Plasmide

On produit une grande quantité de plasmides dans la bactérie, on digère le plasmide avec une enzyme, on fait la recombinaison avec le plasmide d’entrée. Puis on transfecte dans les cellules d’insecte (avec sélectionner sur G418) Pour contre sélectionner, on rajoute une ganciclovir : dans le plasmide, on a un gène Tk (thimidine kinase) qui provient du virus de l’herpès, capable de transformer le ganciclovir en une

5. Finalement, le plasmide d’expression de protéase D permeOant la synthèse des ARNm a été modifié : les nucléo)des codant la séquence KDEL ont été ajoutés en 3’ de la séquence codante de Protéase D de façon à produire une protéine ayant la sé- quence KDEL en Cter. Toutes

des bactéries, résistances de modes divers que nous allons maintenant développer. Figure [ 19 ] : Modes de résistances La résistance s’acquiert de diverses façons. Les bactéries peuvent « absorber » des gènes de résistance entière (a) ou des « plasmides », mini-chromosomes circulaires (b). Des mutations (c) peuvent également être favorables aux bactéries, mutation des gènes ayant plusieurs conséquences : enzymes synthétisées inactivant les antibiotiques (d), ou pores (e et f) régulant l’entrée et

été rendue possible grâce à deux découvertes : * La mise en évidence de transferts de gènes spontanés entre bactéries. * Le constat que certaines bactéries (Agrobacterium) étaient capables de transmettre des fragments d’ADN indépendants (plasmides) à des plantes.  Ces bactéries ont été utilisées comme vecteur pour réaliser les premiers transferts de gènes à des végétaux. Le génie génétique permet d’introduire dans une cellule un gène qu’elle ne possède pas. Le fonctionnement de ce gène se

l’intermédiaire de plasmides (molécule d’ADN distincte capable de réplication autonome) ou de transposons (séquence d’ADN capable de se déplacer et de se multiplier de façon autonome). Premièrement, il faut cibler les séquences d’ADN de l’individu 1 (possédant les caractéristiques recherchées). Il faut ensuite extraire ces séquences d’ADN et les introduire dans des plasmides. Les plasmides obtenus sont dits plasmides recombinants. La dernière étape consiste à introduire ces plasmides recombinants dans

enzyme, la coupure se fera en une position différente sur l’ADN. On voit tout de suite les possibilités considérables de ce type d’outils enzymatiques. L’ADN est découpé en fragments variables et ceci aussi bien l’ADN circulaire des bactéries ou des plasmides que l’ADN linéaire. Les classes d’enzymes de restriction. La plupart des enzymes de restriction utilisées au laboratoire présentent un site de reconnaissance (souvent palindromique) et un site de coupure identique ou proche du site de reconnaissance

cytoplasme cellulaire. Cette grande molécule d'ADN, le chromosome bactérien, contient la plupart des gènes bactériens. Outre cette grande molécule d'ADN, les bactéries renferment souvent de petites molécules d'ADN circulaires appelées plasmides. Ces plasmides contiennent également des gènes, mais contrairement au grand chromosome circulaire, ils sont extrêmement mobiles. Ils peuvent passer facilement 14 Source d'images: Une partie des images utilisée pour ce dossier à été reprise des sites

Procaryotes :  Bactéries : ADN double brin circulaire (Nucléoïde, plasmides) Eucaryotes :  Noyau : ADN double brin linéaire sous forme de chromosomes Mitochondrie : ADN double brin circulaire Chloroplaste : ADN double brin circulaire Virus, bactériophages :  M13 : ADN simple brin circulaire  SV40 : ADN double brin circulaire Parvovirus : ADN simple brin linéaire Adénovirus: ADN double brin linéaire BMG 1 : Eric DUPLUS Les plasmides Ce sont des molécules d’ADN extrachromosomiques capables de se répliquer de façon autonome

..................................... 41 Chapitre 2 – MATERIEL ET METHODES..........................................................43 1. Techniques de microbiologie et de génétique microbienne........................ ...... 43 A. Souches et plasmides.......................................................................................... 43 B. Milieux et conditions de culture................................................................... ...... 43 1. Cultures de Mycobacterium sp. 6PY1..

l’exemple d’un plasmide bactérien portant le gène Lac Z (qui remplace le gène invalidé). On introduit ensuite le plasmide dans les cellules ES par électroporation. Il s’agit de mélanger une suspension de cellules ES avec de nombreuses copies de l’ADN donneur, et de faire agir un courant électrique. Cela ouvre temporairement les pores des membranes, ce qui facilite le mouvement de l’ADN à travers les membranes et lui permet ainsi de rentrer dans le noyau. Détail d’un schéma : A. Plasmide portant le