Peut On Obéir

qu’on leur doit obéir par nécessité, non seulement par la crainte de la colère ; mais encore par l’obligation de la conscience. Saint Pierre a dit aussi : Soyez soumis pour l’amour de Dieu à l’ordre qui est établit parmi les hommes. Soyez soumis au Roi, comme à celui qui a la puissance suprême ; et aux gouverneurs comme étant envoyés de lui, parce que c’est la volonté de Dieu. A cela se rapporte comme nous l’avons déjà vu, ce que disent les deux apôtres : Que les serviteurs doivent obéir aux maîtres

l’interrogation suivante : devrait-on toujours obéir aux lois ? Je crois que la question doit se répondre par la négative, car l’histoire nous a démontré que l’obéissance aveugle aux lois en place peut être particulièrement néfaste et que l’attitude inverse peut empêcher des conséquences dramatiques. Nous prendrons également le temps d’analyser un contre-argument à savoir que la violation généralisée des lois mène potentiellement à l’anarchie. On ne peut remplacer le sens critique de l’homme face

DISSERTATION LUNDI 3 JANVIER * Obéir aux lois, est-ce être libre ? Citation : « il faut éclairer l’histoire par les lois et les lois par l’histoire ». (Montesquieu) « les lois trop douces ne sont pas suivies, les lois trop sévères ne sont pas appliquées ». (Benjamin Franklin) Introduction : Montesquieu a dit un jour « il faut éclairer l’histoire par les lois et les lois par l’histoire ». Depuis la nuit des temps nous sommes connectés aux lois. Qu’elles que soient leurs intensités ou leurs

Définissez de façon précise le sens qu’ont dans ce texte les termes « instinct » et « institution ». 3) Lorsque Durkheim parle du rôle des institutions, quel sens faut-il donner à la nuance : « … imposées ou du moins proposées … à l’individu » ? 4) Peut-on concevoir l’existence de l’homme sans les institutions ? [Intitulée « Sur société », cette courte note est parue dans le Bulletin de la Société française de philosophie, n°15 en 1917 (cf. Émile Durkheim, Textes 1. Éléments d’une théorie sociale

contradictoire… ? Est-ce incohérent…?... Ex : Peut-on obéir sans cesser d’être libre ? 2) la possibilité physique ou capacité : Avons-nous le pouvoir de…? En sommes-nous capables … ? Ex : Peut-on tout donner ? 3) la possibilité morale ou le droit : Est-ce permis ? Est-ce légitime ? En avons-nous le droit ? Est-ce justifiable ? Ex : Peut-on désobéir aux lois ? Pour chacun de ces sujets, délimitez à quelle sorte de possibilité vous devez réfléchir, sachant qu’un sujet peut porter sur plusieurs de ces possibilités

Les citoyens rendent la justice (Héliée). Pouvoir judiciaire tous les citoyens doivent obéir aux lois et aux institutions de la cité. Tous les citoyens ont les mêmes droits. les charges politiques ne peuvent pas être exercées 2 fois par le même citoyen et certaines charges demandent des compétences particulières. Les citoyens les plus pauvres sont exemptés d’impôts. Droits Devoirs • Obéir au roi. • Obéir à sa loi. Absence de droits (transmise par la divinité). • Pas de participation du peuple

en conclut qu’une société ne peut fonctionner sans lois en soulignant toutefois que le pouvoir exercé sur les hommes ne doit pas être absolu s’il veut s’exercer durablement. 1) (L’hypothèse) Dans la première partie, Spinoza pose l’hypothèse d’une société où les hommes pourraient se passer des lois (l. 2 : « la société n’aurait besoin d’aucune loi »). La condition à cela serait que les hommes soient seulement guidés par la raison. Il faudrait qu’ils ne veuillent obéir qu’à la raison (l.1-2 « qu’ils

primaire » ainsi que le texte 4 « L'autorité se construit avec les élèves ». Les auteurs interviennent sur différents moyens de faire autorité et tente de répondre au problème qui se soulève. Les élèves doivent obéir or ils doivent aussi devenir des individus autonomes. Comment l'enseignant peut-il mettre en place une autorité nécessaire qui ne relève pas de l'autoritarisme ? Nous étudierons les problèmes rencontrés avec l'autorité puis les différentes solutions envisagées par les auteurs. Le texte

Comme le dit Montesquieu, respecter une loi, c’est agir comme on doit agir. Dès lors, la loi avec sa forme “tu dois” semble s’opposer à la liberté comme possibilité de faire ce que l’on veut sans entrave. Cependant le respect volontaire à une loi ne peut-il pas être preuve de la liberté ? Les lois ne garantissent-elles pas la liberté dans la société ? Cependant la vraie liberté ne réside-t-elle pas plutôt dans l’indépendance des lois ? Nous développerons tour à tour ces quelques questions. Nous

dans un concept occidental, qui va nous intéresser dans cette réflexion, la Justice est vue comme un principe philosophique certes, mais aussi juridique et moral qui repose sur le respect du Droit, vu comme fondement de la communauté. De plus elle peut être considérée de manière plus simple comme l’ensemble des lois qui régissent la vie dans un Etat. Cela signifie donc que les lois d’un pays forment ce qu’on appelle communément la Justice. Quant aux coutumes elles correspondent à l’éducation et aux