Peut On Concevoir Une Société Sans Religion

pratiquer la religion de son choix, tant que cette pratique ne va pas à l’encontre des droits d’autrui. La démonstration d'appartenance à une religion peuvent cependant être restreints, d’où le principe de laïcité donne lieu à des débats car il doit pouvoir se concilier avec l’exercice du culte, c'est-à-dire éviter les ingérences tout en garantissant la liberté de conscience. Par ailleurs il est incompatible avec certaines croyances religieuses selon lesquelles, justement, la religion doit déterminer

retrouve le thème de l’infiniment grand (les géants) et l’infiniment petit (les Lilliputiens): infiniment grand et infiniment petit, ainsi que le voyage. Les deux auteurs se servent de la satire et du regard étranger comme moyen de dénoncer leur société, et se cache dernière la science-fiction et le conte pour éviter la censure. Entretiens sur la pluralité des mondes écrit par Fontenelle en 1686 est une œuvre de vulgarisation scientifique : elle met le savoir à la porte de tous, elle l’explique

EST-IL POSSIBLE DE PENSER PAR SOI-MÊME ? INTRO. Nous sommes inscrit dans une histoire familiale, dans une société et une époque donnée. Nous nous exprimons dans un langage déjà tout-fait. Nous vivons dans un monde d'idées reçues, véhiculées par les on-dit et traversées par les modes. Mais si nous sentons tous que notre pensée nous appartient en propre, nous savons aussi que nous sommes plus ou moins influençables : avoir des pensées vraiment à nous n’est pas si facile. Alors comment faire

POLITIQUES La philosophie a ceci de particulier par rapport aux autres sciences sociales, c’est qu’elle n’a pas d’objet. La philosophie ne fait pas de progrès dans le temps. Dans le domaine technique par contre le progrès peut être mis en évidence sans difficulté. De fait, on ne peut apprendre la philosophie comme une autre matière. La philosophie sera plutôt un questionnement perpétuel. L’histoire de la philosophie est un vaste champ de bataille où les grands auteurs ne sont pas extrêmement nombreux

chercher qu’elle est la religion la plus primitive, la plus simple que l’observation puisse nous faire connaitre, il faut procéder a une opération préliminaire, celle de définir ce que l’on entend par religion. Il faut donc pour cela, libérer notre esprit de toute idée préconçues (chercher dans la réalité même, laissant de côté tout conceptions formées sans méthode). La religion ne peut se definir qu’en fonction des caractères qui se retrouvent partout où il y a religion (caractères communs). Dans

années 1940 en France. Il va principalement s’intéresser aux fondements de la société. Alors que le courant culturaliste s’intéressait à la pluralité et à la diversité des cultures et malgré la recherche de « formes fondamentales » de la part de Ruth Benedict, le structuralisme va avoir pour démarche première de comprendre l’essence même des sociétés au-delà de leur apparence. Cette quête de la compréhension des sociétés dans leur essence a une antériorité. Nous ne citerons, parmi tous les auteurs

l’aventure extérieure. Historiquement, les européens sont avant tout des navigateurs. Pour cette raison, les idées actuelles structurent le monde actuel car cela fait 5siècles qu’elle s’exporte (ex des drits de l’homme) Il est donc difficile de concevoir l’Europe dans une structure, une Europe fermée. L’Europe s’ « «unit » donc autour de quelques valeurs qui l’on structuré et qu’elle a exportées. L’Europe est avant out une idée plutôt qu’un territoire. Les iles européennes ont souvent étés

à ces questions existentielles à travers leurs mythes des origines. Un mythe de manière générale est un récit qui se veut explicatif et fondateur d'une pratique sociale. Il propose une explication à certains aspect fondamentaux du monde et de la société qui a forgé et véhiculé ces mythes. Les mythes font partie de ces explications erronées, mais dont la cohérence est satisfaisante car complets et permettant d'expliquer tous les phénomènes. Ils ont une valeur sacrée et leur puissance de représentation

DissertconcoursDISSERTATION PEUT ON RIRE DE TOUT ??? Peut on rire de tout, ou bien peut on encore rire de tout ? Le rire, c'est la manifestation de l'expression la plus naturelle et neutralisante qu'il soit. A travers les siècles, il n'a cessé d'exister et d'évoluer. Condamné par l'Eglise, défendu par les philosophes, le rire est le disciple du bonheur inconditionnel et l'émetteur d'une intensité universelle. Faut il encore savoir faire la différence entre rire et se moquer? C'est notamment

nationale (sentiment de perte de repères, de valeurs,...), mais aussi les répressions sanglantes des classes ouvrières (la commune de Paris) qui réactivent la « question sociale ». Ce « nœud E. Durkheim, « Introduction à la morale » in Textes. 2. Religion, morale, anomie, 1917, Paris, Les Editions de Minuit, 1975, pp. 313-331. 2 G. Gurvitch, La vocation actuelle de la sociologie, tome II, Paris, PUF, 1969, p. 175. 1 144 Interrogatiions ? – Revue plluriidiisciiplliinaiire en sciiences humaiines