Peut On Imposer La Liberté Par La Force

 L’etat est t’il l’ennemi de la liberté? INTRO :Il faut d’abord s’attacher à définir ce qu’est l’Etat, on notera le caractère général de l'emploi du mot Etat qui s’oppose a sa définition qui est un ensemble des organes juridiques et administratifs d'une société, différent de la Nation et du Pouvoir .L’Etat est donc ici une société organisée, dotée d'un gouvernement et d'organes administratifs ayant une influence sur lespopulation. De même la liberté en philosophie c’est : Le libre arbitre, la

sujet: à quoi devons-nous obéir? Obéir signifie se soumettre à un ordre qui par là même s'impose, rendre sa volonté adéquate, la conformer à ce à quoi elle obéit ainsi. Mais l'ordre en question peut être de nature multiple: il peut s'agir d'une règle ou d'une loi, de la volonté de quelqu'un d'autre, ou encore d'une nécessité naturelle. Ce faisant, l'obéissance, dans sa possibilité même, paraît impliquer deux choses. D'une part une « plasticité » de la volonté, qui pourrait, dans une certaine

partie à la force et dans une deuxième partie à l’esclavage. Rousseau défend la thèse selon laquelle la « force ne fait pas le droit ». Le philosophe estime même que « le droit du plus fort » est un « galimatias inexplicable ». Cette force est relative dans le temps car elle impose sa loi jusqu’à ce qu’une autre force plus importante ne prenne le pouvoir. Alors cette seconde force désobéit impunément à la première. En ce sens la notion de droit perd de son importance. Seule la force devient nécessaire

La guerre peut elle être belle ? Si l'on demande à un inconnu : quels sont les pires catastrophes qui existent sur terre, il citera les catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre, les maladies, ils ne manquera pas de citer la guerre parmi ces plus grands malheurs que l'humanité peut subir. Pourquoi cette guerre fait elle partie des pires catastrophes qui peuvent se produire ? La guerre est avant tout un combat d'un peuple contre un autre peuple, il n'y a plus d'individu

chez les poètes et les philosophes, une contrainte, une nécessité naturelle, logique ou divine... Dans la mythologie grecque, Ananké est la personnification de la destinée, de la nécessité inaltérable. La nécessité est ce qui ne peut pas ne pas être ou ce qui ne peut pas être autrement qu'il n'est. Par exemple, il est nécessaire, selon les principes de l'arithmétique, que 2+2 = 4 ou qu'un triangle ait trois côtés. De même, si je lâche un stylo, alors il va nécessairement tomber. Ainsi, dans

satisfaction d’un besoin mais seulement le moyen de satisfaire des besoins en dehors du travail ». C’est-à-dire une contrainte vitale qui ne permet aucun plaisir ni désir de s’investir dans sa tâche : le temps de travail est une négation de soi. * Peut-il y avoir alors un travail libre ? Il y a une part de contrainte indissociable du travail, il est utilitaire et non libéral. Le travail libre relève plus de l’utopie (marxiste, dans l’Analyse du programme de Gotha) et de l’oxymore que d’une réalité

donc aborder préalablement cette notion. I - L’obligation Dans le langage courant, l’obligation est envisagée comme un devoir. Dans son acception juridique, l’obligation est un lien de droit entre deux personnes dont l’une, appelée créancier, peut exiger de l’autre, appelée débiteur, l’exécution d’une prestation ou d’une abstention. L’obligation est donc un droit subjectif, patrimonial et personnel. Puisqu’il s’agit d’un lien de droit entre deux personnes, en effet, l’obligation se distingue

{text:soft-page-break} La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler? De nombreux mythes font état d'un âge d'or au cours duquel le travail n'existait pas encore, chaque homme pouvant faire ce qui lui plait et donc en quelque sorte être libre, libre de sa pensée de ses actes, de ses dires. La nature lui fournissant directement ce dont il avait besoin pour vivre: nourriture, boisson, divertissement... C'est le cas dans la Genèse. Mais dans ce récit, après avoir gouté à la liberté, les Hommes

l’ouvrage rappelle que le marché phagocyte les institutions afin d’étendre sa rationalité .Cet apophtegme se retrouve mise en lumière par ce court extrait «  Le tenant de l’économie libérale peut donc , sans aucune inconséquence , demander à l’état d’utiliser la force de la loi , il peut même faire appel à la force violente , a la guerre civile , pour instaurer les conditions préalables à un marché autorégulateur ».p201 Grande transformation ;Cette idée met en exergue la véritable relation filiale du

La liberté, telle que la conçoit Machiavel, est le fait qu’une collectivité se gouverne d’elle-même, au lieu d’être soumise à un maître (que celui-ci soit un Etat étranger ou un tyran indigène) ; c’est la liberté au sens antique du mot : la collectivité est libre, non les individus. Dans Discours sur la première décade de Tite-Live, II, chapitre II (Quels furent les peuples que les romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté), Machiavel se demande « Pour