Platon Criton

d’adhérer à ce à quoi nous croyons. On peut appeler cette conception de la nature de la croyance une épistémologie dogmatique. Ses deux plus grands représentants sont : Platon (partie II) (République, Livre VII) et Descartes (Règles pour la direction de l’esprit, et Méditations métaphysiques, Méditation première). Si chez Platon, en effet, savoir et croyance s’opposent strictement (notre croyance ne peut être savoir et notre savoir ne peut être une croyance), chez Descartes, il en va de même : ainsi

est le lien entre le mythe de la caverne et le spot Odyssey ? D’un côté l’être, de l’autre l’apparent ; d’un côté la réalité, de l’autre l’illusion ; d’un côté la vérité, de l’autre le mensonge. Que choisir ? Le mythe de la caverne de Platon met en scène des hommes assis dans une caverne, prisonniers de chaînes faites de croyances et d’opinions, ces dernières n’étant, en fait, que des apparences d’idées. Ces prisonniers –nous, en l’occurrence- ne saisissent la réalité que sous forme d’ombres

non suffisante ( comme sur les théorie et les expériences ). Ne faut-il pas, à sa suite, reconnaître "à chacun sa vérité". Contre le relativisme, s'affirme l'exigence d'une vérité universelle. C'est cette requête qui opposait Platon déjà aux Sophistes de son temps. Platon, déjà, dans le Cratyle, disait que, quand nous disons la vérité, nous exprimons les choses qui sont de la manière où elles le sont. Le critère objectif de vérité c'est ce qui se rapporte à l'objet de la connaissance. Un jugement

se limitant à la satisfaction de nos réels besoins ; et de cesser cette course interminable à la satisfaction de nos moindres désirs qui nous emmène de déceptions en déceptions, et qui nous maintient dans une constante anxiété. Le philosophe grec Platon a mis la raison en avant plutôt que le désir en disant : « Mieux vaut l’ordre que les désirs sans fin. ». Mais, est-ce que nous n’aurions réellement plus ce manque perpétuel qui nous suit jour après jour ? Et, est-ce seulement réalisable, au sein

L’amitié pour la sagesse. Nous y voici. La philosophie. Temps à présent de revenir vers le travail d’une année entière. Prendre dix minutes à la fin du cours précédent sur la justice pour demander aux élèves de répondre aux questions suivantes : Comment définiriez-vous la philosophie ? Qu’avez-vous appris ? Le cours de philosophie vous a-t-il ouvert les yeux ? Sur quel sujet particulier ? À votre avis, pourquoi ne vous fait-on étudier la philosophie qu’en terminale ? I. Qu’est-ce que la philosophie

THEME DE L’ILLUSION DANS L’ILLUSION COMIQUE L’illusion (du latin illudere : se jouer de) est une interprétation erronée d’une donnée sensorielle : un mirage, une vision, un trompe-l’œil. Dans cette œuvre, l’illusion se traduit par le fait que l’erreur est toujours possible, Corneille cherche ainsi à surprendre le spectateur. Les personnes se trompent et sont trompés, sur eux et sur les autres. La pièce est basée sur des apparences trompeuses: les repères de temps et d’espace ne sont pas définis

les autobiographies telles que Le Journal D’Anne Franck ou encore Si C’est Un Homme de Primo Lévi. Aussi en philosophie et tous ces traités, essais, livres qui ont fait progresser l’humanité et ses connaissances, il y a Socrate, Aristote, Euclide, Platon, Descartes, tous ces hommes qui ont permis grâce à leur savoir et leur envie de la partager avec le Monde, un progrès considérable, mais aussi de placer, une base, un fondement à toutes ces connaissances, qui sont essentielles. Comment peux tu alors

Lachès ou Sur le Courage - Platon Personnages du dialogue: Lysimaque, Mélésias, Nicias, Lachès, les fils de Lysimaque et de Mélèsias, Socrate Lysimaque Vous avez vu, Nicias et Lachès, cet homme combattre tout armé. Pourquoi nous vous avons priés, Mélèsias et moi, de venir le voir avec nous, nous ne vous l’avons pas dit alors, mais nous allons vous le dire à présent; car nous pensons qu’il faut être franc avec des hommes comme vous. Il y a des gens qui tournent en ridicule ces sortes d’exercices

désir. Ce dernier est en quelque sorte aspiration à l’infini. Platon l’a, par exemple, mis en lumière dans le passage célèbre du « Banquet », où il est question de définir et de décrire l’amour. On désire d’abord le corps de l’être aimé, mais cette beauté du corps est extérieure, apparente, elle nous condamne un jour à la déception. L’amour véritable, source de bonheur, doit s’élever à la beauté de l’âme, qui, selon le jugement de Platon, est immatérielle et éternelle. Paul Henri Dietrich dit le

Le language Les hommes parlent un langage qui sert généralement à communiquer bien qu’il y ait dautres moyens de communications. La formulation de la pensée par les mots impliquent une existence de la pensée anterieure à sa formulation. Pour Descartes, les animaux ne parlent pas parce qu’ils ne pensent pas. Les paroles sont pour lui les manifestations exterieures d’une activité interieur. Si les animaux pensaient, ils se débrouilleraient pour trouver un moyen de parler, de communiquer,