Philosophie Et Rationalité Devoir 2

deux grands objectifs : explorer les problèmes fondamentaux des théories de la citoyenneté et les problématiques plus empiriques. Lors de cette introduction, on va explorer les théories de la citoyenneté au croisement de différentes disciplines : philosophie, sociologie, science politique… La citoyenneté est un terme qui fait appel à différents angles d’étude. Lors du XIXe siècle, la question de la citoyenneté se pose en tant qu’institution au sein de l’Etat-nation, avec un rétrécissement de sa définition

état, qui fonctionne de manière concurrentielle) avec des auteurs comme James M. Buchanan Fondation, logique de la démocratie, 1962, M. Rothbard : L’éthique de la liberté, 1960, R. Notrick : Anarchie, Etat et utopie, 1974. Libéralisme politique avec 2 postulats. L’état social est le produit de l’homme concédant des droits. Les gouvernants ne possèdent aucun droits que les individus ne possèderaient pas à l’Etat de nature (sauf quelques prérogatives). Postulats marqués l’individualisme (l’individu

Ainsi, il se place donc du point de vue du progrès et de l’innovation, combattant donc l’ignorance, et les traditions de l’Ancien Régime, qui, selon lui, prennent trop de place dans la société. En effet, Guyot se positionne donc aux côté de la rationalité, de la raison, comme le témoigne le titre de son encyclopédie , « raisonné ». A travers son oeuvre, Joseph-Nicolas Guyot poursuis donc l’objectif des lumières, en proposant, en outre des définitions juridique, pour combattre l’obscurantisme,

Plan du cours Introduction : de la permanence des questions philosophiques au cœur de la modernité 1-Analytique de la modernité : cadre conceptuel 2- Quelques courants de la philosophie moderne 2.1- Le tournant galiléen ou la reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question

En quête d’une théorie de la justice sociale Jean-Marie Harribey 2 novembre 2005 Poser la question de la justice renvoie à première vue hors d’une problématique économique orientée vers la recherche d’efficacité. Car il s’agit d’une démarche avant tout politique et philosophique. Pourtant, nombre de penseurs se sont efforcés avec plus ou moins de bonheur de montrer que la recherche de l’efficacité en termes d’affectation des ressources et la répartition de celles-ci étaient étroitement liées,

L'expliquer. La connaissance sociologique implique donc : La description des phénomènes sociaux. La mise en évidence des relations qu'entretiennent les différents éléments de ceux-ci. Une explication permettant de rendre ce concept plus compréhensible. 2. Scientifique 2.1 La sociologie est une science La sociologie est une science car elle suit une démarche particulière. Le sociologue va d'abord dégager de ses observations un certain nombre d'hypothèses puis de celles-ci, il va créer des modèles théoriques

organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence dans la pratique quotidienne de nombreuses organisations, que ce soit dans le domaine de l'organisation du travail, notamment productif (Frederick W. Taylor) et bureaucratique[2] (Max Weber), ou pour ce qui touche à des principes d'administration plus généraux (Henri Fayol). Leurs idées fondatrices ont suscité de vigoureuses réactions, mais, revues et en partie actualisées, elles ont aussi inspiré de nouvelles propositions pour

tendent à affirmer que, seules les sciences politiques peuvent permettre d’aborder les phénomènes politiques. La tradition française considère les sciences politiques (Pluriel révélateur) comme science plurielle : histoire, droit, sociologie, philosophie…  Risque d’éparpillement Différentes méthodes qui se sont mêlé les unes aux autres => fragmentation des connaissances. La sociologie politique est née de cette fragmentation : sociologie de la famille, sociologie du monde rural, sociologie

; 13) Textes présentés lors d'un symposium organisé par le Réseau international de recherche en éducation et formation et tenu à l’Université de Sherbrooke les 9 et 10 oct. 2007. Comprend des réf. bibliogr. ISBN 978-2-7605-2383-8 1. Enseignants - Déontologie - Congrès. 2. Enseignement - Pratique - Congrès. 3. Éducation - Aspect moral - Congrès. 4. Enseignants - Déontologie - Québec (Province) - Congrès. 5. Enseignants - Déontologie - France - Congrès. I. Jutras, France, 1955- . II. Gohier

valeur de l'argent était tout entière dérivée de celle du temps. Un homme libre est celui qui possède suffisamment de bien pour pouvoir disposer de son temps à sa guise. Être libre, c'est être libéré du fardeau que constitue pour l'homme le fait de devoir subvenir à ses besoins. La liberté consiste avant tout à pouvoir disposer librement de son temps. L'« otium » (« skolè », en grec), le temps libre ou la « retraite », est de toutes les choses la plus précieuse, car c'est elle qui nous permet de disposer