Pindare

mythes s'observe chez les poètes et les auteurs en général, et chez les commentateurs. Chez les auteurs eux-mêmes, elle peut devenir une sorte de moteur créatif pour l'élaboration de nouvelles variantes des mythes. Dès l'époque archaïque, le poète Pindare prend explicitement ses distances par rapport aux dires de certains de ses prédécesseurs, et affirme qu'il ne faut prêter aux dieux que de belles actions : par exemple, dans la première Olympique, il refuse d'accorder crédit au récit du banquet cannibale

(fivlo") et de l’« ennemi » (ejcqrov"), en tant que destinataires respectivement de la louange et du blâme dans la poésie archaïque, je renvoie à G. Nagy, op. cit. Voir en particulier la troisième partie, où l’auteur montre comment les poèmes de Pindare et de Bacchylide se proposent de louer le noble, reconnu comme « ami », en vertu de sa générosité. Ils affirment leur fonction en opposition au blâme du noble, propre à la poésie iambique, conséquence d’envie et de pauvreté. La poésie iambique, au

Spartiates à Platées) le combat de l’hoplite et celui du Scythe qui peut se battre en reculant ou en poursuivant. 12 Athènes et l'Atlantide 1. 2. Les utopies parfaites D’autres histoires sont riches par les rêves d’altérité qu’elles suggèrent. Chez Pindare 2 voici l'évocation en silhouette de l'île des Bienheureux : [...] 27 « Le ciel de bronze à jamais hors d’atteinte pour lui, mais de toutes les splendeurs que nous, race mortelle, pouvons toucher il a poussé jusqu’à l’ultime course ; mais ni en nef

que la corruption détruit pour lui en substituer une autre. 2 Même chose dans Théétète 173 e, en parlant du philosophe : « sa pensée, pour qui tout cela n’est que mesquinerie et néant, dont elle ne tient compte, promène partout son vol, comme dit Pindare, « sondant les abîmes de la terre », et mesurant ses étendues, etc. ». 3 Il y a un rapport profond dans la doctrine platonicienne entre la vérité et la mesure (Philèbe, 64 e – 65 a). 1 1 1) [487 b – 490 d] Incapacité à servir l’Etat : [487

surnaturels. Personne n’est dupe d’une telle préface et le discours scientifique sur l’ombre prend une valeur ironique. Par ailleurs, le thème de l’ombre n’a rien de neuf, et les élèves l’ont peut-être déjà rencontré en Sixième avec des textes de Pindare. Quant à la résonance biblique de Peter, Pierre , celle-ci va de pair avec le rappel au Talmud, dans lequel Schlemieh (ou Schlehumihl ), amant de la femme d’un rabbin, pris sur le fait, devient la représen- tation typique du Juif errant (voir

aventure peuvent être lourds de sens. En voici quelques exemples. De manière générale sont réorientés ou omis tous les passages où Héraclès se montre traditionnellement impulsif et violent. Ainsi, l'épisode de l'étouffement des serpents, dramatisé chez Pindare et Apollodore par exemple, est chez Diodore très brièvement traité 79. Ce premier exploit est certes un passage obligé de la légende, mais, dans la mesure où il ne met en jeu que la force inconsciente et non la valeur morale du jeune enfant, il ne

plusieurs mots sont déplacées pour former un ou plusieurs autres ayant une signification différente. Exemple : « orange/onagre/organe ». Les anagrames ont été souvent utilisés pour jouer, en les dissimulant, sur des noms propres connus, comme Rose de Pindare/Pierre de Ronsard ou Avida Dollars/Salvador Dalli. Ensuite vient un ces particulier d’anagrame, le palindrome, dans lequel les lettres ne sont plus permutées au hasard, mais forment l’image exactement inverse du mot (ou de la phrase), ce qui fait

ou dit avec accompagnement de musique (généralement composé en 7 strophes de 5 vers en décasyllabes. Par extension, une ode est un poème célébrant un personnage ou un événement.Poètes antiques célèbres pour ce type de poème : - en Grèce, Sappho, Pindare- à Rome, Horace (imitant les lyriques grecs) au XVIème siècle (Renaissance) Ronsard, appliquant le programme fixé par la Pléiade dans la Défense et illustration de la langue française , introduit ce terme dans

qui l’a enfanté est adorée sous la forme d’une stèle conique. A Delphes, on adore Apollon sous la forme d’une stèle, au Japon, le temple Himegoso demeure de la princesse Akasu est condtitué de 3 grosses pierres entourées d’arbres. Suivant Ovide et Pindare, Deucalion et Pyrrha jettent des cailloux derrière eux : ainsi naissent des hommes. La roche venue du ciel est brute, en remontant de la terre au ciel elle est transformée et taillée. Jean-Pierre Bayard dit de la pierre :Pour que l’âme gagne la béatitude

mythes s'observe chez les poètes et les auteurs en général, et chez les commentateurs. Chez les auteurs eux-mêmes, elle peut devenir une sorte de moteur créatif pour l'élaboration de nouvelles variantes des mythes. Dès l'époque archaïque, le poète Pindare prend explicitement ses distances par rapport aux dires de certains de ses prédécesseurs, et affirme qu'il ne faut prêter aux dieux que de belles actions : par exemple, dans la première Olympique, il refuse d'accorder crédit au récit du banquet