Phénoménologie

« La vie » Lycée du Parc de Vilgénis, 2009-2010, ECE 2/ECT 2, Laurent Cherlonneix Philosophie Sur Aristote : André Pichot Histoire de la notion de vie, Paris, Tel-Gallimard n°230, chapitre 2 Renaud Barbaras : Introduction à une phénoménologie de la vie, Paris, Vrin, Problèmes et Controverses, 2008 (suppose les lectures préalables de Husserl, Heidegger, Merleau-Ponty, Henry) L’énergie spirituelle, in ibid., première section sur « La conscience et la vie », pp. 813-836 Sur Bergson

ici la question d'autrui telle qu'elle a été envisagée dans la philosophie française contemporaine, plus précisément chez les philosophes français qui se sont directement inspirés de la phénoménologie de Husserl1. Il n'est pas nécessaire d'entrer dans de longues explications à propos de ce nom de "phénoménologie" : Husserl lui-même lui a donné comme maxime : "Droit aux choses elles-mêmes", entendant par là que la philosophie devait avoir pour tâche la pensée de ce qui nous apparaît dans notre expérience

lecteur et lui adresse un message. C’est une classification discutable de l’opinion commune qui rencontre sur de nombreux points l’ancienne rhétorique, il s’agit donc de traits distinctifs mais non exclusifs. Le processus herméneutique La phénoménologie de la lecture est celle d’un apprentissage (la lecture est une pratique, une expérience), donc différente de celle de la perception ordinaire. Le lecteur saisit genres et tonalités affectives ensemble : à la fois le poétique et la poésie. L’herméneutique

 Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception (1945) I. I. Dans l’homme, tout est fabriqué A. Le rire, les pleurs, les cris sont des comportements instinctifs, conventionnelles. B. La paternité est une institution. II.Dans l’homme, tout est naturel A. Le langage est conventionnel (thèse classique). B. Le langage comme tout phénomène humain est naturel. (Merleau Ponty) III.Dans l’homme, tout est à la fois naturel et culturel A. La nature et la culture serait deux éléments distincts

dont une somme d’excitations nerveuses (stimuli) peut, par un système de codage et de décodage, transmettre un contenu d’informations (message) à l’ensemble de l’organisme. Au XXeme siècle, c’est au contraire à partir du vécu originaire que la phénoménologie cherche à ressaisir la perception en l’insérant dans une réflexion sur le corps et sa situation dans le monde. La question de la perception : Le donné. Pour autant, au-delà de ces approches différentes, l’étude philosophique de la percpetion peut

sentence tourne autour de trois thème Le destin, La mort et La vie, cette dernière signifie au sens large l’ensemble des phénoménes assurant l’evolution des organisme de leurs naissance à leur mort ou le temps s’ecoulant entre la vie et la mort, en phénoménologie la vie est définit comme ce qui posséde la faculté et le pouvoir « de se sentir et s’eprouver soi-meme en tout point de son être », la vie est une force subjectivé, une pure expérience subjective de soi qui oscille en permanence entre la souffrance

avril 1724 et mort le 12 février 1804. Ce fut l’un des plus grands philosophes allemand et fondateur de l’idéalisme transcendantal. Il a exercé son influence considérable sur l’idéalisme allemand, le néokantisme, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie post moderne. Dans une de ses œuvres : « Logique » on apprend que chaque conscience devant un objet inconnue ou non est différente. D’abord l’individu voit à quoi l’objet ressemble puis il conclut soit par intuition, soit pas

européennes, parfois à partir de racines propres à la langue elle-même, comme pour l’islandais). p Phénoménologie La phénoménologie est un terme philosophique, auquel on attribue quatre sens différents : Tout d'abord pour Fichte, la phénoménologie est la doctrine de l'apparition, dans le concept, ou la phénoménalisation, du savoir absolu (qui n'est pas le savoir d'un objet, mais savoir du savoir). La phénoménologie est une partie essentielle de la doctrine de la science (voire elle se confond avec celle-ci)

Bref, si on suit cette phénoménologie Lockienne, il est évident que les simple sens sont, bien entendu, une condition nécessaire à la possibilité de la connaissance, mais n'en sont certainement pas la condition suffisante. Il y a d'autres conditions parallèles à celle-ci: les objets connus, le traitement des idées par l'entendement, l'intentionnalité de la conscience dans l'acte (je dis bien "l'acte"!) de percevoir. Bien entendu on n'en est pas encore à la phénoménologie génétique de Husserl, mais

du tout de décrire ces états de conscience, autrement dit ces apparences, autrement dit ces phénomènes. Le mot « phénomène », chez Husserl, désigne en effet les vécus, les états de conscience. La science qui décrit les phénomènes sera donc la phénoménologie. Elle décrira les croyances, les désirs, les représentations, etc., et elle étudiera leurs relations logiques. Le doute ne doit donc pas supprimer purement et simplement toute représentation : Descartes est allé trop loin. Ce qui subsiste, c’est