Plasmide

BIO4112 – Biotechnologies végétales 32/185 Le pathogène : Agrobacterium tumefasciens Automne 2014 Yves Markowicz - BIO4112 – Biotechnologies végétales 33/185 Des gènes qui sautent du plasmide Ti dans un chromosome Automne 2014 Yves Markowicz - BIO4112 – Biotechnologies végétales 34/185 Le plasmide Ti occ : catabolisme des opines Automne 2014 Yves Markowicz - BIO4112 - Biotechnologies végétales 35/185 Les gènes vir • virA senseur (récepteur acétosyringone) • virG régulateur (phosphorylation

deux fourches de réplication qui migrent dans les deux sens de sorte que les deux brin soit copié aux niveau des deux fourches de réplication. C’est ce mode ci qui est utilisé par la majorité. Pour les chromosomes circulaires, ie bactéries, les plasmides et certain virus, une origine de réplication suffit et les deux fourche qui en parte se confondent au coté opposé. En ce qui concerne les longs chromosomes eucaryotes, en générale ils comportent un grand nombre d’origines de réplication. Les deux

techniques : On peut procéder de façons très différentes. Ainsi : - une cellule mise seule en culture et qui, en se divisant plusieurs fois, donne naissance à plusieurs cellules, forme un clone cellulaire. - une molécule d'ADN insérée dans un plasmide que l'on multiplie ensuite dans une bactérie donnera un clone moléculaire. - la dissociation des cellules d'un embryon au tout au début de son développement après seulement 2 ou 3 divisions de l'œuf fécondé, alors qu'il n'est formé que de quatre

cette gène travaille. on utilise une souris ordinaire afin de tester l'analyse, on produit une souris Knock-out grace à des étapes précises et ménucieuses. Tout d'abord il faut disposer de la séquence du gène que l'on veut supprimer. comme ca, un plasmide approprié sera créer, et se dernier se reconbinera grace a de l'information homologue et s'insérera de manière spécifique dans le génome de l'organisme cible, c'est-à-dire à l'endroit précis du gène à supprimer. Cette procédure est toujours effectuée

construction va être multipliée pour qu’il y en ait en quantité suffisante. Pour ce faire, la construction sera introduite dans une bactérie qui va se reproduire. Cette étape est appelée le clonage de gêne. Le tout sera ensuite transféré dans un plasmide (fragment d’ADN qu’on peut retrouver dans le cytoplasme des bactéries ou des levures), qui sera à son tour introduit dans le génome de la cellule par un des deux moyens que je vais expliquer ci-dessous. D’abord, il y a la transformation biologique

être utilisée pour un clonage partiel, ne portant que sur un fragment de matériel génétique, mais aussi pour le clonage pondant. L’insertion est souvent réalisée à l’aide d’un vecteur, le plus communément utilisé étant une molécule d’ADN appelé (plasmide). Et scientifiquement, c’est l’obtention d’un être vivant génétiquement identique au parent qui lui donne naissance. Il s’oppose donc à la reproduction qui nécessite deux parents. Toutefois, il ne fait pas confondre le clonage avec certaines

ADN, l’ADN-T, depuis la bactérie jusque dans le génome des cellules de la plante par l'intermédiaire d'un plasmide appelé plasmide Ti. Transfert un fragment d’ADN d’Agrobactérium tumefaciens dans le génome d'une plante supérieure par l'intermédiaire du plasmide Ti (les échelles ne sont pas respectées). Document 2 : Caractéristiques du plasmide Ti Le plasmide Ti est un petit plasmide de 215 milliers de paires de bases. Le schéma ci-dessous récapitule les régions responsables de ces différentes

depuis la bactérie jusque dans le génome des cellules de la plante par l'intermédiaire d'un plasmide appelé plasmide Ti : [pic] (les échelles ne sont pas respectées). D'après Weidner M. Furelaud G.. La transgenèse grâce à Agrobacterium tumefaciens. www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/transgenese/agrobacterium/agro.htm   Document 2 : caractéristiques du plasmide Ti Le plasmide Ti est un petit plasmide de 215 milliers de paires de bases. Le schéma ci-contre récapitule les régions responsables

Le cycle lytique se déroule quand un virus envahit une cellule, se reproduit, puis se disperse par suite de la lyse de la cellule hôte. Une cellule envahie par un virus lytique est presque invariablement tuée en un court laps de temps. Le cycle lysogène se déroule quand un virus virulent ou lytique combine son matériel génétique avec celui de la cellule hôte et devient de ce fait dormant. L'ADN du virus se réplique en même temps que celui de la cellule hôte laquelle porte le nom de cellule lysogène

changement dans la sélection des plantes pour améliorer les plantes cultivées, mais l'introduction d'une technologie particulièrement puissante et précise pour faciliter sa mise en œuvre." 1973 : Identification du plasmide Ti dans la bactérie Agrobacterium tumefaciens. Ce plasmide permet d’accueillir le gène porteur du caractère recherché. 1980 : Le Premier brevet déposé sur un OGM est déposé aux Etats-Unis pour une bactérie capable de digérer les hydrocarbures. 1983: Premiers essais en laboratoire