Plasmide

l’ADN en fragdes quelque 3 milliards de nucléotides ments plus courts, puis isoler les gènes qui les composent. en les clonant, on intègre ensuite le Le transfert de gènes étrangers n’est gène d’intérêt dans un plasmide et on rendu possible que par l’universalité du introduit ce plasmide dans des bactécode génétique : un système de corresries qui produisent des protéines à des fins thérapeutiques. pondance entre codage de l’ADN sous forme de triplets de nucléotides et acides Pour découper l’ADN,

d’intérêt. Il existe plusieurs techniques pour insérer le gène dans l’ADN de la cellule. La première requiert l’utilisation de la bactérie Agrobacterium tumefaciens, qui est capable de s’insérer dans le génome des plantes. Le gène est intégré dans le plasmide de la bactérie, qui le véhicule jusqu’à l’ADN de la cellule à modifier. Cette méthode ne fonctionne  que chez certaines espèces . La seconde méthode de transgénèse est  le canon à gène. Il s’agit de la méthode la plus utilisée en industrie biotechnologique

résistance aux sulfamidés par un transfert horizontal entre les deux espèces. C-Mécanismes de transfert d’éléments génétiques : Les bactéries peuvent transférer des éléments mobiles de leur génome : plasmides et transposons. Les bactéries ont rassemblé plusieurs gènes de résistance sur leur plasmide et l’échangent. La transformation : la bactérie acquiert et incorpore de l’ADN exogène nu présent dans son environnement. Cela peut être de l’ADN d’une bactérie qui, une fois capté, permet l’expression

sont une révolution dans les secteurs médical et agricole. Historique Les premiers pas Les premiers OGM sont des bactéries transgéniques. La première tentative de transgénèse par l’américain Paul Berg et ses collaborateurs en 1972. En 1977, le plasmide de la bactérie Agrobacterium tumefaciens est identifié. En 1978, un gène humain codant l’insuline est introduit dans la bactérie Escherichia coli. En 1982, le premier animal (souris) génétiquement modifié est obtenu. En 1983, le premier végétal

entour les bactérie, elle permet a la bactérie de se defendre.  Plus facile de casser une paroi de cellule eucaryote que de bactérie. Les plasmide sont un exemple de résistance aux agressions, et résistance aux antibiotique = plasmide = 90% de la résistance aux antibiotiques. Dans les PVD du fait de la mauvaise gestion des antibiotique, les plasmides sont ultra résistants. Dans le cas de la tuberculose la résistance est du aux chromosomes : ce sont les souches XDR ( Souches ultra résistante)

vecteur ADN cloné en kb Plasmide Phage lambda Cosmide Phage P1 BAC(bacterial artificial chromosome) YAC (yeast artificial chromosome) 20 25 45 100 300 1000 Les plasmides comme vecteurs de clonage (1) Molécule d’ADN de taille réduite, d'origine bactérienne Molécule d’ADN circulaire Peut être considérée comme un minichromosome capable de réplication autonome Confère la résistance à un ou plusieurs antibiotiques Molecular Cell Biology Les plasmides comme vecteur de clonage

multiplier la construction. Cette opération est réalisée en introduisant celle-ci dans un plasmide doté d'une séquence qui lui permettra de se répliquer de façon autonome dans une bactérie-hôte. La modification génétique d'un organisme se fait par deux approches : 1. Le transfert direct La transformation directe consiste en l'introduction dans le génome d'un gène véhiculé le plus souvent par un plasmide classique (exemple : pUC), par le biais de techniques physico-chimiques. La première méthode

mammaires…) ou à un stade de son développement. • Occasionnellement, l'insertion du transgène dans un vecteur. Ce vecteur peut comporter des séquences de régulation, réplication ou encore des marqueurs de sélection. Les vecteurs les plus connus sont les plasmides, petites boucles d'ADN d'origine bactérienne. Les séquences de régulation comportent obligatoirement un promoteur adapté à l'organisme receveur. Les marqueurs de sélection sont le plus souvent des gènes de résistances à des antibiotiques ou des herbicides

protéine. [pic] On réalise une « construction génique » qui contient le gène d'intérêt et des séquences d'ADN indispensables à son fonctionnement dans le génome d'une cellule végétale. Cette construction génique est ensuite insérée dans un plasmide bactérien (mini-boucle d'ADN) pour être multipliée. [pic] On introduit la construction génique dans le génome de la cellule végétale par transfert mécanique c’est à dire que la construction génique est projetée dans la cellule végétale

éléments génétiques, les plasmides, dans des noyaux de cellules végétales blessées. De temps en temps une partie de ces plasmides s’intègrent dans le patrimoine génétique d’une cellule : cela provoque une division incontrôlée de la cellule, et des tumeurs se forment. Les scientifiques ont tiré parti de ces propriétés naturelles des bactéries agrobactérium et les ont utilisés pour transférer un gène d’intérêt dans les plantes. La technique consiste à prélever un plasmide bactérien envahisseur, a y