Peut On Encore Définir La Démocratie Comme Le Pouvoir Du Peuple

Rousseau. Philosophiques, 28(2), 327–349. https://doi.org/10.7202/005670ar Résumé de l'article La loi, dans la pensée politique de Rousseau, engage nécessairement une détermination du citoyen et de la démocratie. Cette caractéristique ne repose pas seulement sur l'affirmation de la souveraineté du peuple, mais bien plutôt sur une double définition paradoxale de la citoyenneté. En effet, Rousseau fonde la loi sur la nécessité de citoyens silencieux. Sous cet aspect, l'État rousseauiste se présente sous

élus et disposent d'un pouvoir réglementaire pour l'exercice de leurs compétences").                 Cet alinéa ne peut être compris qu'au regard de l'organisation administrative de la France. L'article 1erde la Constitution énonce que la France est une République indivisible et que son organisation est décentralisée. Elle ne reconnaît qu'un seul peuple, le peuple français, à l'exclusion de tout autre (pour ce motif a été censuré la mention du peuple corse, composante du peuple français, par la décision

Tocqueville. Le libéralisme est avant tout défini comme une morale individuelle, puis une philosophie de la vie en société, dérivant de cette morale et enfin une doctrine économique qui se déduit logiquement de cette morale et de cette philosophie. Pour le libéral, l’État devrait être une association d’ordre supérieur à laquelle des associations d’ordre inferieurs délègueraient certains pouvoirs et certains moyens. Les libéraux s’efforcent de limiter le pouvoir des États. Le libéralisme est un système

autolégislation, partage du Logos, principe de discussion, démocratie, dèmos. ▀ INTRODUCTION  « […] le principe démocratique ne peut se manifester que comme le cœur d’un système des droits. La genèse logique de ces droits forme un processus circulaire dans lequel le code du droit et le mécanisme destiné à produire le droit légitime, donc le principe démocratique, se constituent co-originairement. », Jürgen Habermas, Droit et démocratie, p. 139. « La démocratie n’est ni l’autorégulation consensuelle des passions

constitutifs de l’Etat, comme le disait Hauriou. L’Etat est un phénomène spatial, la population est établie sur ce territoire qui est un espace délimité par des frontières. Le territoire circonscrit donc le périmètre d’action, la puissance de l’Etat. C’est sur cette zone géographique délimitée que l’Etat va donc exercer son pouvoir. L’Etat a donc besoin d’un territoire pour exister, simplement la taille de ce territoire importe peu. En effet, le territoire peut être très étendu, comme la Chine, la Russie

la démocratie semi-directe La conséquence logique de la théorie de la souveraineté populaire est la démocratie directe, c'est- à -dire un régime dans lequel le peuple dans son ensemble et chaque citoyen en particulier prendraient eux-mêmes toutes les décisions. Mais les nécessités pratiques rendent l'application de ce modèle impossible dans les pays vastes et peuplés ; la souveraineté populaire doit alors s'accommoder d'un certain régime représentatif limité à ce que le peuple ne peut faire

l’actualité. le droit constit est définit comme étant le droit de l’etat a savoir qu’il fixe les regles d’organisation politiques de l’Etat c’est don l’encadrement juridique d’un phenomene politique. droit constit s’inscrit dans un vaste mouvement historique et philosophique qui s’est principalement devellopé au 18eme siecle le siecle des lumieres philosophie qui a considéré que la democratie passait par la limitation des pouvoir absolue conditions obligatoire de la democratie le mouvement constit s’est aussi

est-elle compatible avec la démocratie ? «  Corrputio optimi pessima  » (la corruption des meilleurs est la pire). Dans sa concision, l'adage latin exprime de façon saisissante la crainte ancestrale que la société ne se délite par le haut, qu’une classe politique cesse de se soucier du bien commun pour se consacrer à la seule défense de leurs intérêts propres, plongeant le pays dans le déclin et l'anomie. Cette situation vaut peut-être pour la France d'aujourd'hui

serait. 3)C'est l'ensemble des pouvoirs que cet être peut exercer. Deux sens : -on dit parfois que la souveraineté comprend le droit de battre la monnaie, celui de faire les lois et de rendre la justice : ces pouvoirs sont des attributs de la souveraineté (c'est la puissance de l'Etat). Cette souveraineté n'est pas indivisible et l'on peut répartir ces attributs entre plusieurs autorités. Mais ces attributs ne se situent pas tous sur le même plan : le pouvoir législatif domine les autres, les

d'actualités. Pour en arriver au Traité de Lisbonne, effectif en 2009, il faudra donc faire une description exhaustive des traités le précédant mais bien sûre partielle dans leurs actions qu'il serait ici hors sujet de décrire dans leur totalité. Que peut évoquer l'architecture institutionnelle du Traité de Lisbonne? Quelles sont les modifications apportées par celui-ci aux institutions? C'est ce que nous verrons dans une deuxième partie. Après la création de la CECA, premier pas vers une coopération