Plan Commentaires Femmes Savantes

dans ses rapports avec le droit : * Il contrôle le droit en essayant de contrôler la coutume. * Il fait le droit en mettant en œuvre son pouvoir normatif * Le roi freine aussi le droit dans son essor en essayant de freiner les droits savants susceptibles de nuire. ------------------------------------------------- SECTION 1 : Le contrôle progressif de la coutume. * Le roi va agir avec une grande efficacité sur la coutume : * Dans un 1er tps il se contente de la faire appliquer

PLAN DE LA SÉQUENCE Problématique : La Princesse de Clèves, un roman qui met en scène le conflit entre un monde du paraître, celui de la cour et un monde de l’être, celui du coeur et de la passion. Edition de référence : Biblio lycée (Hachette) n° 49 A)LECTURES ANALYTIQUES | 5 extraits, étudiés en classe, feront partie de la liste d’oral : | |1. Le portrait de Melle de Chartres, tome I lignes 224 à 261 p 21 et 22.

écrit des coutumes et ces ouvrages prennent le nom de « coutumiers ». Le plus ancien qu’on connaisse est rédigé vers la fin du 12ème siècle en Normandie = « Très ancien coutumier de Normandie ». Dans la seconde moitié du 13ème siècle, un autre commentaire de la même coutume est rédigé en latin puis français (vers 1270)= « Grand coutumier de Normandie » rédigé en français et toujours appliqué dans les îles anglo-normandes où il est encore enseigné. En Bourgogne, vers fin du 13ème siècle : « Usage

Choisir l’histoire des femmes Livre de ELIANE GUBIN A la fin des années 80,Eliane Gubin va incarner en Belgique un nouveau courant historiographique, qui tend à démontrer que l’histoire des femmes ne peut plus etre un objet historiographique non identifié. Découvertes de nouvelles sources, nouveaux regards portés sur des sources depuis longtemps utilisées, nouveaux questionnements, nouveaux apports méthodologiques, Eliane Gubin construit un nouvel objet, une histoire des femmes qui n’est plus une histoire

tchouco-maco-bromo-crovène » qui est fait par un délégué qui est venu pour en demander la résolution. Les deux derniers actes montrent Bardamu dans la banlieue parisienne. On y voit des ouvriers ivrognes, des policiers et une petite fille boiteuse qui l’aime. Commentaire La pièce, divisée en cinq actes comme dans la tradition du drame, ne respecte pas les contraintes du genre. Les didascalies présentent un souci des détails et une description minutieuse de l’endroit qui donnent à l’œuvre un certain air naturaliste

au M.A on pense que la musique va façonner l’âme du patient. Organologie : étude des instruments, comment un instrument est construit et pourquoi Paléographie : étude de l’écriture musicale Pédagogie : musique intégrée à l’éducation Commentaire d’écoute Une pratique exceptionnellement riche car elle est très vaste, nous apporte beaucoup et complexe vu que nous devrons différencier les paramètres. L’accomplissement d’une synthèse de l’ensemble de connaissances élémentaires (connaissances

d’introduire par des questions quotidiennes la question posée. •Problématique : montrer en quoi cette question pose problème, car a) plusieurs réponses sont possibles b) elle repose sur des présupposés qui sont discutables •Annonce du plan : des parties construites ou du plan du texte. Dans les deux cas, il s’agit d’énoncer la structure logique de la démonstration pour guider le lecteur : comment montrer ce qu’on pense. Développement : (6 pages) 3 parties Il est composé de trois parties (ou deux). Elles

journaliste et auteur de théâtre qui lui fit découvrir la vie littéraire parisienne. Il s'installa dans une chambrette du Carré des Italiens (actuellement Place Boieldieu). Le chasseur de gibier changea de proie et, depuis son arrivée à Paris, fit des femmes ses victimes préférées, proies faciles face à son charme, à sa prestance et à sa générosité. Cependant, il devint d’abord l'amant de sa voisine de palier, la lingère Marie-Catherine Lebay, dont il eut, en 1824, un fils, Alexandre, qu’il n’allait reconnaître

communiqué à Flaubert le « frisson historique » constitutif de son « moi » rêvé ; il dit plus tard être « sûr d’avoir été, sous l’empire romain, directeur de quelque troupe de comédiens ambulants, un de ces drôles qui allaient en Sicile acheter des femmes pour en faire des comédiennes, et qui étaient, tout ensemble, professeur, maquereau et artiste. Ce sont de belles balles, dans les comédies de Plaute, que ces gredins-là, et en les lisant il me revient comme des souvenirs. » (Ibid., II, p. 152-153)

tchouco-maco-bromo-crovène » qui est fait par un délégué qui est venu pour en demander la résolution. Les deux derniers actes montrent Bardamu dans la banlieue parisienne. On y voit des ouvriers ivrognes, des policiers et une petite fille boiteuse qui l’aime. Commentaire La pièce, divisée en cinq actes comme dans la tradition du drame, ne respecte pas les contraintes du genre. Les didascalies présentent un souci des détails et une description minutieuse de l’endroit qui donnent à l’œuvre un certain air naturaliste