Philosophie Et Rationalité Devoir 2

CONCEPTS EN ETHIQUE ET PHILOSOPHIE La responsabilité infirmière RESPONSABILITE : celui qui se porte garant, qui répond de ses actes. LEGALITE : conforme à la loi LEGITIMITE : juste et admis par la loi L’homme est doté du libre-arbitre ce qui lui donne des responsabilités. SPINOZA (1632-1677) philosophe néerlandais : tous nos actes sont déterminés par une cause antérieure. KANT : l’homme est pleinement responsable de ses actes et porteur de valeurs morales qu’aucune circonstance

DEVOIR MAISON N°2 FRANCAIS 1 re S Objet d'étude : persuader, convaincre, délibérer, formes et fonctions de l'apologue et mouvement culturel européens : les Lumières. QUESTIONS: Les textes Boa, Capuchon, Zzuene et Réfugiés, tous extraits de l'Encyclopédie, ont un but commun : donner une définition. Autour de ces définitions, leurs auteurs développent le sujet afin d'interpeler le lecteur, argumentent de manière logique pour mieux le convaincre et n'hésitent pas à remettre en question le pouvoir

» ( DDH 1789) : il en résulte pour l’Etat une abstention, savoir ne pas faire obstacle à l’exercice de ces droits, d’où un rapport d’indépendance du citoyen. _ les « droits à » ou « droits-créance » ( ex.DUDH 1948) : il en résulte pour l’Etat un devoir d’intervention ( droit à la santé, à l’éducation, au logement etc), d’où un rapport de dépendance du citoyen. D’où notre rapport ambigu, voire paradoxal à l’Etat : d’un côté on le rejette (droits-liberté) alors que de l’autre on le demande (droits-créance

largement de l’ordre du tacite et même de l’inconscient, n’en a pas moins passé l’épreuve du temps et fait la démonstration de sa valeur, de sa pertinence et de son efficacité. » La tradition a pour objets : (1) Fournir un cadre pour l’action humaine (2) D’être transmise de génération en génération (par observation, imitation et compagnonnage) L’organisation traditionnelle Une totalité L’organisation est plus que la somme de ses membres Prédominance des objectifs de l’organisation sur la volonté de

degré secondaire II Haute Ecole Pédagogique de Lausanne Pourquoi étudier le mythe en classe de Philosophie? Par Maël Goarzin Sous la direction de Christophe Calame Membre du jury : Denis Monod Session de Juin 2012 Table des matières Introduction:.........................................................................................................................................3 I Mythe et philosophie: contexte théorique.........................................................................

élémentaires pour exécuter le travail, des outils et du matériel utilisé. 2. La détermination par chronométrage des temps nécessaires à l'exécution de chaque mouvement. 3. Une analyse critique des mouvements, le but étant de les simplifier pour économiser des mouvements et donc gagner du temps et de la fatigue. 4. La réunion de ses mouvements les plus efficaces en une séquence qui constitue une unité de tache. 2 - La détermination des meilleures méthodes Avec cette analyse, tous les gestes

Alto-Aubier, 1995 SOMMAIRE 1. L’auteur 2. Questions posées par l’auteur 3. Postulats 4. Hypothèses 5. Démarche 6. Résumé : Chapitre 1 : L’actuel paradoxe des sociétés fondées sur le travail Chapitre 2 : Des sociétés sans travail Chapitre 3 : Acte 1 : L’invention du travail Chapitre 4 : Acte 2 : Le travail, essence de l’homme Chapitre 5 : Acte 3 :

Contrôle de connaissance : philosophie 1. Ce que je sais je le crois mais ce que je crois, je ne le sais pas forcément. La croyance est l’adhésion à une théorie que l’on tient pour vrai sans fondement rationnel. C’est donc l’opposé du savoir puisque le savoir se fonde sur des preuves objectives. 2. Une opinion est toujours relative et est souvent prononcée de manière irréfléchie sans passer par la médiation : réflexion, dialogue, critique. Elle repose sur nos impressions et est donc

juridique dans le monde grec 4 §1. Microcosmos 4 §2. Platon et la Loi 7 §3. La politeia d’Aristote 9 Section 2 Juris-prudence : le droit à Rome 11 §1. La philosophie romaine 12 §2. Cicéron et la pensée romaine classique 14 Chapitre 2 Le droit naturel dénaturé ou le retour de l’Homme 17 Section 1 Le droit révélé : du judaïsme au christianisme 17 §1. Le droit hébraïque et la tradition vétérotestamentaire 17 §2. Le christianisme des origines 18 §3. Les Pères de

valeurs qui voit le jour sous l’effet conjugué de la disparition du pathos unitaire qu’était l’éthique chrétienne, conséquence de la désagrégation du christianisme, et de la multiplication des philosophies.  Ce pluralisme signe l’arrêt du modèle normatif monothéiste dont les derniers tenants sont les philosophies de Hegel et de Marx. La lente disparition de ce socle n’est pas sans effet puisqu’on lui substitue le polythéisme et son corollaire : la multitude de valeurs. Mais alors que le polythéisme antique