Plaisir Liberté

pas toujours disponible ; il faut une action particulière (crier) pour le ramener à soi ; plus tard, les sensations de douleur et de déplaisir sont rejetées dans le monde extérieur pour former un moi-plaisir pur auquel s’oppose un dehors étranger et menaçant. Mais cette partition est fausse (des plaisirs viennent du monde extérieur et le corps est parfois source de souffrance). On apprend peu à peu à distinguer ce qui est intérieur de ce qui est extérieur et qui ne dépend pas de nous, faisant ainsi

mélange de vertus et de vices, un contraste perpétuel de bons sentiments et d'actions mauvaises. Tel est le fond du tableau que je présente. Les personnes de bon sens ne regarderont point un ouvrage de cette nature comme un travail inutile. Outre le plaisir d'une lecture agréable, on y trouvera peu d'événements qui ne puissent servir à l'instruction des moeurs ; et c'est rendre, à mon avis, un service considérable au public, que de l'instruire en l'amusant. On ne peut réfléchir sur les préceptes de

nous distrayant.> Ainsi, en quoi le théâtre constitue-t-il pour le spectateur une source de plaisir ou de divertissement ? Il faut alors essayer de démontrer que le théâtre peut constituer une véritable source de plaisir ou de divertissement, d'émotion ou de réflexion pour le spectateur. Le plan: I /Pourquoi aller au théâtre ? a) Les différents genres : comédie, tragédie… b) Les raisons : Le plaisir, se distraire, ressentir des émotions c) A chaque type de spectateur, ses préférences, raisons

repos. 3/ L'homme qui incarne une forme de vie conquérante ressent l'action comme son état normal, et non comme un effort réalisé en vue de parvenir à un état final, le bonheur, qui ferait cesser cet effort. Il éprouve dans la tension de l'effort le plaisir de sentir toutes ses forces vitales en action. « Il faut donc à l'homme heureux des amis », Aristote procède à la réfutation de la thèse opposée. Entre le bonheur et l'amitié, celle-ci introduit un autre concept qui lui donne toute sa force, celui

cet état qui nous remplit d’impatience, de souffrance de devoir patienter et à la fois du bonheur. « On jouit moins de ce qu’on obtient que de qu’on espère» Rousseau nous montre bien que la notion de jouissance, s’apparente bien avec celle du plaisir. Cependant cette jouissance ne vient pas de la possession, de l’obtention « on obtient » mais elle provient de l’espérance « on espère ». « On est heureux qu’avant d’être heureux » C'est-à-dire qu’on est plus heureux en attendant le cadeau et non

comme un manque. On peut en distinguer deux sortes : les désirs à proprement parlé et les besoins. Ce dernier étant une privation liée au bon fonctionnement de l’organisme, et trouve son assouvissement dans un objet spécifique qui lui préexiste. Le plaisir, lui, n’est pas assimilé à un objet mais plutôt à l’imagination ; il est lié au fantasme. Cependant, ces deux sorte de désirs peuvent être entremêlés ; comme par exemple lorsqu’on mange. Ici, le désir de manger se ressent à la fois comme une joie

bon augure, de bon présage". Le bonheur par définition un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable de l'esprit et du corps, où la souffrance , le stress, l'inquiétude et le troube sont absents. Pour Epicure le bonheur est le "plaisir en repos" de l'âme qui naît spontanément de la satisfaction des desirs naturels et nécéssaires, dont les deux plus importants sont, outre la sécurité et la santé, la sagesse et l'amitié. Spinoza aussi semble être optimiste par rapport au bonheur;

Pas de responsabilité sans liberté préalable mais pas de liberté existentielle sans capacité de répondre de soi. Ainsi, cette formule, rapportée au problème de l’inconscience, implique que l’inconscience est la liberté que l’on se donne de renoncer pour un temps à sa propre liberté. Une forme d’asservissement volontaire pour moins souffrir. Le problème est donc de savoir en quoi il est parfois préférable de s’installer dans le refus de la lucidité, de la liberté et de la conscience. Dans quelle

répondre aux questions dans les espaces prévus à cet effet. Réseau de sens Repérage des illustrations Interprétation Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Champs lexicaux 1. a) Ivresse : « ivre de soleil » (v. 12), « liberté » (v. 13), « tiède demi-sommeil » (v. 17) Tristesse :  « tristement » (v. 18), « amer » (v. 24), « mélancolique » (v. 11), « inquiète » (v. 25), « effroi » (v. 27), « meurtrie » (v. 21) 1. c) Dualité émotive : Sentiment dominant du mal de vivre entrecoupé

mettre fin à cette souffrance et, pour peu que nous désirions réellement un objet source de satisfaction, une source de plaisir. Or, si l'on en croit Kant, l'une des destinations à laquelle la nature a voué l'homme est le bonheur. On a donc l'impression que satisfaire ses désirs c'est répondre à cette destination, à condition bien sûr que le bonheur se limite à une somme de plaisirs. 2) Désir et condition humaine Il faut souligner que seul l'homme désire. Dieu, parce qu'il est parfait, ne manque