Peut On Prendre Ses Désirs Pour Des Réalités

Le sujet : la conscience, l’inconscient, le désir. Le sujet est un mot dont l’étymologie est « sub » qui signifie jeté autour. Le sujet est celui qui peut dire « je », celui qui se pense, celui qui peu un retour sur soi, celui qui peut juger de ses actes. Le sujet est l’homme, la conscience par opposition corrélative au sujet qui est la distinction entre sujet et objet et qui recouvre l’homme et le monde extérieur. Notre subjectivité est orienté vers trois horizon : le monde, les autres et vers

bienveillance). Observe certaines résistances -> identifie le transfert et son importance (=l’actualisation des sent. et émotions éprouvés à l’égard des objets d’amour du passé (=figures parentales), dans la relation thérapeutique) -> considère qu’il faut prendre ce transfert comme un atout et non comme une entrave au T thérapeutique  appuie sa technique sur l’interprétation du transfert (lui donne du sens)  Avant 1895 : étude de l’hystérie = préhistoire de la psychanalyse Psycho clinique – Psychopatho

jugent ? Sartre, dans le Huis clos disait ainsi : « l’enfer c’est les autres », soulignant comment les autres semblent être des obstacles à une vie paisible et heureuse. Faut-il alors penser qu’il faut vivre sans les autres pour être heureux ? Mais peut-on être heureux sans les autres ? Les autres ne sont-ils pas ceux avec qui un échange et un partage sont possibles ? Cet échange et ce partage ne sont-ils pas des conditions du bonheur ? le bonheur est-il possible dans la solitude ? Une fois le problème

défnition l’irréalisable ou l’impossédable. Et pourtant, l’homme est généralement attiré par ce qu’il ne pourra jamais atteindre comme l’immortalité. Problème philosophique : Désirer l’impossible n’est-ce pas prendre le risque d’être dans un perpétuel état d’insatisfaction ? Mais maîtriser ses désirs est ce possible ? Cela permet-il d’apaiser l’âme ? Thèse de l’auteur : Descartes affirme dans son Discours de la méthode, que pour être heureux il faut lutter contre cette attraction pour l’ impossible

chaque être doit endosser pour devenir une personne rentrant dans ces « normes ». Ainsi se pose dans le domaine de la philosophie la question primordiale de la sincérité que nous pouvons définir de deux manières différentes. Premièrement la sincérité peut concerner le domaine psychique en se définissant comme étant la manière réelle de penser ou de ressentir. Puis vient le domaine plus actionnel, c'est-à-dire le fait de s’exprimer sans déguiser ses pensées et ses émotions. Nous pouvons donc noter que

Philosophie: «Autrui peut-il être pour moi autre chose qu'un obstacle ou un moyen?» D'après une formulation d'Emmanuel Lévinas, «Autrui, en tant qu'autrui, n'est pas seulement un alter ego. Il est ce que moi je ne suis pas : il est le faible alors que moi je suis le fort ; il est le pauvre, il est la veuve et l'orphelin .» Nous voyons donc que la notion d'autrui est vu sous deux angles. Il est d'une part un autre moi et en même temps ce que je ne suis pas. D'où la complexité quand à savoir comment

verrons que pour l'homme du commun, le bonheur est le résultat de la satisfaction de ses désirs, qu'il tache de combler tout au long de son existence, et qui a donné lieu à des philosophies telles que l'épicurisme. De cette conception du bonheur, a découlé un concept moins égoïste du bonheur qui est en réalité, le résultat du bien être de l'humanité entière. Malgré cela, nous verrons que le bonheur n'est peut-être pas le but le plus élevé que l'homme doit atteindre, et qu'il doit avant tout s'élever

pour le combler, et de la nécessité qui peut être impersonnelle voire logique. |Sommaire | |[masquer] | |1 Désirs naturels | |1.1 La classification des désirs

La prise de conscience ne se fait pas toujours dans la joie et l'on peut parfois la vivre comme une épreuve douloureuse. En effet, le savoir auquel nous confronte la prise de conscience semble mettre un terme brutal à une somme d'illusions bienfaisantes ainsi qu'à une sorte de liberté consistant à croire ou à se comporter comme il nous plaît. En même temps, on ne peut que s'interroger sur la valeur de l'inconscience et du sentiment de liberté qu'elle procure, car il semble bien que ce soit une valeur

seule façon pour y parvenir est l’éducation. L'éducation va en effet consister essentiellement, d'un point de vue strictement psychanalytique, à donner à l'enfant les moyens de se défendre contre les exigences pulsionnelles issues du ça, et qu'il ne peut pas encore maîtriser lui-même. Freud est formel, l’enfant doit être éduqué, quoi qu'il arrive, et toute éducation digne de ce nom implique un minimum de contrainte imposée aux exigences sans limites de l'inconscient”. Pour mener à bien cette éducation