques des la fin du 19ème siècle. Troisièmement, ces textes correspondent à différents mouvements littéraires qui reflètent l'époque et l'état d'esprit et personnes à la période de l'écriture. Ainsi Jacques le Fataliste correspond

Thèmes: La religion, que ce soit pour la défendre (cf. D'Aubigné, Pascal) ou l'attaquer (cf. Voltaire). Les questions sociales : le colonialisme (cf. Diderot, Césaire, Roumain, Glissant), l'esclavage (cf Montesquieu, Condorcet, Voltaire), la dénonciation des injustices (cf. les philosophes des Lumières). Les valeurs humanitaires : la liberté, la lutte contre le racisme, la défense de la négritude (cf. Césaire, Senghor, Glissant) ; des émigrés (cf. Tahar Ben Jelloun); pour l'humanité

philosophe français. Il fut notamment l'auteur De l'esprit des lois. (1748). Diderot : (1713-1784), philosophe et écrivain français. Il fut le maître d'œuvre de l'Encyclopédie (1751-1772) et l'un des principaux représentants de l'esprit des Lumières. Voltaire : (1694-1778), homme de lettres et philosophe français, auteur notamment d'essais et de contes philosophiques qui témoignent de son souci de vérité, de justice et de tolérance, Candide ou l’Optimisme (1759). Rousseau : (1712-1778), écrivain et philosophe

comprend toutes les libertés( de culte, de mouvement), reposant sur la séparation des pouvoirs. Il est l’auteur de deux œuvres célèbres : Les Lettres persanes et De l’esprit des lois. Il meurt en 1755. - Enfin, le dernier, François Marie Arouet, dit Voltaire, est né en 1694. Il est l’auteur d’essais historiques et de contes philosophiques ( Exemples : Candide, L'Affaire Callas). Ses œuvres prouvent son souci de vérité, de tolérance et de compassion vis à vis des victimes d'erreurs judiciaires. Il meurt

jugement. Un jugement basé sur des critères, qui sont pour le philosophe, le bonheur, l'innocence et la liberté. Alors qu'a l'opposé, l'humanité offre un spectacle de malheurs , de perversité et de méchanceté. C'est pourquoi on peut comprendre le pessimisme de Rousseau. Tous nos maux, viennent donc du développement de nos aptitudes et de nos vertus. 4) These La thèse que Rousseau fait ressortir ici : Rousseau, en plein siècle des lumières très croyants en les vertus du progrès, disqualifie

suivants en vous demandant notamment s'il y a ou non unité dans le mouvement «philosophique» du XVIIIe siècle : «Le programme de Voltaire et celui des Lumières : lutte contre toutes les tyrannies, celles des systèmes et celles des gouvernements, contre l'intolérance et le fanatisme, volonté d'agir pour assurer aux hommes le bonheur terrestre, en écartant le désespoir, le pessimisme (c'est le sens de l'adjonction de la lettre 25, Remarques sur les Pensées de M. Pascal). La philosophie se propose dorénavant

représente une structure harmonique. La Providence est un être divin qui prête attention à des être humains et qui s’occupe de chacun de nous. Pour les Grecs, il n’y a pas d’impossibilité de vie heureuse sur Terre. Par rapport à ça, il y a une sorte de pessimisme chez les chrétiens. Chez eux, il y a une opposition entre matière et esprit et chez les chrétiens l’intérieur s’oppose à l’extérieur. Un agnostique est celui qui dit : je ne sais pas, c’est différent d’un athée : Dieu n’existe pas et du nihiliste

veut que qui veut faire l'ange fait la bête », estimait le philosophe Pascal, partisans des jansénistes. « Qui veut détruire les passions au lieu de les régler veut faire l'ange », lui répondait ironiquement Voltaire… Ces deux assertions résument l'essentiel du débat qui a opposé le pessimisme du jansénisme, concernant la capacité de l'homme à faire le Bien, à l'humanisme nettement plus optimiste des philosophes du siècle des Lumières. Mais la controverse soulevée par les thèses jansénistes a d'abord

à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur

bon sauvage » suscite également les réflexions des philosophes humanistes sur le fonctionnement et les modes de pensée de notre société : Montaigne (1533-15952) dont les textes sont fondateurs dans la constitution de ce mythe, Diderot (1713-1784), Voltaire (1694-1778) ou Rousseau (1712- 1778). Pour les hommes des Lumières, le « bon sauvage » incarne l'innocence et la pureté d'un paradis perdu car, loin de le rendre inférieur, cet état « primitif » lui permet de vivre en harmonie avec les hommes et