Plasmide

moléculaire : plantes model, arabidopsis taliana Plante qui se transforme bien par agrobacterium tumefaciens Bon outil de recherche dans le monde végétal 1 Biotechnologies animales et végétale SLO6-BC01 Carte de l’ADN-T du plasmide pKY70GIN ADN-T  Porte par le plasmide pKY70GIN LB  Bordure gauche Le promoteur 70S (double 35S : augmente l’expression), c’est un promoteur de virus (CAMV)  Fort  Constitutif  Ubiquitaire Le gène GUS : gène rapporteur     Permet de visualisé son expression

30000 gènes. Certaines espèces animales et végétales ont plus de gènes que l'homme. Plasmide : un plasmide est une molécule d’ADN chromosomique circulaire présente dans les bactéries capable de réplication autonome et non essentiel à la cellule, 2/ techniques dans le végétal Parlons d'abord des transformations directes consistant en l'introduction dans l’ADN d'un gène véhiculé le plus souvent pas un plasmide. Voici quelques techniques, L'eletroporation= Elle consiste à soumettre un mélange

Ils existe deux catégorie de techniques permettant la formation d'OGM : le transfert direct et le transfert indirect. Le transfert direct est une introduction directe de l'ADN d'un gène (dit gene d'interet) dans le noyau, souvent transporté pas un plasmide, mais sans autre intermediaire. Le transfert indirect, lui, est réalisé par l’intermédiaire de bactéries, comme par exemple Agrobacterium tumefaciens, qui permettent de véhiculer le gène d’intérêt. Il existe différentes techniques permettant

miniprep est une technique permettant d'extraire une petite quantité (100 ng à 5 μg) d'ADN sous forme de plasmide provenant de bactéries ayant subi une transformation, le plus souvent effectué sur Escherichia coli. Une application de cette technique pourrait être de transmettre un plasmide à quelques bactéries d'E. coli et de sélectionner dans un deuxième temps uniquement celles qui ont reçu ce plasmide en utilisant un marqueur génétique comme un gène conférant une résistance à un antibiotique. Les étapes

d'ADN. 3. Quelques applications du génie génétique * la production de l'insuline humaine par des bactéries modifiées par génie génétique (Bordas p 180): repérage du gène, excision, multiplication, insertion dans un vecteur (plasmide de levure), puis insertion des plasmides transgéniques dans des bactéries dont certaines deviennent transgéniques et produisent l'insuline. La souche bactérienne modifiée (transgénique) fait l'objet d'un brevet. * les OGM sont des organismes génétiquement modifiés (Bordas

température. Les plasmides  ADN double brin circulaire, extra-chromosomique, autonome pour sa réplication (possède une origine de réplication) et : Des promoteurs Sp6 et T7 Un gène de résistance aux antibiotiques qui permet la sélection des plasmides après transfert du gène : Marqueur Génétique de Résistance (c’est la séquence qui permettra de sélectionner les bactéries qui ont ingérées le plasmide) Un gène d’identification des recombinants : c’est la séquence LacZ-α dans les plasmides pGEM, qui code

incubation de la boîte, que peut-on conclure ? Deux colonies d’aspect différentes seront utilisées pour effectuer une coloration de Gram. Travaux Pratiques de Microbiologie Générale MGG, LSV2 Fig.1 Méthode des stries 4 Fig. 2 Carte du plasmide pBS D) Préparation du TP2 a) Réplique sur tampon de velours. - Inoculer les 5 souches bactériennes (fournies par les enseignants) sur une boîte de milieu LB préalablement orientée et divisée en cinq secteurs. Cette boîte servira de "boîte mère"

surnageant dans l’évier. 12. Reprendre très délicatement les cellules avec 0,5 mL de CaCl2 50 mM froid en utilisant une pipette stérile. 13. Laisser reposer les cellules dans la glace pendant 30 minutes avant de les employer. INSERTION DU PLASMIDE RECOMBINANT DANS UNE BACTERIE COMPETENTE Protocole n° 2 A cette étape, il faudra manipuler dans des conditions stériles. 1. Dans 2 microtubes stériles et froids, mélanger 20 µL du contenu des tubes A et B (A dans un tube, B dans l’autre)

introduit l’ADN à l’aide d’une bactérie agrobacterium tumefaciens. Elle infecte les plantes et forme une tumeur. La bactérie possède un plasmide où l’on a une zone qui peut s’intégrer dans l’ADN dans la plante par transfert, l’ADN T. On va éliminer l’ADN T avec des enzymes de restriction, on parle de plasmide désarmé et, on va introduire le gène d’intérêt. On remet le plasmide d’intérêt dans la bactérie et par transfert le gène va se retrouver dans la plante. La construction génique On va ajouter

assez simple à mettre en place. Elle consiste a envoyé des chocs électriques dans un mélange composé de protoplaste et d’ADN. Ces chocs vont faciliter le passage de l’ADN dans le noyau des protoplastes. C’est derniers baignent dans une solution de plasmides. Une fois que l’ADN a pénétré dans la cellule celle-ci se trouve modifié génétiquement. C’est grâce au caractère réversible des pores que cette action st possible mais n envoyant un choc trop important la cellule ne reprend pas sa forme initial.